LE « H » CLÔTURE LA SAISON EN BEAUTÉ AVEC UNE VICTOIRE SPECTACULAIRE À TOURNEFEUILLE C’était le dernier acte d’une saison haletante, et le rideau est tombé avec éclat. Samedi 10 mai, au gymnase de Quéfets à Tournefeuille, le Hand Ball Club Carcassonnais a offert une prestation de haut vol pour conclure la 10e journée de la phase 2 du championnat Prénationale Féminin +16 ans. Face au Tournefeuille HB 2, les joueuses Carcassonnaises ont dominé la rencontre de bout en bout, s’imposant avec autorité sur le score de 31 à 22. Une démonstration de combativité, de cohésion et de maîtrise tactique qui reflète l’état d’esprit d’une équipe en pleine maturité sportive. Dès les premières minutes, le ton était donné. Une première mi-temps solide, conclue sur un avantage de 18 à 14, laissait déjà entrevoir une issue favorable. Portées par une attaque tranchante, les joueuses du HBCC ont multiplié les offensives efficaces, à l’image de Liliane Da Rocha et Lisa Castola, toutes deux auteures de 7 buts. Leur duo a dynamité la défense adverse, tandis qu’Eva Marin (5 buts) et Louann Gueffier (4 buts) ont consolidé l’avance. Cette victoire, au-delà des statistiques, est le fruit d’un travail d’équipe méticuleusement orchestré par le coach Zied, dont la capacité à mobiliser ses joueuses jusqu’à la dernière journée a fait la différence. L’équipe de Tournefeuille, bien que valeureuse, n’a jamais réussi à inverser la tendance face à une formation déterminée à finir la saison sur une note triomphale. Carcassonne termine donc cette phase à la troisième place du classement, derrière Thuir HBC 2 et Montpellier UCHB. Un résultat honorable, qui ouvre la voie à de nouvelles ambitions. CARRIÈRE ET VICTOIRE : LE DOUBLE ADIEU DE MARIE GAVIGNET À CARCASSONNE Mais l’heure est aussi à l’émotion. L’annonce du départ de Marie Gavignet, gardienne emblématique du club, laisse un vide difficile à combler. Pilier défensif, figure respectée pour sa ténacité et sa générosité, elle quitte le terrain pour raisons professionnelles, tout en restant liée à l’âme du club. Cette fin de saison marque donc une transition. Entre la satisfaction d’une belle progression et l’incertitude des remaniements à venir, les regards se tournent désormais vers l’avenir. Le président Roger Bousquet, discret mais stratégique, prépare déjà les contours de la saison prochaine. Quelle ambition portera le HBCC en 2026 ? Ce qui est sûr, c’est que l’histoire continue à s’écrire, avec passion et exigence. Et une chose est sûre… C11.MEDIA sera là pour relayer l’info de la prochaine saison. Bravo à toutes pour ces belles prestations 2024/2025 et ces beaux moments sportifs. Un grand merci aux dirigeants, bénévoles, parents et supporters… __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, images & Video : HBCC, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci DOMINIQUE BELLION, UNE VIE AU SERVICE DE L'ÉTAT ET DE L’AUDE Il avait le goût du devoir chevillé au corps et la République pour boussole. Dominique Bellion, ancien préfet de l’Aude entre 1994 et 1998, est décédé à Carcassonne dans la nuit du 10 au 11 mai, à l’âge de 76 ans. Le nom n’était pas inconnu dans les cercles de la haute administration : il était le fils de Roger Bellion, lui-même préfet, résistant, poète, et expert dans l’affaire Papon. De père en fils, le service public s’imposait comme un destin. Mais Dominique Bellion, discret dans la lumière, avait su donner à sa carrière une épaisseur singulière. Jusqu’à son dernier souffle, il est resté fidèle à ce département de l’Aude qu’il n’avait jamais cessé de chérir. Né à Saint-Flour en 1948, diplômé de Sciences Po et de l’ENA (promotion 1976), Dominique Bellion s’inscrit très tôt dans les rouages de l’État. Il navigue d’abord dans les ministères – Intérieur, Éducation, Jeunesse et Sports – avant d’embrasser la voie préfectorale. De la Mayenne à la Martinique, en passant par le Gard ou la Dordogne, il connaît toutes les facettes du territoire. Mais c’est à Carcassonne, entre 1994 et 1998, que son empreinte est la plus durable. L’homme savait concilier fermeté républicaine et humanité chaleureuse. Il fut préfet à une époque complexe, marquée par la cohabitation entre Jacques Chirac et Lionel Jospin, un exercice d’équilibriste qui révèle toute la finesse de son sens politique. Respecté à gauche comme à droite, Dominique Bellion aura traversé les clivages sans jamais renier ses convictions. Après sa retraite en 2013, il choisit de rester à Carcassonne. En 2014, il s’engage sur la liste du socialiste Jean-Claude Perez, puis siège dans l’opposition municipale jusqu’en 2020. Son parcours, marqué par l’engagement au sein du mouvement Horizons en 2022, témoigne de sa volonté de continuer à servir, au-delà des étiquettes partisanes. Édouard Philippe, qu’il avait encadré comme stagiaire à la préfecture, soulignait en mars dernier l’empreinte laissée par cet homme "extrêmement attaché au territoire audois". Ses proches évoquent un préfet épicurien, drôle, profondément humain, à mille lieues des figures austères que l’on associe parfois à la fonction. En résumé, un homme d’équilibre et de transmission. Son décès laisse un vide discret mais profond, celui que laissent les serviteurs sincères, à l’écoute des autres, soucieux de bâtir plutôt que d’imposer. __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci PIÉTON ÉCRASÉ À NARBONNE : UN DRAME DE LA ROUTE, UN CHAUFFEUR TOUJOURS EN FUITE Une silhouette fauchée, un corps abandonné sur l’asphalte, un camion qui s’évanouit dans la nuit. Dans la nuit du 10 au 11 mai, à Narbonne, un homme de 68 ans a perdu la vie dans des circonstances tragiques. Renversé une première fois par un automobiliste qui, lui, s’est immédiatement arrêté, la victime a ensuite été mortellement percutée par un poids lourd qui ne s’est pas arrêté. Le chauffeur est depuis activement recherché. Ce fait divers glaçant soulève une question dérangeante : comment expliquer que, dans une société hyper-surveillée, un tel délit de fuite puisse encore se produire ? Les faits se sont déroulés aux alentours de 23 h 30 sur la D6009, dans le secteur de Croix Sud, non loin de la gendarmerie. Alertés rapidement, les pompiers de Narbonne sont intervenus avec des moyens conséquents. Mais il était déjà trop tard. La victime, gravement mutilée par la violence du double impact, est décédée sur place. L’automobiliste du premier choc a été entendu par la police. Il n’était ni alcoolisé ni sous l’emprise de drogues. Quant au conducteur du poids lourd, il reste introuvable. Était-il conscient d’avoir roulé sur un corps ? Ou l’ignorait-il, emporté par l’inertie de la route, les limites du champ de vision ou un aveuglement moral ? L’enquête devra répondre à ces interrogations. En attendant, les forces de l’ordre poursuivent les recherches, notamment grâce à la vidéosurveillance et aux témoignages recueillis sur les lieux. Ce drame n’est pas qu’un fait divers. Il interroge notre rapport à la responsabilité. Dans un contexte où la sécurité routière s’améliore globalement, les délits de fuite restent un point noir. En 2023, plus de 540 décès liés à ce type de comportements ont été recensés en France. L’affaire de Narbonne vient cruellement rappeler que l’absence de réaction peut tuer une seconde fois. Elle oblige à une réflexion collective : faut-il durcir encore la législation ? Mieux former les conducteurs de poids lourds ? Ou améliorer la signalisation urbaine pour mieux protéger les piétons, particulièrement vulnérables ? En attendant des réponses, une famille pleure un proche, et un chauffard court toujours. __________________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Image d’illustration de Damien Lapeyrere, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci Avec Juliette Armanet, Bastien Bouillon, François Rollin Ce film est présenté en hors-compétition au Festival de Cannes 2025 et en fait l'ouverture. 🎬 LES SORTIES CINÉ DE LA SEMAINE AU CGR CARCASSONNE & NARBONNE ✨ Partir un jour Comédie dramatique (1H42) - France De Amélie Bonnin - Sortie le 13/05/2025 Avec Juliette Armanet, Bastien Bouillon, François Rollin, Tewfik Jallab, Dominique Blanc Tous public Ce film est présenté en hors-compétition au Festival de Cannes 2025 et en fait l'ouverture.Alors que Cécile s'apprête à réaliser son rêve, ouvrir son propre restaurant gastronomique, elle doit rentrer dans le village de son enfance à la suite de l'infarctus de son père. Loin de l'agitation parisienne, elle recroise son amour de jeunesse. Ses souvenirs ressurgissent et ses certitudes vacillent... Mer : 11h00 | 13h45 | 15h50 | 18h00 | 20h00 Jeu, Ven, Lun, Mar : 13h45 | 15h50 | 18h00 | 20h00 Sam : 11h00 | 13h40 | 15h45 | 18h00 | 20h00 Dim : 11h00 | 13h40 | 15h50 | 18h00 | 20h10 📍 À découvrir cette semaine dans vos cinémas CGR de Carcassonne et Narbonne. 🎟️ Programme et horaires sur https://www.cgrcinemas.fr __________________________ Alicia BREITMAN, Journaliste indépendante pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci TRÈBES RÉACTIVE LA ZONE BLEUE : LA GUERRE CONTRE LES VOITURES VENTOUSES EST LANCÉE C’était devenu un point de tension quotidien pour les commerçants du centre-ville. À Trèbes, les places de stationnement de l’avenue Pasteur et autour de la Poste étaient accaparées par des voitures ventouses, souvent laissées là plusieurs heures, voire toute la journée. Résultat : des clients contraints de tourner en rond pour trouver une place, et des commerces de proximité qui voyaient leur fréquentation chuter. Depuis le 1er mai, la municipalité a décidé de relancer la zone bleue pour redonner un souffle à l’activité commerciale et rappeler à chacun que l’espace public n’est pas un garage privé. Concrètement, le dispositif est simple : le stationnement reste gratuit, mais limité à 20 minutes, du lundi au vendredi entre 8 h et 18 h. Au-delà, l’automobiliste s’expose à une amende. Le disque de stationnement devient obligatoire, et il est désormais en vente au bureau de tabac de l’avenue. Après une période de tolérance, la mairie a donné consigne aux agents de verbaliser les infractions. Ce retour à la rigueur est accueilli avec soulagement par les professionnels du quartier. « On ne pouvait plus travailler. Les clients râlaient, certains faisaient demi-tour », confie une commerçante, satisfaite de cette mesure de bon sens. Pour la mairie, il s’agit d’un équilibre à trouver entre liberté de circuler et responsabilité citoyenne. Une fiche explicative a été distribuée aux commerçants afin qu’ils informent leur clientèle, preuve que la pédagogie reste une priorité. Mais cette relance pose aussi la question de fond : comment repenser le stationnement dans les petites villes, entre pression automobile, vitalité commerciale et accessibilité ? La zone bleue est-elle une réponse durable ou un simple pansement sur une plaie urbaine plus profonde ? Si le dispositif permet un regain d’oxygène pour les commerces, il interroge aussi sur la place accordée à la voiture dans nos centres-villes. Peut-être est-il temps de réfléchir, à l’échelle du territoire, à une véritable stratégie de mobilité locale, plus ambitieuse et cohérente. En attendant, à Trèbes, les disques bleus ont repris du service, et les voitures ventouses sont prévenues : leur temps est compté. __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, La dépêche du midi, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci FESTIVAL DU BONHEUR : QUAND LA DANSE DE FEMI RÉVEILLE L’AUDE ET LES CŒURS Et si danser pouvait réparer un peu du monde ? Le 24 mai, à La Villatade, sur les hauteurs de Sallèles-Cabardès, un vent de joie s’apprête à souffler sur l’Aude. Un festival, un seul soir, un objectif simple et audacieux : cultiver le bonheur. C’est la promesse du Festival du Bonheur, né de l’imagination de Sophie et Richard Andreelli, vignerons passionnés et hôtes du château. Au cœur de cette soirée : Fémi, danseur béninois à l’énergie contagieuse, devenu un phénomène viral pour ses improvisations festives et libératrices. Loin du tumulte des festivals de masse, ici, c’est l’émotion brute qui est recherchée — celle qui naît d’un regard, d’un mouvement, d’un instant suspendu. Depuis leur arrivée à La Villatade il y a moins de dix ans, les Andreelli n’ont eu de cesse de transformer leur domaine en lieu d’expression, de culture et de lien. Après des années à faire mûrir ce projet entre barriques et vignes, ils lancent ce rendez-vous inédit, en misant sur un format à taille humaine et profondément sensoriel. “On a besoin de créer du sens”, disent-ils. En invitant Fémi, ils ne misent pas sur une tête d’affiche tapageuse, mais sur un ambassadeur de la joie simple, celle que l’on partage sans artifice. Fémi, formé entre la France et le Bénin, fait danser les rues comme les châteaux, avec cette même philosophie : chacun peut se reconnecter à soi en se connectant aux autres. “Je ne fais pas que danser, je propose un espace de liberté”, confie-t-il. À l’heure où les festivals se standardisent, celui-ci entend replacer l’humain au centre du spectacle. Mais cet événement va bien au-delà de la fête. Il interroge nos besoins profonds dans une époque saturée d’écrans, de stress et de solitude. Et si la culture, loin des centres urbains, redevenait un remède ? À La Villatade, ce 24 mai, il ne s’agira pas seulement de divertissement, mais d’une proposition sociétale presque intime : choisir la joie comme acte de résistance. Ce pari peut sembler naïf. Mais c’est peut-être là, justement, que réside sa force. Redonner aux corps le droit d’exister, de vibrer, de s’émouvoir — et faire de ce moment collectif une graine plantée dans les consciences. Le Festival du Bonheur ne prétend pas changer le monde. Mais il pourrait bien réenchanter, l’espace d’un soir, un coin d’Aude et quelques cœurs. __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci SPARTAN RACE À CARCASSONNE : DES MILLIERS DE GUERRIERS À L’ASSAUT DU LAC DE LA CAVAYÈRE Ils ont affronté la boue, la sueur et la douleur avec acharnement. Samedi 10 mai, sous un soleil généreux, le lac de la Cavayère s’est transformé en terrain de combat à ciel ouvert pour accueillir la 7e édition de la Spartan Race carcassonnaise. Un rendez-vous sportif hors normes, où plus de 2 000 participants – amateurs comme élites – ont repoussé leurs limites dans une ambiance électrique. L’événement, désormais bien ancré dans le calendrier régional, a franchi une étape majeure cette année avec l’introduction de la redoutable épreuve « Beast », une course de 21 km parsemée de 30 obstacles physiques et mentaux. Une première pour Carcassonne, qui a vu 70 coureurs de la catégorie Elite se lancer sur ce parcours dantesque. Chez les hommes, Edouard Hervy s’impose en 1 h 53, devant Julien Bernes (1 h 57) et Stéphane Ollion (2 h 00). Côté femmes, la Norvégienne Katrine Haaland Leveraas l’emporte en 2 h 19, tandis que Quinie Verheijen, pourtant 3e à l’arrivée, se voit rétrogradée à la 4e place après une pénalité de 10 minutes. Sur la Sprint (5 km et 20 obstacles), ce sont plus de 600 participants qui ont répondu présents. Chez les hommes, Clément Berlouin domine la course avec un chrono de 48 minutes. Chez les femmes, l’Audoise Séléna Corsaletti décroche une honorable 3e place, à quelques secondes du podium. Au-delà des chiffres, c’est l’esprit Spartan qui frappe. Un esprit de résilience, de dépassement de soi, de solidarité, où chacun vient se mesurer non aux autres, mais à ses propres limites. Le parcours, accidenté et exigeant, ne fait pas de cadeaux. Mais les sourires à l’arrivée valent toutes les courbatures. Ce dimanche, la fête continue avec les épreuves Sprint Elite et Super. Une dernière salve de bravoure, pour un week-end où le sport s’est fait école de courage. __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci RODÉOS URBAINS À CARCASSONNE : DEUX GARDE À VUE ET DES SAISIES DANS UN NOUVEAU COUP DE FILET POLICIER Carcassonne sature. À peine une semaine après des heurts entre jeunes et forces de l’ordre, un nouveau rodéo urbain a été organisé dans la zone commerciale de la Ferraudière. Vendredi 9 mai au soir, avenue Paul-Henri Mouton, le vacarme des moteurs a une nouvelle fois troublé la tranquillité d’un quartier déjà marqué par des tensions. Cette fois, les forces de l’ordre, appuyées par la CRS 84 venue de Montauban, ont anticipé. Bilan : deux interpellations, deux véhicules saisis, et une opération musclée qui relance le débat sur ces rassemblements illégaux de plus en plus fréquents. Le dispositif déployé était conséquent. En plus de patrouilles mobiles, des drones ont survolé la zone pour mieux cerner les flux et repérer les infractions en temps réel. Sur place, une centaine de personnes et une cinquantaine de véhicules ont été contrôlés. C’est dans ce contexte que deux jeunes hommes originaires du Tarn, âgés de 20 et 24 ans, ont été placés en garde à vue. L’un conduisait une Golf GTI, l’autre une moto-cross de marque KTM, tous deux saisis par les autorités. Entendus par les enquêteurs, les deux conducteurs ont reconnu les faits. Libérés en attendant leur jugement, ils comparaîtront devant le tribunal judiciaire de Carcassonne à la fin du mois de septembre. Ces scènes, qui mêlent exhibition mécanique et défi aux règles, ne sont plus anecdotiques. Elles s’installent, se répètent, et inquiètent les riverains comme les autorités. En quelques mois, la zone de la Ferraudière est devenue un point de ralliement notoire pour les amateurs de “run”, ces courses sauvages où la vitesse et le danger s’exhibent sans retenue. Avec souvent les mêmes ingrédients : des véhicules puissants, une foule compacte et mobile, et une prise de risque maximale. Loin du folklore automobile, ces pratiques mettent en jeu la sécurité des participants, mais aussi celle des simples spectateurs et usagers de la route. Ce nouvel épisode interroge. Que faire face à un phénomène qui semble échapper aux dispositifs classiques de prévention ? La réponse sécuritaire, bien que nécessaire, semble insuffisante si elle ne s’accompagne pas d’un travail de fond. Urbanisation mal pensée, absence d’espaces encadrés pour les passionnés de conduite sportive, fascination grandissante des jeunes pour une culture de la vitesse et du défi : autant de pistes à explorer pour comprendre ces rassemblements. Car si les arrestations calment temporairement les moteurs, c’est en amont, sur les causes sociales et culturelles de ces pratiques, que se joue aussi la bataille contre les rodéos urbains. __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci LA PAIX COMME COMBAT : À CARCASSONNE, UNE VOIX S'ÉLÈVE CONTRE LA GUERRE Dans un coin feutré de la Brasserie Le Bistro, à deux pas de la gare de Carcassonne, un échange rare a eu lieu. Face au parc André Chénier, le calme apparent contraste avec la gravité du sujet abordé. Ce jour-là, au micro de C11.MEDIA et la Voix des Citoyens, Jacques Obriet, secrétaire du comité audois du Mouvement pour la Paix, a accepté de se livrer. Sous l’œil bienveillant de son président Bernard Gils, il nous a raconté l’histoire d’une association qui milite depuis des décennies contre toutes les formes de guerre. Une voix discrète mais ferme, au service d’un idéal souvent moqué, parfois ignoré : la paix. Le Mouvement pour la Paix n’est pas né d’une génération spontanée. Ses racines plongent dans l’après-guerre, nourries par des figures fortes comme l’abbé Gau, prêtre engagé, ou encore Louis Barthas, caporal pacifiste originaire de Peyriac-Minervois, dont les carnets de tranchées ont fait le tour du monde. À Carcassonne, cette histoire s’écrit avec humilité et détermination. Jacques Obriet rappelle que l’association, bien qu’apolitique, n’est pas neutre : elle est résolument engagée contre l’usage de la force comme réponse aux conflits. « Dire non à la guerre, c’est aussi dire oui à une autre vision du monde », résume-t-il. Dans l’Aude, des conférences, des expositions, des ateliers dans les écoles et des rassemblements citoyens donnent chair à ce combat quotidien. Un engagement de proximité, loin des grands discours, mais ancré dans le réel, au contact des jeunes générations comme des anciens. Ce rendez-vous carcassonnais a rappelé une vérité essentielle : la paix ne va pas de soi. Elle se pense, se défend, s’organise. Elle est une méthode, un état d’esprit, un projet collectif. Face à la montée des tensions géopolitiques, à la militarisation croissante des discours politiques et à la banalisation de la violence, les voix comme celle de Jacques Obriet sont précieuses. Elles rappellent que derrière chaque conflit, il y a des alternatives à inventer, des ponts à bâtir, des récits à déconstruire. La paix n’est pas un vœu pieux : c’est une exigence. Et dans une arrière-salle de brasserie, ce jour-là, elle avait le goût simple mais puissant de la conviction partagée. Prochain rendez-vous : le vendredi 16 mai 2025, Place Carnot à Carcassonne, pour la "Journée internationale du vivre ensemble en paix". Un grand rassemblement est prévu, et tous les citoyens sont appelés à se réunir autour de cette cause essentielle. __________________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci LE JOURNALISME INDÉPENDANT EN PLEIN ESSOR : UN MÉTIER À LA FRONTIÈRE DU MILITANTISME ET DE L’ENGAGEMENT CITOYEN Peut-on encore être journaliste sans être salarié ? Alors que les rédactions traditionnelles se réduisent et que de plus en plus de voix choisissent de s’exprimer en marge des circuits classiques, une nouvelle figure émerge : celle du journaliste indépendant non salarié. Ce n’est plus un phénomène marginal, mais une véritable tendance de fond, portée par une volonté d’émancipation, d’agilité professionnelle et de liberté éditoriale. Le lancement du Guide pratique des journalistes indépendants, signé Ludovic Beuzeron, vient consacrer cette mutation silencieuse mais déterminante du métier. Un ouvrage qui propose, bien plus qu’un manuel, une radiographie d’un secteur en recomposition, entre quête de reconnaissance professionnelle et engagement citoyen affirmé. Dans un contexte de défiance croissante envers les médias traditionnels, le journalisme indépendant gagne en légitimité. Ce guide explore les contours de ce journalisme de terrain, qui s’exerce sans filet, sans rédaction pour garantir les arrières, mais avec une éthique chevillée au corps. L’auteur y retrace les parcours de ces professionnels autonomes, qu’ils soient pigistes réguliers, auto-entrepreneurs, ou créateurs de leur propre média. Leur point commun ? Une activité souvent principale, toujours rétribuée, exercée en dehors de la presse salariée classique. Or, selon la définition du Code du travail, c’est bien cette régularité et cette rémunération qui qualifient le journaliste professionnel. La frontière entre journaliste salarié et non salarié s’efface alors, laissant place à une nouvelle forme d’exercice du métier : plus libre, mais aussi plus précaire. Ludovic Beuzeron met en lumière les outils, les droits et les structures collectives, comme la Fédération Nationale des Journalistes Non-Salariés et Médias Indépendants (FNJMI), qui œuvrent à l’encadrement de cette profession hybride, tiraillée entre indépendance et reconnaissance. Ce guide pose enfin une question essentielle : que signifie être journaliste aujourd’hui ? À l’heure où la parole se décentralise, où les plateformes numériques permettent à chacun de diffuser de l’information, le rôle du journaliste citoyen interroge. L’auteur ne s’en tient pas à une approche technique du métier, mais l’inscrit dans une dynamique de transformation sociale. Il explore le journalisme comme acte militant, capable d’agir sur le réel, de porter les voix oubliées, de faire avancer les causes. Dans un monde où la vérité se dispute à la viralité, les journalistes indépendants apparaissent comme des vigies, à la fois vulnérables et nécessaires. Ce livre leur donne des clés pour structurer leur démarche, professionnaliser leur pratique, et, surtout, affirmer leur légitimité. Plus d'infos et pré-commande sur fnjmi.fr/shop/view/E308B7B7 __________________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci DES RIVERAINS DÉJOUENT UN VOL DE CARBURANT À VILLENEUVE-LA-COMPTAL Jeudi soir, l’air était calme à Villeneuve-la-Comptal. Trop calme, peut-être. Il aura suffi d’un bruit suspect et d’un regard attentif pour transformer deux habitants en héros du quotidien. Leur intervention décisive a permis l’interpellation d’un voleur de carburant, surpris en pleine action sur le parking des services techniques de la commune. Une affaire qui interroge sur la recrudescence de ce type de délits et sur le rôle clé que peuvent jouer les citoyens dans la sécurité locale. Les faits se sont produits le 8 mai 2025, aux alentours de 22 heures. Un homme a été aperçu en train de siphonner du carburant à proximité d’un bâtiment communal. C’est un résident, intrigué par des allées et venues inhabituelles, qui a donné l’alerte. Sans attendre, il contacte un voisin, puis la Gendarmerie de Castelnaudary. Ensemble, les deux riverains se rendent sur les lieux. Surpris, le suspect tente de fuir à travers un champ. Mais les deux hommes le poursuivent et réussissent à le stopper, sans violence, avant l’arrivée des gendarmes. L’individu est interpellé et placé en garde à vue dans la foulée. Il comparaîtra prochainement devant le tribunal judiciaire de Carcassonne. Ce fait divers pourrait passer pour un simple incident nocturne. Il met pourtant en lumière plusieurs enjeux majeurs. D’une part, la multiplication des vols de carburant, alimentés par l’augmentation des prix à la pompe, témoigne d’une tension économique palpable. D’autre part, il souligne l’efficacité d’une vigilance de proximité : des citoyens attentifs et réactifs peuvent, sans se substituer aux forces de l’ordre, contribuer activement à la sécurité de leur quartier. "Ils ont fait preuve d’un courage admirable", a salué un représentant de la Gendarmerie. Une reconnaissance méritée, mais qui ne doit pas occulter les risques encourus. Si ces actes de bravoure sont exemplaires, ils rappellent aussi que la coopération avec les autorités reste la meilleure voie pour agir sans danger. À l’heure où les communes rurales doivent faire face à des formes de délinquance de plus en plus opportunistes, cet épisode pose une question simple mais essentielle : comment renforcer les solidarités locales sans encourager la prise de risques inconsidérée ? La réponse réside peut-être dans le juste équilibre entre engagement citoyen et action concertée avec les forces de sécurité. Car si la vigilance est un réflexe salutaire, elle ne remplace pas la loi. __________________________ Jean Michel JUMEAU, Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci L’IMPÔT EN QUESTION : ENTRE DEVOIR CITOYEN ET INJUSTICES RESSENTIES Chaque printemps, elle revient. La déclaration d’impôts, ses cases à remplir, ses montants à verser. Et avec elle, une question souvent murmurée, parfois criée : pourquoi dois-je payer ? Dans une société où le coût de la vie ne cesse d’augmenter, où les services publics sont régulièrement critiqués, la légitimité de l’impôt interroge. À quoi sert-il vraiment ? Est-il juste ? Et surtout, en avons-nous pour notre argent ? L’impôt n’est pas qu’une ponction sur les revenus. C’est le socle du financement de l’État. En 2024, les recettes fiscales représentaient environ 1 500 milliards d’euros, soit plus de 80 % du budget public. Cette somme finance les hôpitaux, les écoles, la sécurité, les transports, les retraites, la transition écologique. Chaque euro versé par un contribuable contribue, collectivement, à faire tourner le pays. Un exemple concret : selon Bercy, un Français qui gagne 2 500 euros nets par mois contribue indirectement à hauteur de 13 000 euros par an aux services publics, en incluant la TVA, la CSG, les cotisations sociales et l’impôt sur le revenu. Et sans ces impôts, pas d’armée, pas de routes, pas de soins gratuits. Mais derrière l’arithmétique budgétaire, une autre question surgit : celle de la justice fiscale. Si la majorité des Français paie indirectement des impôts — via la TVA ou les taxes sur l’énergie — seuls 43 % sont imposables sur le revenu. L’impôt progressif, qui adapte le prélèvement aux capacités de chacun, reste l’un des piliers de l’équité. Pourtant, de plus en plus de voix dénoncent un système complexe, parfois opaque, qui favoriserait les niches, les grandes entreprises ou les ultra-riches. En parallèle, des classes moyennes expriment un sentiment de saturation : ni assez pauvres pour bénéficier d’aides, ni assez riches pour optimiser, elles se sentent captives du système. L’évasion fiscale, quant à elle, creuse ce malaise : chaque année, elle prive l’État de 80 à 100 milliards d’euros selon certaines estimations, soit presque le budget de l’Éducation nationale. Payer l’impôt, c’est participer à la solidarité nationale. C’est permettre aux plus fragiles d’être protégés, aux infrastructures d’exister, au service public de remplir sa mission. Mais cette solidarité n’est tenable que si elle est perçue comme équitable. Le consentement à l’impôt est fragile : il repose sur la confiance. Celle que l’argent est bien utilisé, justement réparti, utile à tous. Restaurer cette confiance passe par plus de transparence, moins d’inégalités, et un débat apaisé sur ce que nous voulons financer ensemble. Car derrière chaque impôt payé, c’est la société que nous choisissons de bâtir. __________________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendante pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci BARDELLA, CIBLE PRÉFÉRÉE DE LA GAUCHE : QUAND LA POLÉMIQUE CACHE MAL LA PEUR DU RN La scène aurait pu prêter à sourire si elle ne révélait pas, en creux, une nervosité palpable. À peine le meeting du Rassemblement National à Narbonne achevé que déjà les critiques fusaient. En première ligne, le journal *L’Indépendant*, fer de lance médiatique d’une gauche régionale aux abois, qui n’en finit plus de chercher la faille dans la montée inexorable du parti de Jordan Bardella. Cette fois-ci, c’est la gestion des inscriptions au meeting qui sert de prétexte à une salve de reproches. Trop de monde, pas assez de places, des excuses jugées mal venues… Le tout sur fond de défiance idéologique, à mesure que le RN conquiert l’opinion. L’événement, tenu le 1er mai à l’Arena de Narbonne, a réuni 5 000 participants — le maximum autorisé par les normes de sécurité. Pourtant, près de 8 000 personnes s’étaient inscrites pour y assister. Dans un mail adressé à ses sympathisants, Jordan Bardella s’est excusé du trop-plein, estimant que la jauge fixée par les responsables de la salle était « trop basse ». Une version immédiatement contestée par Vincent Dourlet, directeur de l’Arena, qui rappelle que cette capacité de 5 000 personnes avait été décidée en concertation avec le RN, validée par les autorités, et confirmée dans un dossier de sécurité signé par un haut responsable du parti lui-même. S’agirait-il alors d’une maladresse de communication ? Ou d’un message politique adressé à une base galvanisée par l’image d’un parti devenu trop grand pour les salles disponibles ? Quoi qu’il en soit, les critiques relayées par certains médias prennent un relief particulier dans un contexte où le RN, régulièrement en tête dans les sondages, cristallise l’inquiétude de ses opposants. Ce nouvel épisode illustre moins une erreur logistique qu’une tentative d’affaiblissement symbolique. La focalisation sur des détails techniques — nombre de chaises, tickets imprimés, communications internes — masque une réalité plus dérangeante pour la gauche : celle d’un RN qui, malgré les polémiques et les imprécisions, continue de mobiliser massivement. En se faisant les vigies sourcilleuses de chaque faux pas, certains médias, loin de convaincre, renforcent la posture victimaire du parti d’extrême droite et participent, paradoxalement, à sa dynamique. La question n’est donc plus de savoir si Jordan Bardella a raison ou tort sur la jauge de l’Arena. Elle est plutôt de comprendre pourquoi, à chaque apparition publique, le RN parvient à susciter autant d’adhésion que d’hostilité. Une fracture de plus en plus visible, à laquelle aucune salle — même comble — ne pourra longtemps contenir. __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci FACE À LA LIQUIDATION DE JENNYFER, UN COMMERÇANT DE L’AUDE SE BAT POUR L’EMPLOI Quand une enseigne nationale s’effondre, c’est souvent le silence qui suit. À Carcassonne, c’est l’action qui a pris le relais. Tandis que la chaîne de prêt-à-porter Jennyfer a été placée en liquidation judiciaire fin avril, entraînant la fermeture annoncée de dizaines de points de vente, un entrepreneur local refuse de regarder tomber le rideau. Didier Reverte, propriétaire du magasin Jennyfer du centre commercial Carrefour Pont-Rouge, a décidé de transformer la menace en opportunité. Avec ses filles et ses salariés, il veut montrer que l’emploi peut encore se défendre, pied à pied, commerce par commerce. Dans l’Aude, les deux magasins Jennyfer ne sont pas logés à la même enseigne. À Narbonne, le couperet est tombé : la boutique, gérée directement par le groupe, fermera à la fin du mois. À Carcassonne, l’histoire pourrait être tout autre. Car ici, le point de vente est franchisé par la holding Gidi, dirigée par Didier Reverte. L’homme n’est pas novice : à la tête de plus de quarante magasins dans le sud de la France, il avait senti le vent tourner bien avant l’annonce officielle de la liquidation. « On savait que Jennyfer allait droit dans le mur. Alors on a anticipé. » Le plan est simple, mais ambitieux : convertir l’ancien magasin Jennyfer en bistore associant deux marques complémentaires, Pimkie pour l’habillement et Eram pour la chaussure. Une première en France, portée par un entrepreneur local et soutenue par le bailleur du centre commercial. Le projet permettrait de sauver les quatre emplois menacés à Carcassonne, tout en proposant un concept innovant. Mais cette relance ne se fera pas sans les clients. Car comme le souligne Didier Reverte, les habitudes de consommation ont changé : « Les gens regrettent les fermetures, mais achètent de plus en plus sur internet. » Le défi est donc double : sauver des emplois, mais aussi redonner envie de fréquenter les magasins physiques. Le cas de Carcassonne illustre un enjeu bien plus large. Quand les grandes chaînes vacillent, seule une économie de proximité, agile et déterminée, semble en mesure d’en limiter les dégâts. La question est posée : jusqu’à quand pourra-t-on compter sur des indépendants pour amortir les chocs d’un secteur fragilisé par les mutations numériques et l’inaction des grands groupes ? __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci CARCASSONNE : UN HOMME RETROUVÉ MORT À LA CONTE, LA PISTE CRIMINELLE PRIVILÉGIÉE Un corps sans nom, un quartier sous tension et une enquête pour homicide ouverte dans l’urgence. Ce jeudi 8 mai, à Carcassonne, la découverte d’un jeune homme sans vie dans le quartier de La Conte a plongé les riverains dans l’effroi. La victime, dont l’identité reste inconnue, a été retrouvée rue Diderot, à deux pas d’un point de deal bien connu des autorités. L’alerte donnée en fin de matinée a déclenché un impressionnant déploiement policier. À midi, les secours arrivent, mais il est déjà trop tard : l’homme est mort. Aucun témoin, aucune arme, et une cause du décès encore indéterminée. Les faits sont là. Le reste n’est, pour l’instant, qu’un enchaînement de questions. Dans ce quartier sensible de la ville, les hypothèses les plus sombres circulent rapidement. La procureure de la République, Géraldine Labialle, l’a confirmé : les circonstances de la mort sont à ce stade "floues". Une autopsie doit être pratiquée dans les jours à venir pour éclaircir les faits. Aucune trace visible ne permet encore de conclure à une blessure par balle ou à un acte violent. Pourtant, la scène a tous les airs d’un règlement de comptes : rue bouclée, zone de sécurité élargie, présence massive de forces de l’ordre. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Perpignan, spécialisée dans les affaires criminelles complexes. Pour l’instant, les enquêteurs avancent sans témoin et sans piste solide. Cette mort soulève une nouvelle fois la question brûlante de la sécurité dans certains quartiers populaires de Carcassonne. La Conte, théâtre régulier d’opérations policières liées au trafic de stupéfiants, est-elle devenue un terrain d’impunité ? Le mutisme des riverains, l’absence de preuves sur place, la violence muette du fait divers : autant d’éléments qui rappellent que, dans ces zones grises de la République, la loi du silence continue de faire obstacle à la vérité. La mort de ce jeune homme, dont on ne sait rien encore, jette une ombre lourde sur un quartier déjà fragilisé par les tensions sociales et les trafics. Une chose est sûre : l’urgence est à l’identification, à la vérité, et à la reconstruction d’un dialogue entre habitants, institutions et forces de l’ordre. Car à trop s’habituer au pire, on finit par le banaliser. __________________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci DISPARITION DANS L’AUDE : CHRISTELLE SOUPLY RETROUVÉE MORTE, UNE COMMUNE SOUS LE CHOC Elle était partie sans un mot, sans laisser de trace. Mercredi 7 mai, Christelle Souply, habitante de Saint-Papoul, disparaît brusquement. Pendant plus de 24 heures, ses proches, les forces de l’ordre et les habitants de la commune ont espéré. En vain. Son corps a été retrouvé sans vie dans la soirée du jeudi 8 mai, quelques heures après le lancement d’un appel à témoins par la gendarmerie. Une issue tragique qui plonge une petite ville de l’Aude dans l’incompréhension et la peine. Le scénario s’est noué en l’espace de deux jours. Mercredi après-midi, Christelle quitte son domicile sans prévenir. Depuis, aucun signe de vie. Pas de message, pas d’appel. La situation, rapidement jugée inquiétante, conduit les autorités à ouvrir une enquête pour disparition préoccupante. Dans cette commune paisible du Lauragais, la mobilisation est immédiate. Les gendarmes battent le terrain, appuyés par la vigilance de riverains inquiets. Le 8 mai, un appel à témoins est diffusé sur les réseaux sociaux, relayé dans toute la région. Mais le dénouement est terrible : dans la soirée, le corps de Christelle est retrouvé, inanimé. Le médecin dépêché sur place ne peut que constater le décès. À ce stade, les causes de la mort restent à déterminer. Une enquête est en cours pour éclaircir les circonstances de cette disparition tragique. Au-delà des faits, c’est tout un village qui vacille. Qui était Christelle Souply ? Une compagne, une voisine, une figure discrète mais bien connue dans cette commune rurale. Sa disparition brutale rappelle la fragilité de nos équilibres, et la difficulté de détecter, à temps, les signaux de détresse. Quelle réponse collective peut-on apporter lorsque des individus s’effacent en silence ? Cette tragédie pose, une fois encore, la question de la prévention et du soutien dans les territoires ruraux, où l’isolement peut s’avérer fatal. Saint-Papoul, aujourd’hui endeuillée, attend des réponses. Mais elle devra aussi trouver, dans ce drame, la force de rester unie et vigilante. __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci LÉZIGNAN-CORBIÈRES : PRÉCARITÉ, ISOLEMENT, DRAME : LE CORPS D’UNE FEMME DÉCOUVERT DANS L’AUDE9/5/2025 UNE MORT MYSTÉRIEUSE QUI INTERROGE : UNE ENQUÊTE POUR MORT SUSPECTE EST OUVERTE C’est une découverte qui trouble et interroge, au cœur du quartier populaire de La Source, à Lézignan-Corbières. Ce jeudi 8 mai au matin, le corps sans vie d’une femme d’une trentaine d’années a été retrouvé à son domicile, dans un appartement modeste et insalubre où elle vivait avec son compagnon et plusieurs chiens. Les circonstances de sa mort restent floues. Si l’hypothèse d’un féminicide n’est pour l’heure pas confirmée, les enquêteurs n’excluent rien. Le procureur de la République de Narbonne, Éric Camous, s’est rendu personnellement sur les lieux. Une enquête pour déterminer les causes du décès a été ouverte, conformément à l’article 74 du Code de procédure pénale. L’affaire, encore entourée de zones d’ombre, soulève d’ores et déjà des questions sur les violences invisibles et le sort des femmes isolées. D’après les premiers éléments, la victime vivait dans un environnement précaire, marqué par la marginalité. L’appartement, situé dans un immeuble discret du quartier, était en mauvais état. Le couple n’était pas connu pour des faits de violences, mais des témoins évoquent un quotidien difficile, parfois agité, et une présence peu discrète dans le voisinage. Si les causes exactes du décès ne sont pas encore connues, l’intervention du parquet témoigne du sérieux accordé à cette affaire. Aucun signe évident de violence n’a été constaté à ce stade, mais une autopsie a été ordonnée. Le compagnon de la défunte a été entendu. Aucune interpellation n’a été annoncée pour le moment. Au-delà de l’enquête judiciaire, ce drame met en lumière la fragilité de certaines situations sociales, souvent passées sous silence. Une femme meurt, seule, dans l’indifférence d’un quartier où la précarité est devenue ordinaire. Si l’on ne peut encore parler de féminicide, l’histoire rappelle combien certaines vies peuvent basculer dans la violence sans que personne ne s’en émeuve. Quelle protection pour ces femmes invisibles ? Quelle attention pour ces foyers oubliés ? La justice devra dire ce qu’il s’est réellement passé à Lézignan. Mais déjà, une réalité s’impose : dans certains territoires, la misère tue lentement, silencieusement, parfois tragiquement. __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci 🎬 LES SORTIES CINÉ DE LA SEMAINE AU CGR CARCASSONNE & NARBONNE ✨ THE AMATEUR Drame, thriller (2H03) - U.S.A. De James Hawes - Sortie le 09/04/2025 Avec Rami Malek, Laurence Fishburne, Rachel Brosnahan, Caitriona Balfe, Jon Bernthal Avertissement Version VO Charlie Heller, un cryptographe de la CIA aussi brillant qu'introverti, voit son existence basculer lorsque sa femme décède durant une attaque terroriste perpétrée à Londres. Déplorant l'inaction de sa hiérarchie, il prend alors l'affaire en mains et se met à la recherche des assassins, embarquant pour un dangereux voyage partout à travers le monde pour assouvir sa vengeance. Tous les jours : 22h10 🎟️ Programme et horaires sur https://www.cgrcinemas.fr __________________________ Alicia BREITMAN, Christopher GREEN, Journaliste indépendante pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci LE 17 MAI, CARCASSONNE DANSE AU RYTHME DU ROCK NATIONAL C’est une scène encore méconnue du grand public mais qui pulse d’énergie, de rigueur et de passion : celle de la danse sportive. Ce samedi 17 mai, la Halle aux Sports Nicole ABAR de Carcassonne accueillera un événement d’envergure nationale, orchestré par l’association Danse’N Music. Sous la houlette de sa présidente, Cyndy Molinié, cette journée promet un tourbillon de figures acrobatiques, de pas cadencés et d’émotions partagées. La compétition réunira les disciplines les plus spectaculaires de la danse fédérale : Rock Dancing, Rock Artistique, Rock Acrobatique et Boogie Woogie. L’enjeu ? Capitaliser des points au classement national. Mais au-delà des trophées, il s’agit aussi de faire vibrer le territoire, d’inspirer les jeunes, et de rappeler que la danse est aussi un sport de haut niveau. Le programme est ambitieux. Dès 11h, les duos, trios et formations synchronisées venus de toutes les régions s’élanceront sur la piste, sous les yeux affûtés de deux juges nationaux, Mouss et Reynald, et de deux évaluateurs, Lucian et Maëva. L’événement bénéficie du soutien du couple Léa Fournier et Lucian Molinié, vice-champions de France au dernier Challenge fédéral. Une présence symbolique, mais aussi technique : elle incarne l'excellence et nourrit les ambitions des jeunes danseurs. Et justement, le club Danse’N Music a de quoi être fier : trois de ses jeunes talents sont actuellement classées numéro un au niveau national dans leurs catégories respectives. Clara Henry (8 ans, U9), Mila Catalano (11 ans, U12) et Emy La Bella (12 ans, U15) seront les têtes d'affiche locales. Elles porteront haut les couleurs de leur club face à une concurrence aussi diverse que déterminée. Mais cette journée ne sera pas seulement dédiée à la compétition. Entre 14h et 16h, un grand show musical prendra le relais, offrant au public un spectacle rythmé et festif. Puis, à 16h, place aux récompenses. Chaque participant sera salué pour sa prestation, dans un esprit fédérateur et bienveillant. Pour Cyndy Molinié, cet événement est une vitrine essentielle : « Il s’agit de faire connaître ce sport, et de trouver de nouveaux adhérents. » Dans une époque où les pratiques culturelles peinent parfois à recruter, cette initiative montre à quel point l'engagement associatif peut ranimer les passions et créer des vocations. En valorisant l’exigence et la beauté de la danse sportive, Danse’N Music espère inspirer la jeunesse locale. La compétition de ce 17 mai est donc bien plus qu’un rendez-vous : c’est un manifeste, une invitation à entrer dans la danse. Informations et réservations sur [email protected] ou par tel au 06.14.84.66.44 __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci DEVENEZ JOURNALISTE INDÉPENDANT : LE GUIDE INDISPENSABLE POUR SE LANCER EN TOUTE LIBERTÉ Et si vous deveniez votre propre média ? Dans un monde en quête de vérités multiples et de récits authentiques, Le Guide pratique des journalistes indépendants – édition 2025 – arrive à point nommé. Rédigé par Ludovic Beuzeron, expert du journalisme engagé, ce manuel s’adresse à toutes celles et ceux qui souhaitent exercer ce métier en dehors du cadre traditionnel. Qu’il s’agisse de citoyens actifs, de pigistes non salariés ou de futurs créateurs de médias indépendants, ce guide leur donne toutes les clés pour comprendre les enjeux du journalisme d’aujourd’hui et bâtir une activité viable et reconnue. Conçu comme un véritable outil professionnel, ce livre explore toutes les facettes du métier : définition juridique du statut, choix du bon régime (auto-entrepreneur, auteur, pigiste), méthodologie de reportage, techniques d’écriture, principes éthiques, création de son média… Chaque chapitre vous accompagne pas à pas, illustré par des études de cas et des conseils concrets. Mieux encore : l’auteur vous introduit à la Fédération Nationale des Journalistes Non-Salariés et Médias Indépendants (FNJMI), nouvel acteur syndical qui défend vos droits, représente votre voix et vous aide à développer votre réseau. Un vrai tremplin pour celles et ceux qui veulent faire de leur plume un outil d’information libre, indépendante et responsable. À ne pas manquer : une offre exceptionnelle de précommande est actuellement disponible. Jusqu’au 20 juillet 2025, le guide est proposé à 20 € au lieu de 27 €, en version papier. Un tarif préférentiel pour celles et ceux qui veulent franchir le pas dès maintenant et faire du journalisme une aventure personnelle, engagée et libre. L’ouvrage sera livré à partir du 20 juillet 2025. Ne ratez pas l’occasion de faire partie de cette nouvelle génération de journalistes indépendants : informés, engagés, et résolument tournés vers l’avenir. Infos & commande sur https://fnjmi.fr/shop/view/E308B7B7 __________________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci NOUVEAU DRAME DE LA ROUTE DANS L’AUDE : DEUX JEUNES TUÉS À VILLEFORT DANS UNE SORTIE DE ROUTE Ils avaient à peine vingt ans. Leur vie s’est brutalement arrêtée dans la nuit du mercredi 7 au jeudi 8 mai, sur une route départementale de Villefort, dans l’ouest de l’Aude. Un nouveau drame endeuille le territoire, frappant une nouvelle fois là où l’on s’y attend le moins : sur ces routes secondaires, souvent peu éclairées, où un instant d’inattention ou une mauvaise météo peut coûter la vie. Deux jeunes hommes ont trouvé la mort dans une sortie de route dont les circonstances restent encore floues. Un accident aussi soudain que définitif, qui pose une fois de plus la question de la sécurité routière, en particulier pour les plus jeunes conducteurs. Il était environ 23 heures lorsque les sapeurs-pompiers ont été appelés à intervenir sur la commune de Villefort, à proximité de la limite avec le département de l’Ariège. Sur place, un seul véhicule, accidenté, dans un fossé. Selon les premiers éléments de l’enquête, la voiture aurait quitté la chaussée sans qu’aucun autre véhicule ne soit impliqué. Aucun obstacle, pas de trace de freinage apparente, et une vitesse qui pourrait avoir été excessive au vu des dégâts. Les deux occupants, seuls à bord, n’ont pu être ranimés. Leurs décès ont été constatés sur les lieux, malgré la rapidité de l’intervention des secours. Le parquet a ouvert une enquête afin de déterminer les causes précises du drame : fatigue, alcool, vitesse, ou encore usage du téléphone sont autant de pistes explorées. Ce nouvel accident mortel s’ajoute à une longue série de drames survenus ces derniers mois dans l’Aude. En 2024, 32 personnes ont perdu la vie sur les routes du département, dont une majorité de jeunes de moins de 30 ans. Alors que les campagnes de sensibilisation se multiplient, les chiffres peinent à refluer. Le facteur humain reste au cœur des sinistres : vitesse inadaptée, imprudence, conduite de nuit, fatigue ou encore consommation de substances altérant la vigilance. Des comportements à risque face auxquels les pouvoirs publics peinent à trouver des réponses concrètes. Doit-on renforcer les contrôles, mieux éduquer à la prévention, ou repenser l’aménagement des routes rurales, souvent accidentogènes ? Ce sont autant de questions que posent ces drames à répétition, avec à chaque fois le même constat amer : celui d’une jeunesse fauchée, d’une famille brisée, d’un territoire endeuillé. __________________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Photo illustration france 3, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci RSA : DERNIER FILET DE SÉCURITÉ OU PIÈGE À EXCLUSION ? Ne plus avoir de revenu, mais ne pas sombrer. Le Revenu de solidarité active (RSA) est, pour plus de deux millions de personnes en France, l’ultime rempart contre la grande précarité. Créé en 2009 pour remplacer le RMI, il incarne la promesse d’un socle minimum de ressources pour les adultes sans emploi ou aux revenus très faibles. Pourtant, quinze ans après sa mise en place, ce dispositif soulève des interrogations : est-il vraiment un tremplin vers l’emploi ou un mécanisme d’assistance figé dans ses limites ? Et à quel prix pour les bénéficiaires ? Le RSA garantit un revenu minimum de 635 euros par mois pour une personne seule sans ressources. Le montant peut augmenter selon la composition du foyer. Il est versé par les Caisses d’allocations familiales (CAF) ou la Mutualité sociale agricole (MSA). En contrepartie, les bénéficiaires sont tenus d’effectuer des démarches d’insertion : recherche d’emploi, formation, accompagnement social. Depuis plusieurs mois, le gouvernement a engagé une réforme visant à conditionner le versement du RSA à 15 à 20 heures d’activité hebdomadaire. Une mesure qui fait débat. Ses partisans y voient un levier d’émancipation, ses opposants dénoncent une stigmatisation des plus vulnérables, souvent confrontés à des freins multiples : isolement, problèmes de santé, absence de qualification, ou encore fractures territoriales. Dans les faits, les parcours restent souvent chaotiques. Selon un rapport du Sénat publié en 2023, près de 40 % des allocataires ne sont pas ou peu accompagnés. Et seuls 3 % sortent durablement du RSA chaque année grâce à un retour à l’emploi stable. Ces chiffres questionnent l’efficacité de l’accompagnement proposé, mais aussi les moyens humains déployés. Certaines collectivités locales, comme le Département de l’Essonne ou du Bas-Rhin, expérimentent de nouveaux dispositifs d’insertion « par l’activité » ou renforcent le suivi individualisé. Des initiatives saluées, mais qui peinent à se généraliser, faute de moyens et de personnel formé. Le RSA est un filet, mais il est fragile. Il protège de l’extrême pauvreté, mais ne suffit pas à reconstruire une vie digne sans un accompagnement fort et humain. La réforme en cours, en imposant des contreparties, tente de transformer l’aide en moteur. Mais sans un investissement massif dans l’insertion et la lutte contre l’exclusion sociale, cette logique risque de produire l’inverse de ce qu’elle promet. Faire du RSA un vrai tremplin passe d’abord par la reconnaissance des réalités de terrain, loin des stéréotypes. Le défi n’est pas seulement économique : il est profondément social. __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci HORIZONS DÉVOILE SES CARTES DANS L’AUDE POUR LES MUNICIPALES DE 2026 À deux ans des élections municipales, le parti Horizons affûte ses armes. Fondée par l’ancien Premier ministre Édouard Philippe, la formation centriste vient de franchir une étape décisive dans sa stratégie de conquête locale : la désignation de ses chefs de file dans toute la France. Dans l’Aude, deux noms émergent : François Mourad à Carcassonne et Olivier Jacquet-Francillon à Narbonne. Une montée en puissance mesurée mais assumée, pour un parti encore jeune mais bien décidé à peser dans le paysage politique local. Le communiqué d’Horizons, publié le 29 avril, en dit long sur l’intention de structurer un maillage territorial efficace. À Carcassonne, François Mourad, conseiller départemental et ancien collaborateur de Gérard Larrat, a été officiellement nommé chef de file. Une reconnaissance politique pour celui qui, dans nos colonnes, ne cachait déjà pas son envie de s’engager pleinement pour 2026. À Narbonne, c’est Olivier Jacquet-Francillon, délégué municipal Horizons, qui hérite du flambeau. Tous deux auront la mission délicate d’incarner les valeurs du parti dans leurs bassins de vie, mais aussi de dialoguer avec les autres composantes de la majorité présidentielle. Car la stratégie d’Horizons repose sur un principe clair : jouer collectif, tout en consolidant sa propre identité. Ce premier tour de table ne vaut pas investiture. La phase suivante interviendra dans plusieurs mois, sous l’égide de Christelle Morançais, présidente de la région Pays de la Loire, et responsable des investitures. Une manière, selon le parti, de « laisser le temps aux dynamiques locales de s’installer », comme le souligne Pierre-Yves Bournazel, secrétaire général délégué d’Horizons. Ce dernier insiste sur la nécessité d’un dialogue ouvert avec les partenaires de la droite et du centre. Car l’enjeu est bien là : éviter la dispersion des candidatures au sein de la majorité présidentielle, tout en construisant des projets municipaux lisibles et cohérents. En filigrane, c’est un test grandeur nature pour Horizons. Le parti veut démontrer qu’il peut exister au-delà de la figure tutélaire d’Édouard Philippe, et s’ancrer durablement dans les territoires. L’Aude, historiquement peu favorable à la droite modérée, représente un terrain d’expérimentation idéal. La désignation de figures comme François Mourad et Olivier Jacquet-Francillon est une manière d’installer des relais solides, capables de fédérer, convaincre et, peut-être, gouverner demain. Reste à savoir si cette montée en puissance progressive portera ses fruits face à des sortants bien implantés et des électorats de plus en plus volatils. __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci 🎬 LES SORTIES CINÉ DE LA SEMAINE AU CGR CARCASSONNE & NARBONNE ✨ DES JOURS MEILLEURS Comédie dramatique (1H44) - France, Belgique De Elsa Bennett, Hippolyte Dard - Sortie le 23/04/2025 Avec Valérie Bonneton, Michèle Laroque, Sabrina Ouazani, Clovis Cornillac, Sophie Leboutte Tous public A la suite d'un accident de voiture, Suzanne perd la garde de ses trois enfants. Elle n'a plus le choix et doit se soigner dans un centre pour alcooliques. A peine arrivée, elle y rencontre Alice et Diane, deux femmes au caractère bien trempé... Denis, éducateur sportif, va tenter de les réunir autour du même objectif : participer au rallye des Dunes dans le désert marocain. Il devra s'armer de beaucoup de patience et de pédagogie pour préparer cet improbable équipage à atteindre son objectif. Tous les jours : 18h00 🎟️ Programme et horaires sur https://www.cgrcinemas.fr __________________________ Alicia BREITMAN, Journaliste indépendante pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci LE HBCC CLÔT LA SAISON EN BEAUTÉ : MATCH CHAUD, FIDÉUÀ ET DJ LÉA AU PROGRAMME Le rideau tombera bientôt sur une saison intense pour le Handball Club Carcassonnais. Et pour marquer le coup, le club donne rendez-vous à ses fidèles le samedi 24 mai dès 19 h, à la Halle aux Sports Nicole Abar. Un dernier match à domicile en Nationale 3 contre l’équipe des Volcans précèdera une soirée festive sur le parvis, entre convivialité, musique et partage. Plus qu’un simple événement sportif, cette soirée de fin de saison se veut un temps fort pour remercier les joueuses, les bénévoles et le public. Sur le terrain, le HBCC tentera de conclure sur une bonne note face à un adversaire solide. Cette ultime rencontre, prévue à 19 h, est l’occasion de saluer une saison exigeante marquée par des performances remarquables, notamment de la part de la section féminine du club. À peine le coup de sifflet final retenti, le cœur battra au rythme de la fête. Dès 20 h 30, place au repas partagé — fidéuà, fromage et dessert — animé par la pétillante DJ Léa. Le tarif est fixé à 20 € par personne, avec une inscription obligatoire via HelloAsso ou directement au bureau du club. L’objectif ? Prolonger l’esprit d’équipe en dehors du terrain, fédérer autour de la passion du handball et valoriser l’engagement de tous. Derrière cette initiative, c’est une vision du sport comme vecteur de lien social qui se dessine. Car si les victoires s’inscrivent sur le tableau d’affichage, ce sont les moments de cohésion comme celui-ci qui forgent l’âme d’un club. Cette soirée de clôture incarne donc bien plus qu’une simple fin de saison : elle célèbre un collectif uni, des valeurs partagées, et une ambition qui regarde déjà vers l’avenir. Alors, une question se pose : et si le HBCC était plus qu’un club de handball ? __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci |
Information, sport, musique, divertissement... Au delà de la fabrication et la diffusion de programmes originaux, notre mission est de former les publics à la maitrise de la communication (à partir de 11 ans) et de les faire participer aux pratiques de l'audiovisuel, en leur donnant la possibilité de s'exprimer via nos trois supports : presse, radio et télévision.
![]()
L’idée du projet C11.MEDIA est de toucher un large éventail de publics en offrant une grande variété de contenus, tout en mettant à profit le meilleur de la technologie en matière de diffusion audiovisuelle.
Pour cela, notre mission consiste à la mise en place d'une offre média "digitale" multi-support intégrant des outils de communication de proximité (presse, radio et télévision) et un puissant réseau communautaire. Offrir un espace de libre expression rendant possible la prise de parole, l'argumentation, l'échange, le passage et la confrontation d'idées au travers une offre de programmes audiovisuels interactifs et contradictoires
Mais au delà de l'aspect technique, il s'agit aussi de favoriser l'éveil des citoyens du département (Aude) par la création, la production et la diffusion de programmes audiovisuels originaux ; Donner la parole à celles et ceux qui ne l'on pas, permettant à chacun de s'exprimer sur les sujets de la vie courante ; Archives
Mai 2025
|