LA VOITURE DU MAIRE DE QUILLAN PREND FEU EN PLEIN CONSEIL COMMUNAUTAIRE Moment de stupeur ce jeudi 6 février 2025 à Quillan. En plein conseil de la Communauté de Communes des Pyrénées audoises, le véhicule du maire Pierre Castel a pris feu aux alentours de 15 h 15, provoquant une vive inquiétude parmi les participants. Des témoins ont rapidement réagi. Plusieurs personnes se sont précipitées avec des extincteurs pour circonscrire l'incendie et éviter qu'il ne se propage aux véhicules voisins. Malgré la rapidité de l'intervention, le véhicule hybride a subi d'importants dégâts. Alertés, les gendarmes de la communauté de brigade ont sécurisé la zone avant l'arrivée des pompiers de Quillan. L'origine du sinistre reste encore indéterminée. Une enquête a été ouverte pour déterminer si l'incident relève d'un accident technique ou d'un acte volontaire. Cet incident intervient dans un contexte tendu au sein de la municipalité, bien que rien ne permette encore d'établir un lien avec des tensions locales. Les habitants de Quillan attendent avec attention les conclusions de l'enquête. _________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci UNE POLÉMIQUE FABRIQUÉE CONTRE LE RN ? Le 17 janvier dernier, lors de la cérémonie des vœux du député Rassemblement national (RN) de la 1re circonscription de l’Aude, Christophe Barthès, un couple assiste à l’événement, chantant La Marseillaise parmi les participants. Leur présence semble anodine, mais suscite des interrogations : on les a déjà vus aux côtés du RN, mais aussi impliqués dans le groupuscule identitaire Novelum Carcassonne, une formation locale créée en 2022. Pourtant, ni eux ni le parti lepéniste ne revendiquent une quelconque affiliation mutuelle. Faut-il y voir une tentative de faire un lien artificiel entre le RN et des militants identitaires ?L’analyse des faits montre que ce couple n’a jamais été membre du RN. Leur présence à certains événements du parti, comme un déjeuner organisé en janvier 2023, est avant tout le fait d’une curiosité politique. "On ne croit pas à la politique actuelle. Personnellement, j’ai toujours aimé les débats et voir ce que proposent certains partis. Mais nous ne nous sommes pas impliqués au Rassemblement national", assure l’homme. Il ajoute avoir quitté Novelum depuis plusieurs mois. Le RN de l’Aude, de son côté, rejette toute connexion avec ce mouvement identitaire. "Ils ne sont pas dans notre registre", tranche Maxime Bot, délégué départemental du parti. "Les vœux, comme ce repas, étaient ouverts au public. Tout le monde pouvait venir. Une chose est sûre, si un membre de Novelum intègre notre parti, il sera exclu. On ne s’associe pas du tout à ce groupuscule. Ceux qui ont une double adhésion ne peuvent être au Rassemblement national." Le député Julien Rancoule va plus loin et dénonce une tentative de manipulation médiatique orchestrée par la presse régionale. "Le groupe de presse de Carole Delga tente encore une fois de fabriquer une pseudo-affaire à notre encontre. Cette fois-ci, il nous explique qu’un jeune couple, non-adhérent du RN, qui avait participé à des actions en soutien aux Arméniens, contre l’immigration incontrôlée et en mémoire de Lola, assassinée par une clandestine algérienne, a osé assister à une cérémonie publique des vœux d’un député ! Ridicule." Derrière cette énième tentative de polémique, il y a une réalité bien plus dérangeante : La Dépêche, ce sont plus de 7,5 millions d’euros de subventions publiques et une manne financière considérable venant des collectivités socialistes, notamment du département et de la région. L’argent des contribuables sert à fabriquer des amalgames contre la majorité des Audois, qui vote RN. Dans ce contexte, la controverse autour de ce couple apparaît davantage comme une manœuvre politique que comme une révélation factuelle. Si leur passé militant suscite des interrogations, le RN n’est en rien responsable des pensées nauséabondes que certains peuvent avoir en tête. En tentant d’établir des connexions douteuses, certains médias régionaux semblent vouloir entretenir la confusion, au détriment d’un débat serein et objectif. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci SANDRA ORTU, UNE ARTISTE ENGAGÉE EN CONCERT POUR LA RECHERCHE CONTRE ALZHEIMER Chanteuse indépendante originaire de l’Aude, Sandra Ortu poursuit son ascension musicale tout en mettant son art au service de grandes causes. Les 8 et 9 février prochains, elle se produira à la salle des fêtes de Rieux-Minervois dans le cadre de l’événement "Le Soleil des Nuits", organisé par Céleste Venus. Cette manifestation, qui mêle exposition artistique et concerts, vise à récolter des fonds pour la fondation Alzheimer. Dès son plus jeune âge, Sandra Ortu s’est forgée une expérience scénique en chantant au sein du groupe familial "Les Bout’Chous" à Limoux. Mais c’est en 2022 qu’elle décide de se lancer officiellement en tant qu’artiste indépendante. Son premier single, "Ensemble", marque le début d’une aventure musicale engagée, rapidement suivie d’un EP en 2023. Ses chansons, qu’elle écrit et interprète elle-même, véhiculent des valeurs essentielles à ses yeux : amour, solidarité et humanité. Son dernier titre, "Solidaires", écrit et composé par Julien Aucher, illustre parfaitement cette philosophie. Son talent et son engagement lui valent une visibilité croissante. Interviewée par plusieurs radios locales et webs radios, notamment en Belgique, elle a également foulé des scènes importantes comme celles de la Foire de Marseille en 2022 et 2023. En 2022, elle a même eu l’opportunité de se faire connaître du grand public en participant à l’émission télévisée "Le JLPP de Jacky" sur IDF1. Mais Sandra Ortu ne compte pas s’arrêter là. Actuellement en préparation d’un album intitulé "ATYPIC’S", prévu pour l’été 2025, elle vient également de signer avec l’agence artistique "News Artist’", basée dans les Hauts-de-France, qui accompagne les artistes indépendants. Une étape clé dans son parcours, qui pourrait bien lui ouvrir de nouvelles portes. Au-delà de la musique, Sandra Ortu s’investit dans plusieurs domaines. Sportive, elle s’entraîne à l’Orange Bleue à Carcassonne. Elle est aussi modèle pour la marque de vêtements "Made in Sam", qui défend l’inclusion et la sensibilisation à l’autisme et au handicap. Par ailleurs, elle consacre du temps au bénévolat en collaborant avec plusieurs associations, notamment S Causes, Les Pouponnières du Soleil et le GISC Réservoir d’artistes. Fidèle à sa devise, "Seul on va vite, ensemble on va plus loin", Sandra Ortu fait de son engagement un moteur de création. Son concert à Rieux-Minervois s’annonce comme un moment fort, non seulement pour ses fans, mais aussi pour la cause qu’elle défend. Une artiste à suivre de près. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci DÉLINQUANCE DANS L'AUDE : LA COCAÏNE DE PLUS EN PLUS PRÉSENTE, UNE RÉPONSE RENFORCÉE DES AUTORITÉS L’Aude n’échappe pas à l’explosion du trafic et de la consommation de stupéfiants en France. C’est le constat dressé hier par le préfet Christian Pouget, le directeur départemental de la police nationale Laurent Sindic et le commandant du groupement de gendarmerie de l’Aude, le colonel Francis David. Présentant le bilan 2024 de la délinquance, les responsables ont alerté sur la banalisation de la cocaïne, devenue accessible à toutes les classes sociales, y compris dans les zones rurales. Le constat local s’inscrit dans une dynamique nationale. En 2024, la France a enregistré une hausse spectaculaire de 130 % des saisies de cocaïne, atteignant 53,5 tonnes, tandis que celles de cannabis reculaient de 19 %. Dans l’Aude, les forces de l’ordre ont mis en cause 1 210 personnes pour usage de stupéfiants (+ 7,4 %), tandis que le nombre d’individus interpellés pour trafic a diminué de 10,9 %, passant à 212. Un recul à nuancer, selon les autorités : « On peut démanteler plus de réseaux tout en comptabilisant moins de mis en cause. L’unité de mesure, c’est la procédure », a expliqué Laurent Sindic. Dans la zone police, le nombre de trafics démantelés a augmenté de 38 %, avec 47 affaires résolues. Les procédures liées à l’usage et à la revente ont, elles, progressé de 27 %. La gendarmerie enregistre également une hausse de 19 % des cas d’usage de stupéfiants, avec 600 amendes forfaitaires délictuelles distribuées. Plusieurs opérations d’envergure ont permis de mettre un coup d’arrêt à certains réseaux, notamment à Limoux ou à Canet-d’Aude, où un couple et leur fils ont été interpellés pour trafic de cannabis et de cocaïne. Le phénomène inquiète les autorités, qui constatent une « démocratisation » de la cocaïne. « Il y a dix ans, le gramme était à 150 euros, aujourd’hui, il oscille entre 60 et 90 euros. Certains consommateurs achètent même pour 10 euros, ce qui montre une banalisation du produit », prévient le DDPN. Cette accessibilité accrue touche désormais des populations plus jeunes et moins aisées. Face à cette situation, les forces de l’ordre appliquent une stratégie de « harcèlement des points de deal ». L’objectif : perturber l’approvisionnement et la distribution de drogues. En 2024, 1 658 opérations de déstabilisation ont été menées. Le volet répressif s’est aussi intensifié : 15 kg de cannabis, 2 kg de cocaïne et 1 kg d’herbe ont été saisis sur les circonscriptions de Carcassonne et Narbonne. Des avoirs criminels d’une valeur totale de 600 000 euros, dont 80 000 euros directement issus du trafic de stupéfiants, ont été confisqués. Les autorités insistent également sur la nécessité de responsabiliser les consommateurs. La campagne nationale de lutte contre la drogue, lancée mardi par le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, insiste sur cette responsabilité individuelle. Un clip choc rappelle que « chaque jour, des personnes paient le prix de la drogue que vous achetez ». Si l’action policière s’intensifie, le marché de la drogue reste dynamique. « Beaucoup de stocks ont été constitués pendant la période Covid. Malgré les saisies, ils ne diminuent pas », explique le préfet Pouget. Autre stratégie observée : la diversification des méthodes d’approvisionnement. Les trafiquants exploitent de nouvelles failles, comme l’illustrent ces dealers interpellés à Canet-d’Aude, qui transportaient des stupéfiants avec leur nourrisson pour échapper aux contrôles douaniers. Face à un trafic qui s’adapte en permanence, les forces de l’ordre multiplient les initiatives. Mais la lutte contre les stupéfiants ne se résume pas à une simple répression. La question de la prévention et du soin aux consommateurs se pose avec acuité. Le gouvernement en fera-t-il une priorité dans les mois à venir ? ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LES ÉLECTIONS À LA CHAMBRE D'AGRICULTURE DE L'AUDE : UNE NOUVELLE CONFIGURATION POUR LES AGRICULTEURS Le dépouillement du scrutin pour l’élection des représentants à la chambre d’agriculture de l’Aude a livré son verdict. La liste d’union FDSEA-Jeunes Agriculteurs (JA), portée par Ludovic Roux, l’a emporté avec 48,85 % des voix. Si elle reste la principale force agricole du département, elle enregistre un léger recul par rapport à 2019. Pendant ce temps, la Coordination Rurale (CR) progresse significativement, atteignant 30,47 % des suffrages, tandis que la Confédération Paysanne subit une légère érosion avec 20,68 %. Les agriculteurs audois étaient appelés à voter entre le 15 et le 31 janvier pour désigner leurs représentants, et c’est en préfecture, ce jeudi 6 février, que le dépouillement a été effectué. Ce scrutin, essentiel pour l’orientation des politiques agricoles locales, reflète une recomposition des équilibres syndicaux. Ludovic Roux, président des vignerons coopérateurs d’Occitanie et tête de liste FDSEA-JA, a réagi à cette victoire en insistant sur les défis à venir : "C’est un soulagement. Je remercie tous les électeurs qui ont voté, même ceux qui n’ont pas voté pour nous. Il y a eu plus de participation que la dernière fois. Cela légitime notre travail. Maintenant, je sais que le plus dur commence. On va se battre pour maintenir notre capacité à produire et pour notre rentabilité." Avec 13 élus, la FDSEA-JA reste majoritaire et Ludovic Roux devrait être élu président de la chambre d’agriculture le 4 mars prochain, succédant à Philippe Vergnes. L’un des faits marquants de cette élection est la poussée de la Coordination Rurale. Le syndicat, qui revendique une approche plus contestataire et axée sur la défense des exploitants face aux normes administratives et aux pressions économiques, a enregistré une nette progression. Sa tête de liste, Nadine Boyé, se félicite de cette montée en puissance : "On a progressé. On voit qu’au niveau national, c’est le cas aussi puisqu’on a gagné des chambres d’agriculture. On ne fera pas cette fois-ci la politique de la chaise vide. On viendra siéger à cette assemblée. On souhaite une mandature constructive pour l’agriculture audoise. On va y aller dans cet esprit. Le but, c’est de ne pas se tirer dans les pattes. On a tous les mêmes problèmes. Mais s’il y a des choses qui ne vont pas, ou qu’on nous cache, nous le dirons." Avec trois élus, la Coordination Rurale obtient ainsi une place plus importante dans les débats à venir. Enfin, la Confédération Paysanne, qui avait obtenu 24,6 % des voix lors du précédent scrutin, enregistre un léger recul à 20,68 %, ce qui lui permet tout de même d’obtenir deux sièges. Ce tassement reflète les difficultés du syndicat à mobiliser face à une Coordination Rurale qui séduit de plus en plus d’agriculteurs en quête d’un discours plus radical face aux crises successives du secteur. Ce scrutin illustre ainsi les tensions qui traversent le monde agricole audois. Entre la FDSEA-JA, qui incarne une approche institutionnelle et gestionnaire, et une Coordination Rurale en forte progression, l’opposition pourrait s’intensifier dans les années à venir. Reste à savoir comment ces syndicats travailleront ensemble pour défendre les intérêts des agriculteurs face aux défis climatiques, économiques et réglementaires. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci BAISSE DU SEUIL DE FRANCHISE DE TVA : UN COUP DUR POUR 350 000 ENTREPRENEURS ET ASSOCIATIONS7/2/2025 La baisse brutale du seuil de franchise de TVA à 25 000 € suscite une vive opposition. Ce vendredi 7 février, une délégation de la Fédération Nationale des Auto-Entrepreneurs (FNAE) s'est rendue au ministère pour défendre les intérêts des 350 000 entrepreneurs, associations et collectivités locales concernés. La mesure, imposée sans concertation, bouleverse l'écosystème économique et social. Un point crucial émerge de cette réunion : même la ministre reconnaît que la réforme a été décidée sans dialogue préalable et que ses conséquences dépassent largement le cadre des entreprises. Face à la pression, le ministère annonce une concertation de deux semaines, mais refuse de s'engager sur un retrait de la mesure. Les opposants à la réforme insistent sur ses effets négatifs. D'abord, elle pénalise les auto-entrepreneurs, contraints d'intégrer la TVA dans leurs prestations, impactant leur compétitivité. Ensuite, elle alourdit la charge financière des associations et des collectivités locales, désormais confrontées à des coûts supplémentaires non prévus. Enfin, le manque de consultation préalable suscite un profond malaise dans l'ensemble du tissu économique concerné. La FNAE ne compte pas lâcher prise. Elle appelle les parlementaires à se saisir du sujet et à faire tomber cette mesure au Parlement. La mobilisation se poursuit et les entrepreneurs, associations et collectivités locales sont appelés à signer une pétition et à interpeller leurs élus. Il n'est pas trop tard pour signer la pétition : https://fnae.fr/combats-fnae-plf-2025/ ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci PIERRE DURAND EST-IL LÉGITIME À RENOUVELER SON MANDAT LORS DES PROCHAINES ÉLECTIONS MUNICIPALES DE 2026 ? À Limoux, le nom de Pierre Durand, maire de la ville depuis plusieurs mandats, est indissociable du paysage politique local. Mais à l’approche des élections municipales de 2026, des voix s’élèvent pour remettre en question sa légitimité à poursuivre son mandat. Entre accusations de mauvaise gestion de l’argent public, comportements autoritaires, conflits d’intérêts, clientélisme et une gestion controversée du développement culturel, le maire sortant semble désormais sur la sellette. Depuis plusieurs années, Pierre Durand est accusé d’une gestion peu transparente et de décisions qui semblent davantage nourrir ses ambitions politiques que les besoins réels de la population. Les critiques pointent une gestion des finances publiques jugée désastreuse, marquée par des dépenses inconsidérées, en particulier dans la création d’un centre culturel dont le budget dépasse largement les capacités de la commune. Un projet ambitieux, certes, mais dont le coût – près de 27 millions d’euros – interroge sur la priorisation des investissements, notamment lorsque de nombreux autres secteurs comme les infrastructures ou la sécurité demeurent sous-financés. Le clientélisme est également au cœur des reproches. De nombreux observateurs dénoncent la manière dont Pierre Durand a consolidé son pouvoir en distribuant des subventions et en plaçant ses alliés à des postes stratégiques au sein d’associations et d’entreprises locales. Cette méthode d’« achat » de soutien, à travers la répartition de l’argent public, est régulièrement critiquée, renforçant l’image d’un maire plus soucieux de son maintien au pouvoir que du bien-être collectif. Ajoutez à cela son comportement autoritaire, qu’il semble difficile de contester, et sa propension à marginaliser les opposants au sein du conseil municipal et de la société civile, et vous obtenez un portrait peu flatteur. Le maire se serait-il égaré en pensant que Limoux lui appartenait, plutôt qu’il n’appartenait à ses citoyens ? Les élus de l’opposition, souvent mis de côté dans les prises de décisions, ne manquent pas de soulever cette question. Face à ces accusations, Pierre Durand semble de plus en plus fragilisé, et la question de sa légitimité en tant que leader se pose avec insistance. Si sa carrière a été marquée par des réussites notables dans l’aménagement de la ville, ces dernières années ont laissé place à une gestion plus opaque, laissant les habitants se demander si un renouveau n’est pas nécessaire. Les Limouxins auront-ils encore confiance en un maire qui semble avoir accumulé tant de reproches, ou l’heure du changement a-t-elle sonné ? L’avenir de la ville pourrait bien en dépendre. ________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LÉZIGNAN-CORBIÈRES : LE XIII GIPSY SE STRUCTURE POUR 2025-2026 C’est une nouvelle étape pour le XIII gipsy de Lézignan-Corbières. Initialement rattachée à l’association Vivre ensemble, l’équipe de rugby à XIII composée en grande majorité de jeunes issus de la communauté gitane dispose désormais de sa propre structure. Une démarche longue et exigeante qui, après cinq mois d’efforts administratifs, permettra au club d’être engagé la saison prochaine en championnat senior. Wilfrid Mata, président du club, affiche une détermination sans faille. "Nous étions auparavant sous l’égide d’une association, ce qui compliquait la gestion administrative. Créer une structure indépendante était devenu une nécessité", explique-t-il. Dépôt des statuts, ouverture d’un compte bancaire, affiliation à la FFR XIII… autant d’étapes indispensables qui ont retardé leur participation cette saison, mais garantissent désormais une organisation plus stable et pérenne. L’an prochain, le XIII gipsy pourra compter sur une vingtaine de joueurs âgés de 20 à 25 ans, renforcés par quelques "vieux briscards" déjà aguerris aux exigences du haut niveau. L’histoire de cette équipe est celle d’un combat contre les préjugés. Au printemps dernier, en U19 Nationaux, les jeunes joueurs avaient suscité de nombreuses interrogations avant même leur premier match. "On m’avait dit : ‘Tu ne sais pas où tu mets les pieds, vous ne ferez pas un match…’", se souvient Wilfrid Mata. Pourtant, l’équipe a brillamment démenti les sceptiques en atteignant la finale de la coupe et du championnat. "Tout au long de la saison, ils ont été exemplaires. Pas une seule bagarre générale, une discipline sans faille. On a perdu par manque d’expérience, mais nous avons prouvé notre valeur", souligne le président avec fierté. Faute d’engagement cette année, certains joueurs ont été intégrés aux U19 du FCL XIII, signe que leur niveau de jeu a su convaincre. En attendant leur grand retour, l’équipe se prépare activement : musculation, cardio, entraînements intenses pour ne rien laisser au hasard. Mais au-delà des performances sportives, Wilfrid Mata mise sur la cohésion humaine. "Le sport est avant tout une histoire de collectif. Mon objectif n’est pas de viser un niveau de compétition à tout prix, mais de construire un groupe soudé, où l’amitié et la solidarité priment." L’an dernier, l’un des moments forts fut leur déplacement à Saint-Gaudens : "Il y avait des drapeaux gitans partout, une ambiance incroyable. Nous avons gagné 70 à 14. Ce jour-là, j’ai senti qu’une véritable alchimie s’opérait." Les institutions locales ne s’y sont pas trompées. La mairie de Lézignan-Corbières, la communauté de communes, le comité de l’Aude et la FFR XIII ont apporté leur soutien au projet. "Le maire nous a félicités pour notre parcours et nous a assurés de son appui", confie Mata. Une reconnaissance qui ne s’arrête pas aux institutions : la ferveur populaire qui entoure l’équipe atteste de son ancrage dans la ville et bien au-delà. Le XIII gipsy veut démontrer que le sport peut être un vecteur d’intégration et de réussite, en renversant les clichés et en prouvant que l’envie et le travail finissent toujours par payer. Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. 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L’émission promet des révélations exclusives, des moments d’émotion et un accès inédit aux coulisses de l’un des talk-shows les plus suivis de France. À 23h00, "Inside TPMP" offrira une immersion dans la dernière saison de l’émission, entre confidences et anecdotes sur les coulisses de l’arrêt de la chaîne. Le vendredi 28 février, la programmation spéciale se poursuivra dès 19h35 avec "La grande soirée de C8". Un ultime hommage à l’histoire du canal 8, qui a connu plusieurs transformations, de Direct 8 à D8, avant de devenir C8. Ce dernier rendez-vous retracera les vingt années qui ont façonné son identité, entre moments cultes, records d’audience et instants inoubliables. Un adieu en grande pompe qui promet d’émouvoir autant que de divertir. Alors que la fermeture de C8 signe la fin d’un chapitre télévisuel, elle soulève également des interrogations sur l’avenir du paysage audiovisuel français. La disparition d’une chaîne aussi influente laisse un vide pour ses fidèles téléspectateurs, tandis que le débat sur la régulation du secteur continue de faire rage. Reste à savoir si une nouvelle offre viendra un jour combler ce départ. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, C8 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci BUSINESS ET CONVIVIALITÉ : UN NETWORKING PAS COMME LES AUTRES POUR LA SAINT-VALENTIN Fête des amoureux par excellence, la Saint-Valentin se décline cette année sous une forme inédite à Narbonne. Le 14 février, l’agence Protéine transforme cette journée en opportunité professionnelle avec un événement de networking pas comme les autres. Objectif : permettre aux entrepreneurs passionnés de tisser de nouveaux liens, échanger des idées et, pourquoi pas, trouver leur alter ego en affaires. Dans la salle WAW, située boulevard Gambetta, les discussions battront leur plein entre 10h30 et 14h00. Start-up, indépendants, chefs d’entreprise… Tous les profils sont conviés à ce rendez-vous où la convivialité est de mise. Entre café, partages d’expériences et échanges inspirants, les organisateurs misent sur une atmosphère propice aux connexions authentiques. Le maître-mot : créer du lien, qu’il soit professionnel ou amical, et pourquoi pas, voir naître des collaborations prometteuses. Alors que le monde du travail se digitalise et que les interactions en face-à-face deviennent plus rares, cet événement veut redonner toute sa place à l’humain. Se rencontrer autrement, échanger en dehors du cadre conventionnel et profiter d’une ambiance détendue : autant de raisons pour les entrepreneurs de se laisser séduire par cette initiative originale. Inscription ouverte pour tous ceux qui souhaitent élargir leur réseau… sans compromettre leur dîner en amoureux. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. 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Grâce à la rapidité de l’intervention, le feu a été circonscrit avant qu’il ne menace d’autres bâtiments de cette ruelle étroite et enclavée. Toute la nuit et jusqu’au matin du mardi 4 février, les sapeurs-pompiers ont maintenu une surveillance active des lieux pour éviter toute reprise du feu. Si aucun blessé n’est à déplorer, la maison est aujourd’hui inhabitable, entièrement calcinée de l’intérieur. Une enquête est en cours pour déterminer les causes exactes de l’incendie. ________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : Claude Delbourg Journal L'indépendant 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci BAISSE DU SEUIL DE TVA : UNE MENACE POUR LES AUTO-ENTREPRENEURS ? Le projet de loi de finances pour 2025, défendu par le gouvernement Bayrou, prévoit d’abaisser le seuil d’exonération de TVA pour les petites entreprises de 37.500 euros à 25.000 euros de chiffre d’affaires annuel. Une réforme qui vise à élargir l’assiette fiscale pour réduire le déficit public, mais qui suscite de vives inquiétudes parmi les auto-entrepreneurs. Pour ces derniers, cette mesure pourrait entraîner une perte de compétitivité et une complexification administrative, au risque de fragiliser leur activité. Actuellement, les auto-entrepreneurs sous ce seuil bénéficient d’une exonération de TVA, ce qui leur permet de proposer des prix plus attractifs et d’éviter des démarches comptables lourdes. Avec la réforme, environ 250.000 entrepreneurs supplémentaires devront collecter la TVA et la reverser à l’État. Un bouleversement qui inquiète Grégoire Leclercq, président de la Fédération nationale des auto-entrepreneurs (FNAE). Il redoute que cette nouvelle obligation ne force ces travailleurs indépendants à augmenter leurs tarifs de 20% pour compenser, au risque de perdre leur clientèle. D’autres, faute de pouvoir imposer cette hausse, pourraient voir leur marge s’éroder dangereusement. Au-delà de l’impact économique, la mesure soulève un défi administratif. Le passage à un régime assujetti à la TVA implique des obligations comptables accrues, comme la déclaration et le reversement semestriel de la taxe. Une tâche qui pourrait se révéler particulièrement lourde pour de nombreux indépendants non rompus aux arcanes fiscales. Certains experts anticipent même une montée des fraudes, avec des auto-entrepreneurs tentés de sous-déclarer leur chiffre d’affaires pour ne pas franchir le seuil fatidique. Alors que le gouvernement défend une réforme nécessaire pour assainir les finances publiques, les représentants des auto-entrepreneurs dénoncent une décision précipitée, risquant de mettre en péril un pan entier du tissu économique. La question reste posée : cette réforme permettra-t-elle réellement d’accroître les recettes fiscales sans compromettre l’équilibre fragile des très petites entreprises ? ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LES FRANÇAIS QUI SOUHAITENT LE RETOUR D’UNE POLITIQUE PLUS JUSTE SONT-ILS DE DROITE ? La question d’une politique plus juste résonne de plus en plus dans le débat public français, particulièrement dans un contexte de montée des inégalités, de crise économique et de défiance croissante envers les institutions. Mais cette quête de justice sociale, qui semble faire consensus chez une partie de la population, est-elle intrinsèquement liée à des valeurs de droite, ou peut-elle être portée par des partis aux idées plus progressistes ? Les Français qui aspirent à une politique plus juste, sont-ils vraiment des partisans de la droite ? Depuis plusieurs années, le sentiment d’injustice économique et sociale a envahi une grande partie de la société française. La montée des inégalités, la stagnation des salaires et la précarisation de certains secteurs ont contribué à alimenter ce malaise. Dans ce contexte, la notion de justice sociale revient sur le devant de la scène, avec l’idée qu’il est nécessaire de rééquilibrer les choses, de redistribuer les richesses et de rendre à chacun sa place dans une société plus équitable. Mais cette notion de justice se traduit-elle systématiquement par un soutien à la droite ? Les partis traditionnels de droite, en particulier Les Républicains, ont longtemps porté des discours qui se veulent synonymes de justice sociale, bien qu’ils défendent une approche plus libérale de l’économie. À droite, la justice se traduit par la réduction des impôts, la maîtrise de la dépense publique et un retour à l’ordre républicain. Certains électeurs de droite, notamment ceux issus des classes moyennes et populaires, se retrouvent dans cette vision : pour eux, une société plus juste passe par un allègement de la fiscalité, une sécurité renforcée et un soutien aux valeurs familiales traditionnelles. Ces arguments trouvent une certaine résonance, notamment auprès de ceux qui estiment que les politiques sociales menées ces dernières décennies ont fragilisé l’équilibre économique du pays. Pourtant, l’idée de justice sociale n’est pas l’apanage de la droite. À gauche, la notion de justice sociale prend une forme plus égalitaire et redistributive, mettant l’accent sur l’État providence, la solidarité et l’augmentation des services publics. Les partis de gauche, notamment la France Insoumise et le Parti Socialiste, défendent une approche de la justice qui passe par un renforcement des mécanismes sociaux, une répartition plus équitable des richesses et une politique fiscale plus progressive. Ces propositions, qui ont pour objectif de corriger les inégalités économiques, trouvent également un écho chez de nombreux Français qui se sentent laissés pour compte par les politiques économiques successives. Alors, où en est véritablement l’opinion publique ? De nombreux Français, en quête de réponses face à la crise sociale et économique, se trouvent désormais dans une position où l’aspiration à la justice sociale dépasse souvent les clivages traditionnels. De plus en plus, les électeurs semblent réclamer une politique qui allie à la fois fermeté en matière de sécurité, mais aussi équité sociale et solidarité. Certains, autrefois partisans de la gauche, se tournent vers des solutions plus conservatrices et libérales proposées par la droite, pensant que seul ce modèle pourra restaurer un certain ordre et garantir une justice redistributive efficace. D’autres, qui ont soutenu la droite par le passé, s’orientent aujourd’hui vers des propositions de gauche, espérant une approche plus humaine et solidaire face aux défis contemporains. Au final, la question reste ouverte : la recherche d’une politique plus juste est-elle en elle-même une position de droite ? Peut-être que la réponse réside dans la diversité des attentes des Français eux-mêmes. Pour certains, la justice passe par un libéralisme social, pour d’autres par un modèle d’égalité stricte. Le véritable défi pour la politique française, qu’elle soit de droite ou de gauche, sera de parvenir à définir une justice sociale qui réponde aux aspirations profondes des citoyens, sans tomber dans les pièges d’un clivage idéologique stérile. Les Français qui appellent de leurs vœux une politique plus juste ne sont donc ni à gauche ni à droite : ils sont avant tout en quête de solutions concrètes, efficaces et humaines pour améliorer leur quotidien. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… L'ARAGOU, SYMBOLE D'EXCÈS ET DE TRADITION Depuis près d'un demi-siècle, la bande de l'Aragou traverse sans complexe le Pont-Neuf de Limoux pour rejoindre les arcades du cœur de ville. Fidèles à leur réputation, ces fécos se distinguent par une démesure assumée et une fantaisie qui bouscule les conventions. Plus qu'une simple formation carnavalesque, l'Aragou est une institution, un marqueur identitaire de la Petite Ville, où règnent folklore et esprit frondeur. Tout commence dans les années 1970, au restaurant Louis Trauque. Une jeune génération d'habitants décide alors de donner naissance à une bande carnavalesque portant le nom d'Aragou, en référence à l'ancienne frontière historique de la région. Le quartier, à l'époque, prospère et commerçant, offre un terreau fertile à cette initiative. Rapidement, les Bastouils, Trauque et Buxeda se font remarquer par leur ingéniosité thématique. Affublés à l'origine d'un Pierrot noir et blanc, ils ne tardent pas à se distinguer par une tonalité plus paillarde et provocatrice, devenant ainsi un véritable label Aragou. Le carnaval de Limoux est un carnaval populaire dans son essence la plus pure. Contrairement à ceux de Nice ou de Venise, il repose sur l'expression spontanée d'une communauté et non sur une simple attraction touristique. L'Aragou s'inscrit pleinement dans cette logique : outranciers et spectaculaires, les membres de la bande défendent un esprit de fête ancré dans la tradition. L’exagération et la démesure sont leur marque de fabrique, attisant à la fois fascination et critiques. Mais ceux qui les dénoncent sont souvent les premiers à se presser sous les arcades pour les voir à l'œuvre. Chaque sortie de l'Aragou est un événement. Imprévisibles, les fécos de la Petite Ville s'inspirent d'un réservoir thématique inépuisable, proposant des spectacles toujours plus audacieux. La pêche miraculeuse, la ferme de Macchore ou encore leurs mille facéties loufoques sont autant d'exemples de leur créativité sans limites. Pourtant, sous leurs allures exubérantes, ces carnavaliers respectent scrupuleusement les règles et codes du carnaval de Limoux. Une fois le Pierrot enfilé, l'éthique carnavalesque reprend ses droits, garantissant un équilibre subtil entre tradition et modernité. Armés de leurs carabènes, les fécos de l'Aragou poursuivent leur mission : perpétuer un esprit festif et provocateur, tout en inscrivant leur action dans le respect du patrimoine blanquetier. Dimanche matin, comme chaque année, les badauds seront nombreux à suivre leurs déambulations, preuve que le souffle du carnaval de Limoux, entre tradition et excès, reste toujours aussi vivace. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LE FACTEUR NE DISTRIBUAIT PLUS LE COURRIER : NEUF MOIS POUR PARCOURIR CINQ KILOMÈTRES Le temps semble s’être figé dans le petit village de Lavalette, près de Carcassonne. Alors que la modernité promet des délais de distribution toujours plus courts, certains habitants ont attendu près de neuf mois pour recevoir leur courrier. En cause, un facteur qui, au lieu de livrer les plis, les aurait simplement accumulés dans son bureau. Un retard inédit qui interroge sur la gestion des services postaux et la réactivité de La Poste face aux dysfonctionnements internes. L’affaire éclate le 22 janvier lorsque plusieurs habitants découvrent dans leur boîte aux lettres des lettres oblitérées d’octobre et novembre derniers. Pour certains, l’attente fut encore plus longue. "J’ai reçu une quinzaine de lettres d’un coup, dont une que j’attendais depuis mars", raconte un habitant. Au total, ce sont des centaines de courriers qui ont été retrouvés stockés dans des caissettes de distribution, abandonnés au sein de l’agence de Lavalette. Face à la situation, le directeur du centre de tri de Carcassonne, Alexis Lecellier, évoque un "dysfonctionnement important" sans en préciser la nature exacte. L’explication semble pourtant bien plus triviale : un agent postal qui n’assurait plus ses tournées et conservait le courrier au lieu de le distribuer. Une anomalie qui aurait pu être détectée bien plus tôt, mais qui n’a été découverte qu’après plusieurs mois, laissant les usagers démunis et sans nouvelles parfois essentielles. Une enquête interne a été ouverte pour comprendre comment une telle défaillance a pu perdurer si longtemps. En attendant, la communication officielle de La Poste reste prudente. "La qualité de distribution du courrier et des colis est la priorité quotidienne de La Poste", indique le service relations médias, tout en rappelant que les facteurs assurent une distribution "six jours sur sept" sur l’ensemble du territoire. Une déclaration qui résonne avec ironie pour les habitants de Lavalette, encore dans l’attente de lettres datant du début de l’année passée. Si l’affaire met en lumière un dysfonctionnement singulier, elle pose une question plus large sur la capacité de surveillance et de réaction de l’institution. Comment un tel retard a-t-il pu passer inaperçu si longtemps ? L’automatisation croissante des services et la diminution des effectifs humains fragilisent-elles le suivi des opérations ? En attendant les conclusions de l’enquête, une chose est certaine : pour certains usagers, la confiance dans le service postal a pris un sérieux retard. ________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci HBCC CARCASSONNE S'IMPOSE AVEC AUTORITÉ FACE À SAINT-AFFRIQUE Dans une rencontre disputée avec intensité, le HBCC Carcassonne a triomphé de Saint-Affrique sur le score de 28 à 23 ce samedi 1er février 2025 à la Halle des Sports Nicole Abar. Sous l'arbitrage de Bastien Bes, les deux équipes ont offert un spectacle haletant, marqué par une première mi-temps extrêmement serrée, conclue sur un score de parité (12-12). Le début du match a témoigné d'un affrontement équilibré, chaque camp répondant coup pour coup dans une défense bien organisée. La solidité physique des joueuses de Saint-Affrique a posé de sérieux défis aux locales, qui ont néanmoins su faire preuve de rigueur tactique. C'est en seconde période que Carcassonne a pris son envol, imposant un rythme plus soutenu et exploitant chaque faille adverse. La performance remarquable de Lisa Castola, auteur de 7 buts, a joué un rôle clé dans cette montée en puissance, soutenue de près par Lucie Curade et ses 5 réalisations. Face à une équipe aveyronnaise tenace mais en difficulté sur les phases défensives, les Jaune et Noir ont progressivement creusé l'écart, scellant leur victoire dans les dernières minutes. Ce succès permet au HBCC Carcassonne de reprendre place parmi les équipes de tête du championnat. Une victoire qui souligne la montée en puissance du collectif et sa capacité à s'imposer face à des formations solides. Alors que la saison se poursuit, cette dynamique positive sera un atout essentiel pour la suite de la compétition. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LE RETOUR DE LA DROITE EST-IL ATTENDU ? Depuis plusieurs années, la droite française traverse une période de turbulences. Déchirée entre différentes factions, affaiblie par des échecs électoraux et une identité de plus en plus floue, elle peine à regagner la confiance d’un électorat qui semble lui avoir tourné le dos. Pourtant, après plusieurs cycles politiques marqués par la domination du centre et de la gauche, une question se pose aujourd’hui avec insistance : le retour du parti politique « de droite » est-il attendu ? L’élection présidentielle de 2022 a été un désaveu cinglant pour les partis traditionnels de droite. La défaite de Valérie Pécresse, la candidate des Républicains, face à Emmanuel Macron, a exacerbé les divisions internes au sein du camp conservateur. En parallèle, l’émergence de l’extrême droite, incarnée par Marine Le Pen, a pris une place de plus en plus prépondérante dans le paysage politique, redistribuant les cartes et attirant une partie de l’électorat traditionnellement de droite. Cependant, malgré ce déclin apparent, plusieurs signes laissent entrevoir que la droite pourrait, à terme, retrouver sa place sur la scène politique. Tout d’abord, l’arrivée d’une nouvelle génération de leaders pourrait offrir un nouveau souffle au parti Les Républicains. Loin des figures vieillissantes, des discours usés et des fractures internes, certains jeunes élus de droite, tels que Guillaume Peltier, Xavier Bertrand ou encore Éric Ciotti, pourraient réussir à unir un électorat désorienté. Ces personnalités tentent de redéfinir une droite plus moderne, davantage en phase avec les préoccupations des Français, tout en restant fidèle à des valeurs fondamentales telles que la liberté individuelle, la sécurité et la gestion des finances publiques. Ils semblent vouloir sortir des clivages traditionnels et proposer des solutions nouvelles, ce qui pourrait séduire une population lassée des politiques de compromis. D’autre part, l’échec des politiques menées par Emmanuel Macron et ses alliés du centre ouvre la voie à une critique de plus en plus acerbe de la gestion actuelle. Entre la montée de l’insécurité, le mécontentement lié à la gestion de la crise sanitaire et une économie qui peine à se relever, une partie de l’électorat pourrait bien se tourner vers la droite, à la recherche d’une alternative plus ferme et plus pragmatique. Le besoin de stabilité, de sécurité et de souveraineté, largement exprimé par les Français ces dernières années, pourrait conduire les électeurs à se tourner vers une droite plus réactive face aux défis du moment. Mais la question reste : cette droite retrouvée pourra-t-elle reconquérir l’ensemble du paysage politique, ou sera-t-elle condamnée à une politique de coalition avec l’extrême droite, un scénario qui pourrait nuire à son image ? La montée en puissance de partis comme le Rassemblement National a complexifié le jeu politique et offre à la droite traditionnelle un dilemme de taille : s’allier pour s’imposer ou rester fidèle à ses valeurs républicaines et se marginaliser. En conclusion, même si le retour de la droite semble de plus en plus probable au regard des désillusions actuelles vis-à-vis du gouvernement en place, cette reconquête ne sera pas sans défis. Si elle parvient à se redéfinir, à rassembler ses forces autour de projets cohérents et à s’adapter aux réalités sociales et économiques contemporaines, la droite pourrait retrouver une place prépondérante sur l’échiquier politique français. Mais pour cela, elle devra répondre à la demande de changement tout en restant fidèle à son identité. Le retour de la droite, en somme, dépendra de sa capacité à se renouveler et à se réconcilier avec les attentes de la société. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci UN MAIRE OMNIPRÉSENT, UNE STRATÉGIE ÉLECTORALE RISQUÉE ? Pierre Durand est partout. Le maire socialiste de Limoux, proche du Nouveau Front Populaire, multiplie les apparitions publiques, comme pour rappeler à ses administrés qu'il est là, bien en place, et prêt à briguer un nouveau mandat. Entre foires locales, cérémonies officielles et rassemblements associatifs, l'élu semble calibrer chacun de ses déplacements en fonction de l'électorat qu'il pourrait convaincre. Mais à force d'être omniprésent, ne risque-t-il pas de donner l'impression d'une présence trop appuyée, voire opportuniste ? Sa dernière apparition, en première ligne lors de l'assemblée générale de la Fnaca à l'Élysée, a suscité des interrogations. L'association, alors présidée par Jean-Paul Dupré, a dressé un bilan des manifestations de l'année écoulée. La présence de Pierre Durand à un tel événement, à la symbolique forte, révèle un positionnement stratégique assumé. L'enjeu ? Montrer qu'il est ancré dans la vie locale, au plus près des anciens combattants, d'une partie de l'électorat souvent mobilisée lors des scrutins municipaux. Cette approche s'inscrit dans une tradition bien rodée de nombreux élus en quête de réélection, mais le risque d'un effet contre-productif existe. Un excès de visibilité pourrait agacer une partie de l'opinion publique, lassée des stratégies trop évidentes. En multipliant les mandats et les présences symboliques, Pierre Durand cherche-t-il à renforcer son assise locale ou à masquer un manque de réalisations concrètes ? Sa posture, oscillant entre incarnation du territoire et volonté d'être toujours sous les projecteurs, pose une question centrale : à trop vouloir exister, ne risque-t-il pas de se brûler les ailes ? ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci DÉLINQUANCE DANS L'AUDE : UNE HAUSSE DE 3,2 % QUI INTERROGE Les chiffres de la délinquance pour l'année 2024 sont tombés, et l'Aude se distingue par une augmentation de 3,2 % des crimes et délits enregistrés. Publié par le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI), l'atlas de la délinquance 2024 met en lumière des tendances contrastées, oscillant entre baisses significatives et hausses marquantes selon les infractions concernées. Alors que le niveau national affiche une quasi-stabilisation (+0,07 %), la situation départementale présente des spécificités qui interrogent. L'analyse des statistiques révèle une baisse notable pour sept indicateurs, dont les vols avec arme (-14,3 %), contrastant avec une explosion des tentatives d'homicide (+92,3 %), bien que ces derniers chiffres restent relatifs en valeur absolue (25 victimes recensées). Le trio des infractions les plus fréquentes demeure inchangé : destructions et dégradations volontaires (3 777 faits), vols sans violence (2 766) et escroqueries (2 083), représentant près de la moitié des infractions du département. Autre enseignement de l'atlas, l'Aude se distingue par un taux de destructions et dégradations volontaires supérieur à la moyenne nationale (10 ‰ contre 7,8 ‰). En revanche, la situation semble plus contenue pour les infractions liées aux stupéfiants, avec un recul de 10,9 % des trafics, bien que leur usage connaisse une hausse (+7,4 %). Ces tendances locales, mises en perspective avec les chiffres régionaux et nationaux, offrent une lecture affinée des défis de sécurité dans l'Aude. Face à ces données, les autorités régionales tiendront un point presse le 6 février, afin de livrer leur analyse et présenter éventuelles mesures. ________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LE SEUIL DE TVA ABAISSÉ À 25 000 € : UNE RÉFORME QUI INTERROGE LES MICRO-ENTREPRENEURS Le gouvernement a récemment adopté, par le biais de l'article 49-3, le projet de loi de finances (PLF) 2025, entérinant ainsi l'abaissement du seuil de franchise en base de TVA à 25 000 €. Cette mesure, désormais actée, suscite de vives inquiétudes parmi les micro-entrepreneurs, nombreux à remettre en question la viabilité de leur activité face à ce changement. Jusqu'à présent, la franchise en base de TVA permettait aux petites entreprises de bénéficier d'une exonération de TVA tant que leur chiffre d'affaires annuel ne dépassait pas certains seuils. Selon les informations disponibles, ces seuils étaient fixés à 85 000 € pour les activités de vente de marchandises et à 37 500 € pour les prestations de services. L'abaissement drastique à 25 000 € représente donc une réduction significative, obligeant de nombreux micro-entrepreneurs à facturer la TVA bien plus tôt que prévu. Cette réforme soulève plusieurs questions essentielles : comment les micro-entrepreneurs pourront-ils absorber cette nouvelle contrainte fiscale sans répercuter la hausse sur leurs tarifs ? Cette mesure risque-t-elle de freiner l'initiative entrepreneuriale en France ? Si l'objectif affiché est d'élargir l'assiette fiscale, il est crucial d'évaluer les conséquences potentielles sur la dynamique des petites entreprises. Une analyse approfondie s'impose pour déterminer si cet abaissement du seuil de TVA pourrait, à terme, entraver la croissance et l'innovation au sein du tissu économique français. Pour répondre à toutes vos questions et vous expliquer exactement où nous en sommes et les conséquences que cela va avoir sur votre activité, La FNAE organise un live spécial franchise en base de TVA à 25 000 € avec Grégoire Leclercq, son Président :
Rejoindre le live sur : fnae.fr/combats-fnae-plf-2025/ _______________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci PARTICIPATION EN BERNE : CE QU’IL FAUT RETENIR DES ÉLECTIONS DE LA CHAMBRE D’AGRICULTURE Après un mois de campagne, le scrutin des élections de la chambre d’agriculture de l’Aude s’est achevé le 31 janvier. Dès 15 heures, la préfecture a dévoilé les premiers taux de participation pour les différents collèges agricoles, révélant un net recul par rapport à 2019. Le monde agricole a vécu au rythme des élections ces dernières semaines. Si les résultats définitifs seront connus le 6 février, les premières tendances montrent un taux de participation global de 24,72 %. Une statistique en recul, confirmant la désaffection croissante des électeurs pour ce scrutin. « Ce n’est pas surprenant, bon nombre de salariés ne votent plus, ils ne se sentent plus écoutés », analyse Philippe Vergnes, président sortant de la chambre d’agriculture de l’Aude, qui ne brigue pas de nouveau mandat. Derrière ce chiffre global se cachent des disparités notables. Si le collège des chefs d’exploitation et assimilés affiche un taux de participation de 43,26 %, en légère progression par rapport à 2019, d’autres catégories s’illustrent par une abstention marquée. Les propriétaires usufruitiers (11,16 %), les salariés de la production agricole (9,05 %), ou encore les anciens exploitants (24,36 %) participent très peu, confirmant une tendance amorcée depuis plusieurs élections. Toutefois, certains collèges se distinguent par une mobilisation plus forte, à l’image des coopératives de production agricole (88 %) ou des caisses de mutualité sociale agricole (88,89 %). Ces premiers résultats, établis au 31 janvier, pourraient encore évoluer. Le verdict final tombera le 6 février, tandis que l’annonce du nouveau président interviendra le 4 mars. Un scrutin qui interroge sur l’avenir de la représentation agricole et sur la nécessité de redynamiser l’engagement électoral dans le secteur. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LE LAURAGAIS FACE À UNE VAGUE VIRULENTE, LES MÉDECINS TIRENT LA SONNETTE D’ALARME L’épidémie de grippe frappe de plein fouet le Lauragais. Les cabinets médicaux sont saturés, les pharmacies constatent une demande accrue de médicaments et les autorités sanitaires redoublent d’efforts pour inciter à la vaccination. Dans cette région, les professionnels de santé alertent : le virus circule intensément, et le pic n’est pas encore atteint. À Castelnaudary, le docteur Guillaume Pinel, médecin généraliste, fait état d’une situation préoccupante. « Nous avons vu une montée progressive des cas dès décembre, mais depuis début janvier, c’est une explosion. » Dans son cabinet, il reçoit quotidiennement une dizaine de patients présentant des symptômes grippaux sévères : fièvre élevée, fatigue extrême, céphalées et douleurs musculaires. Le virus se propage surtout dans les établissements scolaires et en entreprise, où la promiscuité favorise les contaminations. Contrairement aux jeunes actifs, les personnes âgées sont moins touchées, mais elles développent les formes les plus graves. « Ce sont les plus vulnérables qui remplissent les services hospitaliers », déplore le médecin. L’intensité de l’épidémie s’explique par la coexistence de deux souches virales : la grippe A, majoritaire, et la grippe B, qui représente 40 % des cas. Cette double menace augmente le risque de complications. Si la présence du COVID reste marginale, la grippe, elle, met le système de santé sous tension. Malgré l’incitation des autorités sanitaires, la couverture vaccinale demeure insuffisante au niveau national, freinée par la méfiance du public envers les vaccins. Julie Deville, pharmacienne à Castelnaudary, observe néanmoins une tendance locale à contre-courant. « Nous avons distribué près de 1 300 doses, soit une hausse de 10 % par rapport à l’an dernier. Rien qu’en janvier, nous avons quasiment doublé la délivrance de vaccins. » Cette hausse serait le résultat d’une communication accrue des autorités et d’une prise de conscience face à la sévérité de l’épidémie. Pourtant, les gestes barrières restent peu respectés : masques et désinfection des mains sont souvent délaissés, ce qui contribue à la propagation du virus. Alors que la campagne de vaccination se poursuit jusqu’au 28 février, les professionnels insistent : il est encore temps de se protéger. Entre incitation et prévention, l’enjeu est de limiter l’impact de cette épidémie qui, chaque année, coûte des milliers de vies. Mais la prise de conscience collective sera-t-elle suffisante pour inverser la tendance ? ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci ALCOOL AU VOLANT : UN AUTOMOBILISTE REFUSE LE CONTRÔLE ET ACCUSE LES POLICIERS D’USURPATION4/2/2025 SOUS L’EMPRISE DE L’ALCOOL, IL REFUSE LE CONTRÔLE ET DÉFIE LES FORCES DE L’ORDRE Dans la nuit du samedi 1er au dimanche 2 février, à Carcassonne, un homme de 41 ans a été interpellé après avoir refusé de se soumettre à un contrôle d’alcoolémie. Repéré par la brigade anticriminalité (Bac) pour une vitesse excessive sur le boulevard Varsovie, il a tenté de remettre en cause l’identité des policiers, les accusant d’être de faux agents. Lors de son interception, les forces de l’ordre ont rapidement détecté des signes d’ébriété. Invité à souffler dans l’éthylotest, l’automobiliste a refusé le dépistage, suggérant par son attitude qu’il était en infraction. À plusieurs reprises, il a affirmé que les policiers carcassonnais étaient en réalité des imposteurs, contestant la légitimité de leur intervention et mettant en doute l’authenticité de leurs cartes professionnelles. Face à cette situation, les agents ont procédé à son interpellation et l’ont conduit au commissariat. Là encore, le quadragénaire a persisté dans son refus de souffler dans l’éthylomètre, empêchant ainsi la mesure exacte de son taux d’alcoolémie. Une garde à vue différée lui a été notifiée afin qu’il puisse être entendu après son dégrisement. L’homme devra répondre de plusieurs infractions : vitesse excessive en agglomération, conduite en état d’ivresse manifeste et refus de se soumettre aux vérifications alcooliques. Ce type de comportement, au-delà du risque judiciaire, met en lumière les dangers persistants de l’alcool au volant et l’importance des contrôles routiers dans la prévention des accidents. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LE DÉPUTÉ JULIEN RANCOULE CONTESTÉ DANS LES HAUTES VALLÉES DE L'AUDE Dans les rues d'Espéraza, des affiches ont fleuri ces derniers jours, appelant à la démission du député Julien Rancoule. Une contestation qui semble émaner d'un petit groupe activiste écologiste de gauche, selon plusieurs sources locales. Ces affichages, bien que marginaux, traduisent un climat politique toujours sous tension dans les Hautes Vallées de l'Aude. Élu sous l'étiquette du Rassemblement National, Julien Rancoule représente un territoire marqué par la précarité et des attentes fortes en matière de développement économique et social. Son mandat a été ponctué de diverses actions et prises de position, mais force est de constater que certains habitants expriment toujours un profond scepticisme quant à l'impact concret de ses initiatives. Cette fronde locale intervient dans un contexte national où les clivages politiques sont de plus en plus marqués. La question qui se pose désormais est de savoir si cette contestation isolée pourrait prendre de l'ampleur et fragiliser l'ancrage du député dans la circonscription. Affaire à suivre. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci MESSMER DE RETOUR À NARBONNE : UN SPECTACLE HYPNOTIQUE TRÈS ATTENDU L’hypnotiseur de renommée internationale Messmer s'apprête à faire son grand retour à Narbonne. Après un premier passage en 2024 à guichets fermés, il se produira à la Narbonne Arena le dimanche 15 mars 2026 à 16 heures. Un événement qui promet d’attirer une foule nombreuse, d'autant plus que la billetterie est déjà ouverte. Son nouveau spectacle, intitulé « 13Hz », s’annonce comme une expérience immersive. Ce titre fait référence à une fréquence cérébrale liée à un état de conscience modifié, correspondant à l’éveil calme. Connu pour ses capacités à plonger le public dans des états hypnotiques spectaculaires, l’artiste promet « une aventure fascinante et inoubliable ». Pour les adeptes de ses performances, l’attente ne sera pas un problème : les billets sont d’ores et déjà en vente, quatorze mois avant la date du spectacle. Les tarifs varient entre 42 et 67 euros, avec un placement assis et numéroté. De quoi satisfaire les spectateurs en quête d’une expérience unique, entre illusion et exploration des mystères du cerveau humain. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci |
Information, sport, musique, divertissement... Au delà de la fabrication et la diffusion de programmes originaux, notre mission est de former les publics à la maitrise de la communication (à partir de 11 ans) et de les faire participer aux pratiques de l'audiovisuel, en leur donnant la possibilité de s'exprimer via nos trois supports : presse, radio et télévision.
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Pour cela, notre mission consiste à la mise en place d'une offre média "digitale" multi-support intégrant des outils de communication de proximité (presse, radio et télévision) et un puissant réseau communautaire. Mais au delà de l'aspect technique, il s'agit aussi de favoriser l'éveil des citoyens du département (Aude) par la création, la production et la diffusion de programmes audiovisuels originaux ; Donner la parole à celles et ceux qui ne l'on pas, permettant à chacun de s'exprimer sur les sujets de la vie courante ; Offrir un espace de libre expression rendant possible la prise de parole, l'argumentation, l'échange, le passage et la confrontation d'idées au travers une offre de programmes audiovisuels interactifs et contradictoires
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