MUNICIPALES 2026 : CARCASSONNE CITOYENNE, ÉCOLOGIQUE ET SOCIALE SE RELANCE DANS LA COURSE À un peu plus d’un an des élections municipales, l’association Carcassonne Citoyenne, Écologique et Sociale (CCES) amorce une nouvelle campagne avec l’ambition de bâtir une liste citoyenne participative. Forte de trois élus au conseil municipal depuis 2020, l’organisation entend cette fois élargir son assise et fédérer au-delà de son cercle initial. Fondée en octobre 2020 pour soutenir ses représentants et ancrer son action dans le paysage local, CCES mise sur un engagement citoyen renforcé pour 2026. "Nous voulons donner aux habitants la possibilité de s’impliquer directement dans la gestion de leur ville, indépendamment de leur âge, profession ou origine sociale", explique Xavier Bigot, l’un des membres actifs. Cette approche, inspirée du mouvement Archipel Citoyen qui avait réalisé une percée significative aux municipales de Toulouse en 2020, vise à pallier la défiance croissante envers le monde politique. L’objectif affiché est clair : rassembler les forces de gauche au sein d’une liste unitaire, tout en favorisant une construction collective des candidatures. "Nous en sommes encore aux prémices, et la tête de liste sera décidée en dernier lieu, en fonction des compétences et des engagements de chacun", précise Eric Ciappara. La méthode, elle aussi, se veut collaborative. CCES ne se contente pas d’appels à la participation ; l’association organise des formations aux outils d’intelligence collective et des débats publics afin de sensibiliser les citoyens à la démocratie participative. Premier rendez-vous marquant de cette mobilisation, la projection-débat du documentaire "Le goût de la politique", qui retrace l’expérience d’Archipel Citoyen à Toulouse, se tiendra ce vendredi 31 janvier au centre de loisirs de la Cavayère. Cet événement, accessible pour 5 euros, sera suivi de journées de formation les 1er et 2 février, axées sur les méthodes de décision et l’animation de réunions publiques. "L’idée n’est pas d’imposer des décisions, mais de construire avec les citoyens", insiste Xavier Bigot. En adoptant une démarche d’ouverture et d’implication populaire, CCES tente de réinventer la politique locale et d’insuffler une dynamique participative à la gestion municipale. Reste à savoir si cette approche séduira un électorat souvent désabusé, mais potentiellement en quête de renouveau démocratique. ________________ Jean Michel JUMEAU , Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LES FEMMES QUI ONT FAIT ENTRER LE CARNAVAL DANS UNE NOUVELLE ÈRE En 1972, alors que la vague féministe du Mouvement de Libération des Femmes (MLF) bousculait les conventions, un vent de révolution soufflait aussi sur le carnaval de Limoux. Une poignée de Limouxines décidait de briser les codes en créant la première bande exclusivement féminine de l’histoire locale. Un événement marquant qui, plus de cinquante ans plus tard, continue d’animer la cité blanquetière et de fasciner les spectateurs. Dès leurs premières apparitions sous les arcades de la place de la République, les carnavalières captivent. Leur prestation soigneusement préparée allie chorégraphies élaborées, costumes audacieux et mise en scène millimétrée. Leur succès fulgurant ne s’est jamais démenti : à chaque édition, les places aux premières loges se réservent longtemps à l’avance. Cette popularité tient autant à la créativité visuelle qu’au respect des traditions, dans un équilibre subtil entre audace et élégance. Si l’aspect spectaculaire est un élément clé, la rigueur des Femnas dans la préparation de leurs sorties est tout aussi notable. Chaque matin de carnaval, elles rivalisent d’ingéniosité pour surprendre le public, sans jamais tomber dans la provocation gratuite. Certaines performances sont restées dans les mémoires : l’incarnation excentrique de Lady Gaga et ses tenues en viande, ou encore un French Cancan endiablé qui a subjugué les spectateurs. Loin des clichés grivois, elles imposent un style qui allie humour et raffinement, séduisant ainsi un public de tous âges. À leurs débuts, certaines voix conservatrices s’étaient montrées sceptiques face à cette intrusion féminine dans un univers historiquement masculin. Mais le temps leur a donné raison : aujourd’hui, elles font partie intégrante du folklore limouxin et sont devenues une référence incontournable du carnaval. En 2024, elles ont même joué un rôle central dans la crémation de Sa Majesté Carnaval, un honneur qui témoigne de leur ancrage dans la tradition. Ce dimanche encore, Las Femnas battront le pavé, vêtues de costumes inspirés de la nature et des animaux, prêtes à enchanter un public toujours fidèle. Plus qu’un simple groupe carnavalesque, elles incarnent l’évolution du carnaval limouxin, entre respect du passé et modernité assumée. Après plus d’un demi-siècle d’existence, elles continuent d’imposer leur label folklorique, prouvant que la tradition, loin d’être figée, se renouvelle sans cesse. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci "LA MEILLEURE BOULANGERIE DE FRANCE" : UN ARTISAN DE L’AUDE À L’HONNEUR La tradition boulangère française s’apprête à vibrer au rythme du concours culinaire le plus suivi de l’Hexagone. Ce vendredi soir, les téléspectateurs de M6 découvriront l’excellence d’un artisan de l’Aude dans "La Meilleure Boulangerie de France". Pascal Muller, boulanger-pâtissier établi à Rieux-Minervois, pourrait bien décrocher le prestigieux titre qui récompense le savoir-faire et la créativité des meilleurs professionnels du pays. Installé depuis six ans sous l’enseigne "Le Fournil d’Émile", Pascal Muller s’est rapidement imposé comme une référence régionale. Sa réputation repose sur une exigence absolue en matière de qualité, une maîtrise parfaite des techniques artisanales et une volonté constante d’innover. Fort de son succès, il a récemment élargi son activité avec l’ouverture d’une seconde boulangerie, "Le Pain de Peyrieux", ainsi qu’un dépôt de pains à Peyriac. Son parcours illustre une ascension fondée sur le travail et la passion : auparavant installé à Carcassonne, il y avait déjà obtenu le prix de la meilleure baguette du département. Si M6 a choisi de mettre en lumière son talent, c’est aussi pour sa capacité à conjuguer tradition et originalité. Pour sa participation au concours, Pascal Muller a conçu deux créations audacieuses : le Carré pignon, une viennoiserie gourmande qui a immédiatement séduit sa clientèle, et un pain en forme de bouteille, clin d’œil raffiné aux vignobles du Minervois. Ce dernier, élaboré à partir d’un confit de vin rouge et de noisettes macérées, incarne à la fois l’identité du terroir et l’innovation boulangère. À quelques heures de la diffusion, l’excitation est palpable. L’enjeu dépasse la simple compétition : il s’agit d’une reconnaissance nationale pour un artisan qui défend, au quotidien, l’excellence de son métier. Que le verdict du jury lui soit favorable ou non, Pascal Muller aura déjà remporté une victoire en mettant en avant son savoir-faire et en valorisant le patrimoine culinaire de l’Aude. Une aventure qui, quel que soit son dénouement, renforcera encore un peu plus le lien précieux entre un artisan et sa clientèle fidèle. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci À bien y regarder, il est frappant de constater l’omniprésence des élus socialistes sur le territoire limouxin, un phénomène qui, à force d’être observé, devient presque étonnant. Pas une association, pas un club sportif, pas une institution, une entreprise, ou même un simple lieu de rencontre — tout semble avoir été accaparé par les partisans du monarque local. En réalité, dans ce paysage politique, il est difficile de trouver un espace, même dans les grands espaces publics, qui ne soit pas sous l’influence, directe ou indirecte, d’un élu ou d’un proche du pouvoir socialiste en place. Ce phénomène de centralisation du pouvoir soulève une question fondamentale : comment les socialistes ont-ils réussi à asservir une telle portion de la population, à ce point que même les plus réfractaires se retrouvent coincés dans une dynamique d’asservissement ? Les électeurs de Limoux semblent avoir été pris dans une toile d’araignée politique où l’accès aux ressources, aux subventions, et à toute forme de pouvoir local passe par un soutien explicite ou implicite à l’équipe en place. Cela va bien au-delà des simples manœuvres électorales : on parle ici d’une emprise totale sur les institutions locales, les clubs, et même les lieux de rencontre sociaux, là où se forgent les opinions et se prennent les décisions qui influencent la vie quotidienne des habitants. La stratégie, clairement définie par certains observateurs, semble reposer sur l’accumulation des leviers de contrôle afin de maintenir une population dans un état de dépendance à l’égard de ces élus, créant ainsi un système où le soutien à l’équipe en place devient une nécessité pour toute organisation souhaitant voir sa voix entendue. Ce qui frappe encore plus, c’est la manière dont ce système d’influence se joue dans les rapports sociaux du Limouxin. Ceux qui osent s’opposer ou même exprimer une critique, qu’elle soit politique ou sociale, sont souvent écartés ou marginalisés, tandis que les soutiens du pouvoir local bénéficient de positions privilégiées, notamment dans le domaine des aides publiques et des contrats. Les lieux de pouvoir, qu’ils soient économiques ou culturels, semblent répondre à une logique clientéliste, où l’allégeance au maire et à son équipe est la clé pour accéder à une forme de reconnaissance ou de soutien. Cette emprise sur la société civile fait écho à des pratiques qui n’ont rien de démocratiques, mais qui, au contraire, préservent un système verrouillé. Alors, comment expliquer cette situation ? Comment les socialistes ont-ils pu réussir à accaparer autant de leviers de pouvoir et maintenir un tel contrôle sur le territoire ? Il semble que l’adhésion à l’équipe en place soit devenue une condition sine qua non pour toute forme d’influence ou de visibilité sur le Limouxin. Cette centralisation des pouvoirs crée un climat où il est plus facile de se soumettre que de résister, où l’on préfère rester fidèle au « protecteur » qu’on s’est vu offrir, plutôt que de revendiquer sa liberté de penser et d’agir en dehors du système imposé. Dans un tel contexte, la vraie question demeure : cette emprise du pouvoir socialiste est-elle le résultat d’un système démocratique en bonne santé ou d’une manipulation subtile qui prive les habitants de Limoux de leur liberté d’expression et d’action ? ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11. MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C 11 . MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude, c’est le média qui vous donne la parole 📌 Découvrez notre filactu 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #aude #citoyen LE CLUB PROTÉINE CARCASSONNE RASSEMBLE LES ENTREPRENEURS POUR UN AFTERWORK EXCLUSIF C'est dans le cadre prestigieux du TRIBE, offrant une vue imprenable sur la cité de Carcassonne, que s'est tenu ce soir l'Afterwork du Club d'affaires Protéine. Un rendez-vous devenu incontournable pour les acteurs économiques locaux, réunissant plus d'une trentaine de chefs d'entreprise, commerçants, artisans, professions libérales et auto-entrepreneurs. UN MOMENT PRIVILÉGIÉ D'ÉCHANGES ET DE PARTAGE Animé par Stéphane PÉRARD, cet événement avait pour objectif de favoriser les rencontres et les synergies entre entrepreneurs. Dans une ambiance conviviale et propice aux discussions, les participants ont eu l'occasion d'élargir leur réseau, d'échanger sur leurs activités respectives et de découvrir de potentielles opportunités d'affaires. Ce type de rencontre illustre la dynamique entrepreneuriale de Carcassonne et souligne l'importance des réseaux professionnels dans le développement des entreprises locales. "Se rencontrer, partager des idées et créer des opportunités, c'est tout l'esprit du Club Protéine", confie Stéphane PÉRARD au micro de C11.MEDIA. DES PERSPECTIVES AMBITIEUSES POUR 2025 Au-delà de cette soirée réussie, le Club Protéine entend renforcer son action en 2025. Stéphane PÉRARD a ainsi dévoilé les grandes lignes des projets à venir : développement de nouveaux formats de rencontres, partenariats stratégiques et accompagnement renforcé des entrepreneurs locaux. L'objectif ? Faire du Club Protéine un acteur incontournable du dynamisme économique de la région et un véritable tremplin pour ceux qui souhaitent donner une nouvelle impulsion à leur activité. Alors que l'écosystème entrepreneurial carcassonnais continue d'évoluer, ces rencontres confirment la volonté des professionnels de se structurer et de s'entraider pour faire face aux défis à venir. Une initiative qui, sans nul doute, contribuera à façonner le paysage économique local dans les années à venir. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci UN TERRITOIRE FRAGILISÉ PAR LES INÉGALITÉS Selon le dernier rapport de l’Observatoire des inégalités, l’Aude se classe au cinquième rang des départements les plus pauvres de France, DOM compris. Avec un taux de pauvreté atteignant près de 20 %, le département illustre les disparités socio-économiques qui persistent en France. À Carcassonne et Narbonne, certains quartiers figurent parmi les plus défavorisés du pays, soulignant l’ampleur du phénomène. UNE CARTOGRAPHIE ALARMANTE DE LA PRÉCARITÉ Le rapport publié par l’Observatoire des inégalités propose une représentation cartographique inédite de la pauvreté en France. Élaborée par le géographe Romain Thomas, cette carte met en lumière la densité des ménages en situation de précarité à travers une modélisation en trois dimensions. La couleur indique le pourcentage de ménages vivant sous le seuil de pauvreté, fixé à 1 014 euros par mois pour une personne seule en 2022, tandis que le relief reflète leur concentration. En Occitanie, région qui occupe la cinquième place des plus pauvres de France derrière La Réunion, la Martinique, la Corse et les Hauts-de-France, l’Aude se distingue par une précarité particulièrement marquée. Il s’agit du troisième département métropolitain le plus touché après la Seine-Saint-Denis et les Pyrénées-Orientales. DES QUARTIERS EN GRANDE DIFFICULTÉ Deux quartiers audois figurent parmi les vingt plus pauvres de France. À Carcassonne, le quartier Saint-Jacques – Le Viguier affiche un taux de pauvreté de 67 %, un chiffre qui en fait l’un des plus défavorisés du pays. À Narbonne, le quartier Est présente un taux de 63 %, confirmant une forte concentration de ménages en grande difficulté économique. Selon les auteurs du rapport, Anne Brunner et Louis Maurin, ces zones ne correspondent pas toujours aux stéréotypes associés à la pauvreté urbaine. « Ces quartiers pauvres sont, dans la plupart des cas, loin de l’image qu’on en donne parfois, bien que le chômage, le travail précaire et les faibles revenus y soient beaucoup plus répandus qu’ailleurs. Il ne s’agit ni de ghettos, ni de territoires de non-droit, mais de quartiers où la population pauvre est davantage concentrée, et qui sont parfois situés tout près de secteurs où règne l’extrême richesse », expliquent-ils. L’analyse des données révèle des écarts frappants. À quelques kilomètres seulement du Viguier, certaines communes périphériques de Carcassonne, bien que loin d’être prospères, affichent des taux de pauvreté inférieurs à 15 %. Cette juxtaposition met en évidence les fractures territoriales et sociales qui traversent le département. QUELS ENJEUX POUR L’AVENIR ? Face à cette réalité, la question des politiques publiques en matière d’inclusion sociale et de développement économique se pose avec acuité. L’amélioration des infrastructures, le renforcement des dispositifs d’insertion professionnelle et l’accompagnement des familles les plus vulnérables sont autant de leviers à mobiliser pour réduire ces inégalités persistantes. Alors que la pauvreté demeure un défi majeur pour l’Aude, la cartographie de l’Observatoire des inégalités rappelle l’urgence d’une action coordonnée afin de redonner à ces territoires les moyens d’un avenir plus stable et plus équitable ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci PRÉSENCE DU LOUP DANS L'AUDE : L'OFFICE FRANÇAIS DE LA BIODIVERSITÉ MÈNE L'ENQUÊTE Quelques jours après qu'un canidé ressemblant à un loup a été aperçu dans plusieurs communes de l'Aude et qu'une attaque de troupeau a été signalée à Barbaira, les autorités se mobilisent pour déterminer la nature exacte de l'animal. DES SIGNALEMENTS MULTIPLES ET UNE PRUDENCE SCIENTIFIQUE Le débat autour de la présence du loup dans l'Aude s'est intensifié ces dernières semaines. Le samedi 4 janvier, quatre chèvres ont été retrouvées mortes à Barbaira, près de Carcassonne. Par la suite, un canidé, semblable à un loup, a été observé et filmé à Limoux le 19 janvier, puis un autre signalement a été effectué à Rustiques le 27 janvier. Face à ces événements, l'Office Français de la Biodiversité (OFB) a décidé d'engager des recherches approfondies. "Les photos et vidéos ne suffisent pas à confirmer la présence d'un loup. Seules les analyses génétiques peuvent apporter une réponse fiable", a expliqué Éric Laffargue, sous-préfet de Limoux. Les agents de l'OFB se concentrent désormais sur la collecte d'excréments et de poils afin d'identifier l'espèce de l'animal. Par ailleurs, les traces de morsure relevées sur les chèvres attaquées feront également l'objet d'une expertise scientifique. UNE PRÉSENCE QUI RESTE IMPROBABLE MAIS NON EXCLUE Si l'enquête suit son cours, les premiers éléments semblent aller à l'encontre de l'hypothèse lupine. "Le loup évite en général l'homme et il est rare qu'il s'approche autant des habitations", rappelle Éric Laffargue. D'un point de vue morphologique, plusieurs caractéristiques observées sur l'animal filmé interrogent également : "Le loup a des oreilles courtes, une queue qui ne dépasse jamais le pli de la patte arrière et un corps très haut sur pattes." Quant à la région audoise, bien qu'elle soit proche de certaines zones de présence permanente du loup, aucune preuve d'une installation durable n'a été confirmée. "Les seuls loups repérés viennent du Tarn et de l'Hérault. Ce sont des individus isolés et non des meutes. Aucune femelle avec des petits n'a été identifiée", précise la préfecture. UNE VIGILANCE MAINTENUE POUR LES ÉLEVEURS Dans l'attente des résultats des analyses, la préfecture recommande aux éleveurs de rester vigilants. Les exploitants situés en "cercle 3" peuvent bénéficier d'aides pour renforcer la protection de leurs troupeaux, notamment avec l'acquisition de chiens de garde. Les conclusions de l'OFB, attendues prochainement, devraient permettre de lever le doute et de déterminer si la région doit préparer une stratégie d'adaptation à une présence lupine durable, ou si les signalements récents relèvent d'une simple confusion avec d'autres espèces sauvages. ________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci SPECTACULAIRE SAISIE DE DROGUE ET D’ARMES À CARCASSONNE : UN TRAFIC DÉMANTELÉ Dans la nuit du mercredi 22 au jeudi 23 janvier 2025, une banale opération de contrôle routier a mené les policiers de Carcassonne à une saisie spectaculaire. Stupéfiants en grande quantité, armes de poing et grenades offensives ont été découverts dans un appartement de la zone de l’Arnouzette. Deux suspects, un Aveyronnais de 19 ans et un Drômois de 21 ans, devaient être jugés en comparution immédiate le lundi 27 janvier, mais leur procès a été reporté au 3 mars. UNE OPÉRATION POLICIÈRE QUI DÉBUTE PAR UN SIMPLE CONTRÔLE ROUTIER L’affaire prend naissance aux alentours de minuit, sur la route de Limoux. Une patrouille de la brigade anticriminalité procède alors à un contrôle de routine sur un véhicule suspect. À son bord, deux jeunes hommes de 19 ans, originaires de Carcassonne, sont trouvés en possession de produits stupéfiants. Immédiatement interpellés, ils sont placés en garde à vue au commissariat de Carcassonne. Très vite, l’enquête prend de l’ampleur et mène les policiers à un logement précaire situé au-dessus d’un garage de la rue Charles Augustin Coulomb, dans la zone de l’Arnouzette. La perquisition du domicile révèle un véritable arsenal criminel : trois armes de poing, deux grenades offensives et une quantité impressionnante de drogues. Au total, les forces de l’ordre saisissent 500 cachets d’ecstasy, 1,2 kg de cocaïne, 6 kg de résine de cannabis et 3 kg d’herbe de cannabis. Un butin qui témoigne d’un trafic structuré et bien implanté entre Narbonne et Carcassonne. UNE AFFAIRE QUI SUIT SON COURS JUDICIAIRE À l’issue de leur garde à vue, l’un des suspects de 19 ans est remis en liberté avec une convocation devant le délégué du procureur pour une mesure de composition pénale. Les deux autres, le jeune Aveyronnais et son complice drômois, sont quant à eux déférés devant le tribunal de Carcassonne le samedi 25 janvier. Placés en détention provisoire, ils devaient être jugés en comparution immédiate le lundi 27 janvier. Toutefois, comme la loi le leur permet, les prévenus ont sollicité un délai pour préparer leur défense. Leur procès a donc été reporté au lundi 3 mars prochain. Cette affaire, qui illustre la complexité et l’ampleur du trafic de stupéfiants dans la région, pose une nouvelle fois la question des moyens déployés pour lutter contre ces réseaux criminels. Alors que les autorités se félicitent de cette saisie importante, l’enquête se poursuit pour identifier d’éventuels complices et démanteler toute la chaîne d’approvisionnement. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LUCIE : UNE INTELLIGENCE ARTIFICIELLE FRANÇAISE SOUS LE FEU DES CRITIQUES, MAIS PAS D’ABANDON EN VUE L'intelligence artificielle Lucie, fruit du travail des chercheurs toulousains de Linagora en collaboration avec le CNRS, s'est retrouvée au cœur d'une controverse inattendue. Lors de son lancement en phase de test le 23 janvier dernier, un dérapage algorithmique a provoqué une vague de moqueries et de critiques. L'IA a en effet affirmé que les "œufs de vache" étaient pondus par des bovins, une erreur qui a terni son image dès ses premiers jours d'existence. Face à ce débâcle, Jean-Pierre Lauré, directeur des activités de recherche chez Linagora, revient sur les enseignements tirés et le futur du modèle. UN LANCEMENT MAL PRÉPARÉ QUI A PROVOQUÉ LA CONFUSION Pour Jean-Pierre Lauré, le véritable problème n’était pas technologique, mais bien communicationnel. "Nous avons mal présenté notre modèle, et cela nous a coûté cher en termes d'image", concède-t-il. Conçue comme une IA open source destinée aux chercheurs et aux développeurs, Lucie a été mise à disposition du public via une interface de démonstration. Cette ouverture a conduit à des comparaisons inappropriées avec ChatGPT, référence actuelle du domaine, suscitant des attentes démesurées. La confusion a été entretenue par le format interactif de Lucie, qui permettait aux utilisateurs de lui poser des questions, un fonctionnement proche de celui des grands modèles conversationnels. "Beaucoup ont cru que nous lancions un concurrent direct à ChatGPT, ce qui n'était pas du tout le cas", insiste Lauré. Ce malentendu a poussé certains utilisateurs à tester les limites de Lucie, révélant ainsi ses failles les plus spectaculaires. UNE AMBITION DIFFÉRENTE ET UN AVENIR ASSURÉ Contrairement aux mastodontes de l'intelligence artificielle, qui peuvent atteindre plusieurs centaines de milliards de paramètres, Lucie repose sur une architecture plus modeste, avec seulement 7 milliards de paramètres. Son ambition n'était pas de rivaliser avec les géants américains ou chinois, mais de proposer une alternative française performante et accessible, entièrement open source. Face aux critiques, Linagora a pris une décision radicale : fermer l'interface publique pour recentrer Lucie sur son objectif initial. "Nous allons travailler sur l'alignement du modèle afin d'améliorer ses réponses et d'éliminer les erreurs absurdes", affirme Jean-Pierre Lauré. Ainsi, si Lucie ne reviendra pas sous forme de chatbot, elle restera un outil essentiel pour la recherche en intelligence artificielle, avec des améliorations à venir. Ce démarrage raté souligne les difficultés de la France à s’imposer dans un secteur dominé par les mastodontes américains et chinois. Mais Linagora ne baisse pas les bras : en recentrant Lucie sur sa vocation scientifique, l'entreprise espère réussir là où elle a échoué en communication. Une leçon amère, mais porteuse d'espoir pour l'avenir de l'IA française. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci Chaque jour, la place de la République, cœur de la cité blanquetière à Limoux, semble se transformer en un terrain de conflits et de nuisances. Entre bagarres violentes, échanges de stupéfiants, agressions sexuelles, et comportements indisciplinés, le tableau est loin d’être idyllique. Les scènes de dégradation publique se multiplient : chiens errants, déjections canines, motos bruyantes, voitures stationnées avec des enceintes poussées à fond, tandis que des conducteurs accumulent des canettes de bière vides sur le sol. Chaque matin, les employés municipaux s’executent pour nettoyer ce qui reste de cette agitation nocturne, mais la situation semble échapper à tout contrôle. Les commerçants, eux, sont de plus en plus inquiets. Ils dénoncent la dégradation de leur environnement de travail, l’impact direct de l’insécurité sur leur clientèle et la baisse de fréquentation de leurs établissements. Quant aux riverains, nombreux sont ceux qui expriment leur peur de sortir après la tombée de la nuit, redoutant des violences ou des altercations en pleine rue. La place de la République, autrefois un lieu de rencontre animé, est aujourd’hui perçue comme un centre de tension, où l’anarchie semble dominer. La multiplication des incidents liés à la consommation de drogue et à la présence de marginaux sous influence est une réalité difficile à ignorer.
Cependant, à Limoux, tout semble bien aller selon le maire Pierre Durand et son équipe municipale, qui affirment régulièrement que la situation est sous contrôle. Pour eux, la ville est calme, et aucune inquiétude particulière ne mérite d’être soulevée. Mais cette perception est bien loin de celle des habitants, qui vivent au quotidien cette atmosphère de peur et d’instabilité. La réalité des rues de Limoux contraste avec les discours rassurants des autorités locales. La population, exaspérée par l’inaction apparente des pouvoirs publics, réclame plus de fermeté face à ces incivilités qui gangrènent le quotidien. Il devient évident que les Limouxins en ont assez de voir leur ville se détériorer sous l’effet de comportements irresponsables et violents. De plus en plus de voix s’élèvent pour demander des actions concrètes : une présence policière renforcée, des mesures de prévention contre la consommation de drogue, et une politique de répression des nuisances sonores et des actes de violence. Les habitants ne veulent plus se contenter de déclarations de principe et exigent des solutions tangibles pour restaurer l’ordre et la sécurité dans leur ville. Ils attendent de leurs élus qu’ils prennent leurs responsabilités et qu’ils fassent enfin face à la réalité du terrain. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11. MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C 11 . MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude, c’est le média qui vous donne la parole 📌 Découvrez notre filactu 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #aude #citoyen TALAIRAN CÉLÈBRE LA TRUFFE : RENDEZ-VOUS AU MARCHÉ DU 1ER FÉVRIER Le village de Talairan accueillera, le samedi 1er février 2025, son traditionnel marché aux truffes, un événement incontournable pour les amateurs du précieux diamant noir. Organisé par l’Association des Trufficulteurs Talairanais, ce rendez-vous mettra à l’honneur les produits du terroir et le savoir-faire local. Dès 9 heures, la place de la Fontaine s’animera avec le contrôle et le tri des truffes par l’Association des Trufficulteurs Audois, garantissant ainsi leur qualité. À partir de 11 heures, les gourmets pourront acquérir ces joyaux gastronomiques lors de l’ouverture officielle de la vente. Un marché du terroir permettra également de découvrir d’autres produits locaux, tandis que des arbres truffiers certifiés seront proposés aux passionnés souhaitant tenter l’aventure de la trufficulture. L’événement sera aussi l’occasion d’un moment de convivialité avec un apéritif en musique et la dégustation de la fameuse brouillade aux truffes. Plus qu’un simple marché, cette journée sera une véritable célébration du patrimoine gastronomique de l’Aude, sous l’égide de la marque Pays Cathare. PLF 2025 : LA RÉDUCTION DU SEUIL DE TVA À 25 000 €, UNE RÉFORME CONTROVERSÉE Le Projet de Loi de Finances (PLF) pour 2025, actuellement en discussion, suscite une vive opposition de la part des acteurs économiques. Au cœur des débats, un amendement prévoyant la réduction du seuil de franchise de TVA à 25 000 €. Une mesure présentée comme une simplification fiscale par le gouvernement, mais qui pourrait engendrer des conséquences lourdes pour de nombreux indépendants et auto-entrepreneurs. Derrière l’apparente volonté de rationaliser le système fiscal, les critiques s’accumulent. La Fédération Nationale des Auto-Entrepreneurs (FNAE) monte au créneau pour dénoncer une mesure qui risque de fragiliser les petits entrepreneurs. Dans un courrier adressé aux membres de la Commission Mixte Paritaire (CMP), l’organisation alerte sur les effets pervers de cet amendement. En premier lieu, la bascule de nombreux professionnels sous régime de TVA entraînerait une charge administrative supplémentaire, en contradiction avec l’objectif de simplification affiché. Par ailleurs, aucune estimation chiffrée des recettes fiscales générées par cette mesure n’a été avancée par ses promoteurs. Pire encore, certains experts redoutent une augmentation de la fraude par sous-déclaration des revenus, compromettant ainsi l’efficacité budgétaire escomptée. En outre, les effets indirects sur le pouvoir d’achat inquiètent : l’application de la TVA risque d’entraîner une hausse des prix des services de proximité (coiffure, aide à domicile, soins), pénalisant ainsi directement les consommateurs. Alors que la CMP doit se réunir le 30 janvier 2025 pour examiner cette disposition, la mobilisation des organisations professionnelles pourrait peser dans le débat. Une question demeure : la réduction du seuil de franchise de TVA répond-elle vraiment aux objectifs d’efficacité et de justice fiscale avancés par le gouvernement, ou risque-t-elle d'affaiblir un pan essentiel de l'économie française ? Signer la pétition sur : https://fnae.fr/combats-fnae-plf-2025/ ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci VERS UNE INFORMATION PLUS RICHE ET ENGAGÉE Depuis janvier, notre média multi-support a franchi une nouvelle étape dans son développement. En publiant une moyenne de cinq articles par jour sur des thématiques variées telles que l’actualité, la politique et le sport, nous avons trouvé un rythme de croisière nous permettant d’offrir une information rigoureuse et pertinente à nos lecteurs. Cette dynamique nous conduit aujourd’hui à envisager un positionnement plus affirmé en tant que source alternative d’information. Ce nouvel élan s’accompagne d’une ambition renforcée : enrichir notre offre avec le lancement imminent d’un journal d’information sur notre boucle TV. Dans un contexte médiatique en perpétuel mouvement, marqué par la prolifération des sources d’information et la montée des doutes sur leur fiabilité, nous souhaitons apporter une alternative crédible et exigeante. L’objectif est clair : proposer une lecture éclairée et accessible de l’actualité, tout en conservant l’objectivité et la rigueur journalistique qui fondent notre identité. Nous sommes également ouverts à toutes formes de collaborations avec des créateurs de contenus, journalistes indépendants ou occasionnels. Si vous êtes témoin d’un événement marquant ou souhaitez partager une analyse, notre rédaction est prête à relayer vos contributions. Prenez contact avec nous à l’adresse suivante : redaction@. Ensemble, faisons vivre une information plus riche, plus ouverte et plus engagée. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci DEUX INDIVIDUS IDENTIFIÉS APRÈS UNE SÉRIE DE VOLS DE VOITURES DANS L’AUDE Les forces de l’ordre ont élucidé deux cambriolages de voitures survenus en juillet dernier dans les communes audoises de Saint-Martin-Lalande et Castelnaudary. Les auteurs présumés, formellement identifiés grâce aux investigations menées par la brigade de gendarmerie de Castelnaudary, devront répondre de leurs actes devant la justice en mars prochain. Illustratioin
Le premier vol remonte à l’été dernier. Un pavillon de Saint-Martin-Lalande est cambriolé et la voiture des propriétaires dérobée. Quelques jours plus tard, le véhicule est repéré par les militaires du Peloton Motorisé (P.M.O.) de Lavelanet. Mais à la vue des forces de l’ordre, les deux occupants refusent d’obtempérer et prennent la fuite. La voiture est finalement abandonnée sur la voie publique dans la commune de Villepinte, compliquant la tâche des enquêteurs. Grâce à un travail minutieux, les gendarmes parviennent à identifier les deux suspects et à les relier à un second vol de véhicule, cette fois perpétré à Castelnaudary. Les preuves accumulées au fil des investigations permettent leur interpellation et leur placement en garde à vue. À l’issue de cette procédure, ils ont été convoqués pour comparaître devant la justice en mars prochain. Ce dossier met une nouvelle fois en lumière l’efficacité du travail d’investigation des forces de l’ordre dans la lutte contre les délits liés aux vols de véhicules. Il rappelle aussi la nécessité pour les propriétaires de redoubler de vigilance face à des actes délictueux qui, malgré la réactivité des services de sécurité, demeurent une menace récurrente dans certaines zones rurales. ————-- Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : Photo illustration, DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci INCENDIE À SAINT-POLYCARPE : UNE HABITATION RAVAGÉE PAR LES FLAMMES Dimanche 26 janvier 2025, en début de soirée, un violent incendie a entièrement détruit une habitation située à proximité de l’abbaye de Saint-Polycarpe, dans l’ouest de l’Aude. Alertés à 19 h 27, les secours sont rapidement intervenus pour tenter de maîtriser le sinistre. Si aucun blessé n’est à déplorer, les dégâts matériels sont considérables, contraignant les deux occupants à être relogés. Selon les premières constatations, l’origine du feu serait un problème de cheminée, dont les flammes se sont propagées à l’ensemble du logement. Face à l’ampleur du brasier, une vingtaine de pompiers du centre de secours de Castelnaudary ont été mobilisés, épaulés par quatre fourgons incendie. Malgré leurs efforts, la maison a été réduite en cendres avant que les secours ne puissent enrayer sa progression. Cet incendie pose une nouvelle fois la question de la prévention des feux domestiques, particulièrement en période hivernale où l’usage des cheminées est intensifié. Chaque année, les services de secours rappellent l’importance de l’entretien régulier des conduits de fumée afin d’éviter ce type de drame. Alors que les sinistrés doivent désormais reconstruire leur quotidien, cet événement souligne la nécessité d’une vigilance accrue face aux risques d’incendie dans les habitations rurales. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Didier Donnat 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci VOL AU CARREFOUR EXPRESS DE SAISSAC : DEUX HOMMES CONDAMNÉS Dans la nuit du 2 au 3 janvier 2025, le Carrefour Express de Saissac, en Montagne Noire, a été le théâtre d'un cambriolage minutieusement orchestré. Deux individus, visage dissimulé, ont forcé la porte de secours avec un pied-de-biche avant de dérober une importante quantité de jeux à gratter et de tabac. Le préjudice, estimé à près de 10 000 euros, a mis les enquêteurs sur la piste des malfaiteurs grâce à une empreinte de semelle distinctive relevée sur place. Les gendarmes de la brigade de Cuxac-Cabardès ont réussi à identifier les suspects en traçant les numéros de série des jeux à gratter volés, dont certains gains ont été encaissés par la compagne de l'un des accusés. Lors des perquisitions menées à Cuxac-Cabardès et Bram, des éléments compromettants ont été retrouvés : gants, pieds-de-biche, cagoules et des jeux à gratter. Jugés hier après-midi devant le tribunal, Lucas, 20 ans, et Kévin, 26 ans, ont comparu pour "vol aggravé par trois circonstances". Kévin, récidiviste avec onze condamnations à son casier, a expliqué avoir cédé à la tentation par nécessité financière : « Au mois de janvier, on était sans argent, alors j'ai pensé à ça. » Son complice, Lucas, a évoqué ses propres difficultés : « C'était pour payer mon avocat. Je n'ai pas réfléchi. » Le ministère public a qualifié l'acte de "réfléchi et prémédité", réclamant vingt-quatre mois de prison, dont six avec sursis, pour Kévin et dix mois avec sursis pour Lucas. La défense a plaidé pour des peines allégées, invoquant la disproportion des réquisitions. Le tribunal a finalement condamné Kévin à deux ans de prison, dont un avec sursis probatoire, et Lucas à huit mois de prison avec sursis probatoire. Les deux devront solidairement rembourser 9 952 euros à la SARL Le Cabas d'Oc, propriétaire du magasin cambriolé. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci COMMENT L’AUDE VA PENSER SA CARTE SCOLAIRE AVEC UNE DOTATION ‘‘NULLE’’ L’annonce est tombée comme un couperet : à la rentrée 2025-2026, le premier degré audois devra faire avec une dotation égale à zéro. Une situation inédite qui pose d’emblée la question de la gestion des ressources dans un contexte de restrictions budgétaires et de baisse démographique. Lors du comité social d'administration de l’académie de Montpellier, tenu le 27 janvier, la ventilation des suppressions de postes à l’échelle régionale a été détaillée : l’académie devra rendre dix postes équivalents temps plein (ETP), mais l’Hérault verra son effectif augmenté de cinq moyens supplémentaires, quand le Gard et la Lozère accuseront une perte respective de 12 et 3 postes. Pour l’Aude et les Pyrénées-Orientales, la dotation sera figée. Toute ouverture de classe devra donc se solder par une fermeture. Cette politique de stabilisation des effectifs se justifie officiellement par une baisse importante des inscriptions. Le décompte prévisionnel annonce 2 218 élèves en moins à l’échelle académique (-1 %), dont 331 en Aude, ramenant le nombre total d’écoliers à 27 584. Un recul significatif, mais qui ne masque pas les inquiétudes des acteurs locaux. La carte scolaire, traditionnellement ajustée en fonction des fluctuations démographiques, devra cette fois être repensée sans marge de manœuvre. Avec un taux d’encadrement évalué à 6,29 professeurs des écoles pour 100 élèves – supérieur à la moyenne académique (6,18 PE) –, l’Aude semble toutefois disposer d’un socle suffisant pour maintenir un certain équilibre. Mais au-delà des chiffres, c’est bien la répartition des moyens qui inquiète. Le gouvernement met en avant des objectifs ambitieux : réduction des effectifs par classe (21 élèves en moyenne contre 22,5 en 2020), soutien aux écoles rurales, renforcement de l’école inclusive et meilleure capacité de remplacement. Or, sans augmentation des moyens, ces orientations pourraient s'avérer difficilement tenables sur le terrain. Le comité social d’administration audois du 11 février, suivi du Conseil départemental de l’éducation nationale (CDEN) du 7 mars, devra définir une stratégie efficace pour répartir les ressources disponibles sans compromettre la qualité de l’enseignement. Une équation complexe, où chaque décision d’ouverture ou de fermeture de classe pourrait avoir des conséquences profondes sur l'organisation scolaire locale. Affaire à suivre... ————-- Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LIMOUXIN EN FÊTE : LE CARNAVAL DE LIMOUX ENTRE TRADITION ET CONTROVERSE Chaque année, la ville de Limoux s'embrase au rythme de son célèbre carnaval, une fête qui, depuis plus de quatre siècles, anime la place de la République chaque week-end durant trois mois. Ce dimanche, fidèles à la tradition, les "Fécos" ont sollicité l’autorisation du sous-préfet, Éric Laffargue, pour investir le cœur de la ville. Aux côtés du maire et du co-président de l'événement, ils ont donné le coup d’envoi de la plus longue festivité carnavalesque au monde. Une fierté locale qui conjugue convivialité, identité culturelle et attractivité touristique. Mais si l’esprit de fête est au rendez-vous, certains dénoncent des dérives qui entacheraient la réputation de l'événement. Avec plus de 32 bandes de carnavaliers, le carnaval de Limoux incarne un pan essentiel du patrimoine culturel local. Son organisation minutieuse, transmise de génération en génération, fait de cette manifestation un élément-clé du dynamisme économique et touristique de la région. Restaurateurs, cafetiers et hôteliers profitent pleinement de cette affluence. Pourtant, certaines voix s'élèvent pour pointer du doigt des excès. L’abus d’alcool et de stupéfiants, les incivilités et, plus grave encore, les cas rapportés de violences et d’agressions entachent parfois le tableau. Dès lors, une question se pose : comment concilier la pérennité de cette tradition avec le respect des règles de la République ? Les autorités locales se veulent rassurantes et insistent sur le renforcement des dispositifs de sécurité. Les organisateurs, eux, rappellent leur engagement pour un carnaval festif mais responsable. L’enjeu est double : préserver un patrimoine vivant tout en garantissant la sérénité des festivités. Si le carnaval de Limoux demeure un symbole de partage et de fête, il n’en reste pas moins un événement sous haute surveillance, où la tradition doit composer avec les exigences contemporaines. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci INCENDIE À BORD D’UN CARGO PÉTROLIER À PORT-LA-NOUVELLE : UNE NUIT DE TENSION ÉVITE LE DRAME Un incendie s’est déclaré dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 janvier à bord du cargo pétrolier *Kriti Captain*, amarré à Port-la-Nouvelle. Ce sinistre, d’origine accidentelle, a mobilisé 55 pompiers et plusieurs équipes spécialisées. Grâce à leur intervention rapide et coordonnée, aucun blessé ni risque de pollution n’est à déplorer. Le *Kriti Captain*, battant pavillon libérien, transportait 30 000 m³ de carburant, une cargaison qui aurait pu aggraver considérablement les conséquences de cet incendie. Cependant, le feu s’est limité à la salle des machines, isolée du reste du navire. Cette particularité a permis de contenir le sinistre, bien que les pompiers aient dû faire face à des conditions d’intervention particulièrement complexes. La préfecture de l’Aude a confirmé l’origine accidentelle de l’incendie et a assuré que la cargaison n’avait été en aucun cas menacée. UNE MOBILISATION EXEMPLAIRE DES SECOURS Face à la gravité potentielle de l’incident, les autorités ont rapidement mobilisé des moyens conséquents. 55 pompiers issus des casernes de l’Aude et de l’Hérault, accompagnés par le bataillon de marins-pompiers de Marseille, sont intervenus sur le site. Leur expertise dans la gestion des incendies en milieu maritime s’est avérée cruciale. Malgré les difficultés logistiques propres à un sinistre en mer, les équipes ont maîtrisé l’incendie dans la nuit, éteignant les flammes aux alentours de 7 heures du matin. Carole Delga, présidente de la région Occitanie, a salué l’efficacité et le professionnalisme des intervenants. Dans un message publié sur les réseaux sociaux, elle a exprimé sa gratitude envers les pompiers et les équipes portuaires pour avoir évité un drame humain et environnemental. UNE VEILLE PERMANENTE CONTRE LES RISQUES MARITIMES Cet événement souligne l’importance des mesures de sécurité et des protocoles en place dans les zones portuaires. À Port-la-Nouvelle, deuxième port pétrolier de la Méditerranée française, les infrastructures et les équipes sont spécialement formées à répondre aux incidents liés au transport de matières dangereuses. La gestion exemplaire de cet incendie illustre la pertinence de ces dispositifs. Cependant, cet épisode relance la question des risques associés au transport maritime d’hydrocarbures, particulièrement en Méditerranée, une zone déjà fragilisée par la pollution et la pression industrielle. Si aucune pollution n’a été constatée cette fois-ci, la vulnérabilité des écosystèmes marins impose une vigilance accrue. Les autorités locales, en collaboration avec les opérateurs portuaires, devront tirer les enseignements de cet incident pour renforcer encore les procédures de sécurité et prévenir tout risque majeur à l’avenir. L’incendie du *Kriti Captain*, heureusement sans conséquences graves, rappelle avec force l’importance des efforts conjugués des secours, des autorités et des exploitants pour garantir la sécurité des ports et préserver l’environnement marin. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LE CHÔMAGE EN HAUSSE DANS L’AUDE : UNE SITUATION PRÉOCCUPANTE POUR LES JEUNES ET LES SÉNIORS Après plusieurs années de décrue, le chômage connaît une reprise inquiétante dans l’Aude. Les derniers chiffres publiés par France Travail révèlent une augmentation notable du nombre de demandeurs d’emploi, atteignant 21 160 personnes fin décembre 2024. Une hausse de 3,6 % en seulement trois mois, qui frappe particulièrement les jeunes hommes et les femmes de plus de 50 ans. Une tendance alarmante dans un département déjà fragilisé économiquement. Cette dégradation intervient après une période où l’emploi semblait se stabiliser. Selon Murielle Henry, directrice de France Travail dans l’Aude, le marché du travail s’était récemment montré plus inclusif envers les jeunes et les séniors, mais ce n’est plus le cas. Les hommes de moins de 25 ans, notamment ceux peu qualifiés, se retrouvent sans perspective. Ils sont les premières victimes d’un marché de l’emploi qui, en se contractant, privilégie désormais les profils diplômés. Par ailleurs, les femmes séniors, souvent avec des parcours morcelés et des niveaux d’études modestes, souffrent particulièrement. Elles représentent un segment croissant des chômeurs longue durée, accentuant une singularité déjà marquée dans l’Aude. Outre l’impact démographique, les défaillances économiques des entreprises locales aggravent la situation. Les secteurs clés comme le commerce, la restauration ou encore le bâtiment, pilier de l’emploi départemental, sont durement touchés. Les offres d’emploi, bien que supérieures aux prévisions de début d’année, ont chuté de 20 % par rapport à 2023, confirmant une fragilité structurelle. Les petites entreprises, face à l’allongement des délais de paiement et à la baisse de consommation, peinent à maintenir leurs activités. Ce contexte génère une spirale négative où les employeurs hésitent à embaucher et où les moins qualifiés peinent à trouver leur place. Cette situation soulève des interrogations majeures pour l’avenir. Comment éviter que ces populations particulièrement exposées ne tombent dans une précarité durable ? La hausse du chômage des jeunes et des séniors, souvent moins mobiles géographiquement, traduit des fractures économiques et sociales qu’il devient urgent de résorber. Si la situation se poursuit, le département risque de faire face à des défis encore plus importants en matière de cohésion sociale et de développement local. Face à ces signaux alarmants, la nécessité d’une réponse adaptée est impérative. Développer des formations qualifiantes pour les jeunes, accompagner les transitions professionnelles des séniors et soutenir les entreprises locales constituent des pistes possibles. L’enjeu est de taille : redonner un souffle à l’économie locale tout en garantissant une insertion équitable pour tous. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci HAUTE VALLÉE DE L’AUDE : QUAND LA CHASSE TOURNE AU DRAME Ce dimanche 26 janvier, dans les environs escarpés de la Métayrie de Campagnol près de Saint-Julia-de-Bec, une partie de chasse a failli tourner au tragique. Un chasseur d’une cinquantaine d’années a été grièvement blessé après une rencontre brutale avec un sanglier. L’incident relance le débat sur la sécurité à la chasse et les risques inhérents à cette pratique, surtout en milieu difficile d’accès. Tout commence lorsqu’un chasseur tire sur un sanglier, sans parvenir à l’atteindre. Surpris et probablement effrayé, l’animal charge l’homme, le projetant dans un ravin. La victime, blessée à la cuisse, souffrait d’une plaie profonde lorsque les secours sont arrivés. Le terrain accidenté a compliqué l’intervention. Le Groupement de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux (Grimp) a dû être mobilisé, avec le soutien de l’hélicoptère Choucas 09 de la Gendarmerie, pour extraire l’homme et l’évacuer vers le centre hospitalier de Carcassonne. Cet incident met en lumière les dangers auxquels sont exposés les chasseurs, mais aussi les défis posés par les zones naturelles isolées. La pratique de la chasse, essentielle pour réguler certaines populations animales, reste controversée. Les partisans soulignent son importance écologique et économique, tandis que les critiques dénoncent des risques pour la sécurité publique et le bien-être animal. Face à ces enjeux, les accidents tels que celui survenu dans la Haute Vallée de l’Aude rappellent l’urgence d’une réflexion sur les règles de sécurité et la formation des pratiquants. Si la chasse reste un élément profondément ancré dans les traditions rurales, elle nécessite une vigilance accrue pour concilier passion, sécurité et respect des équilibres naturels. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LA MUSIQUE CHEZ VOUS : L’ORIGINALITÉ D’UNE ASSOCIATION NARBONNAISE QUI FAIT CHANTER LES SALONS À Narbonne, l’association A tout bout de chant bouscule les codes du spectacle vivant. Avec une passion pour la chanson française et une volonté de rapprocher les artistes du public, elle propose un concept novateur : des concerts privés directement chez les particuliers. Une initiative qui séduit un public en quête de moments musicaux intimes et conviviaux. Depuis 15 ans, l’association, présidée par Olivier Nunge, défend la richesse du répertoire français et le spectacle vivant. À travers des hommages à Ferrat, Reggiani ou Brassens, elle fait vibrer la salle OKabaret chaque mois. Mais c’est avec son concept Domicil’Chants qu’elle se distingue : les particuliers peuvent inviter des artistes professionnels chez eux pour un tarif abordable, à partir de 300 € par musicien. Ce service clé en main comprend le matériel technique et l’installation, faisant des concerts à domicile une réalité accessible. Cette initiative répond à plusieurs ambitions : rapprocher les générations autour de la chanson, promouvoir des artistes régionaux et préserver une tradition culturelle essentielle. Dans une époque où le numérique tend à isoler, A tout bout de chant réinvente le lien social, un air de musique à la fois. En rappelant que l’art se partage aussi dans l’intimité d’un foyer, l’association ouvre la voie à une expérience humaine et musicale unique, tout en invitant chacun à redécouvrir le pouvoir rassembleur de la chanson française. Le duo "Sucrée Salée", c’est la voix sincère et généreuse de Sucrée (Carole Gayraud) associée à la sensibilité et à la virtuosité des dix doigts de Salée (Laetitia Jollet), pour rendre hommage à la chanson française. Un duo à voir et écouter ce dimanche 2 février, à 16 heures, salle OKabaret (ex-espace Léo-Lagrange), 27 avenue De Lattre-De-Tassigny à Narbonne. Réservation conseillée au 06 21 46 75 81. ————-- Jean-Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci À Limoux, une question fait débat : pourquoi Pierre Durand, le maire, semble-t-il incarner à lui seul l’autorité incontestée sur la ville ? Dans la vie publique locale, son nom et son image sont omniprésents, comme si chaque événement ou projet portait sa marque. Pourtant, le rôle de maire est censé être un service collectif, une fonction au service de la collectivité, et non celui d’un monarque régnant sur son territoire. Pourtant, Pierre Durand semble cultiver cette idée de suprématie personnelle, laissant peu de place à la collaboration, à l’ouverture ou à l’expression d’opinions divergentes. Le “Monarque”, comme certains le surnomment, donne souvent l’impression de gouverner comme un souverain local. Chaque manifestation publique, qu’il s’agisse d’inaugurations, de festivals ou de cérémonies, est systématiquement marquée par sa présence, comme si lui seul en était l’initiateur et le créateur. Mais ce qui frappe, c’est l’isolement politique que cela engendre : l’opposition municipale est systématiquement exclue de ces événements. Jamais les élus de l’opposition ne sont invités à participer, ce qui ne fait qu’accentuer cette idée de centralisation du pouvoir autour de sa personne. Pierre Durand semble avoir fait de sa propre image un pilier incontournable de la vie locale, reléguant au second plan l’aspect collaboratif et démocratique du rôle de maire.
Cette concentration de l’attention sur une seule figure soulève la question de la véritable nature de la gouvernance à Limoux. Si Pierre Durand se positionne comme le “monarque” de la ville, avec une présence constante et un rôle central dans chaque événement, cela ne masque-t-il pas un manque d’ouverture et de dialogue ? Plutôt que de favoriser une dynamique d’équipe, il semble plus intéressé par l’idée de maintenir un contrôle absolu sur les affaires de la ville, où tout doit passer par lui. Cette logique laisse peu de place à une gestion partagée ou à une réelle concertation, notamment avec l’opposition qui, dans ce modèle, est délibérément mise à l’écart. Pour les habitants de Limoux, cette situation est de plus en plus préoccupante. Le maire semble non seulement centraliser le pouvoir politique, mais aussi le pouvoir symbolique, en cultivant une image de leader incontournable. En s’érigeant ainsi en figure quasi-monarchique, Pierre Durand risque de brouiller la distinction entre gestion publique et intérêts personnels. Cette manière de gouverner risque, à terme, de nourrir un climat de méfiance, où l’action municipale devient synonyme d’une seule volonté, celle du maire, et non du collectif. Limoux, loin de se nourrir de diversité et de démocratie locale, semble se figer dans un modèle où la voix d’un seul homme étouffe les autres. Le danger d’un tel système est qu’il peut finir par fragmenter la ville en factions, où les habitants n’ont plus voix au chapitre, sauf pour soutenir le pouvoir en place. Dans ce contexte, il est légitime de se demander : si Pierre Durand gouverne Limoux comme un monarque, quel avenir reste-t-il pour un véritable projet collectif porté par l’ensemble de la population ? ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11. MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C 11 . MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude, c’est le média qui vous donne la parole 📌 Découvrez notre filactu 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #aude #citoyen LIMOUX : QUAND MILITANTISME ET SÉRÉNITÉ LOCALE S’AFFRONTENT Dans le grand Limouxin, la controverse ne faiblit pas autour de la figure de Julien Rancoule. L’élu, venu présenter ses vœux à la population, a vu son événement perturbé par un petit groupe déterminé à relancer la polémique. manifestations, sous forme d’affichages provocateurs, de tags et d’interventions intempestives, ne sont pas du goût de nombreux habitants, qui dénoncent une atteinte à la sérénité et au respect des traditions locales. Ces agitations répétées, loin d’évoquer les festivités animées du Carnaval de Limoux, sont perçues par certains comme une dégradation de l’image de la ville. Depuis plus de six mois, ces actions se multiplient, suscitant un véritable ras-le-bol. Pierre Durand, Maire de Limoux et proche de ces contestataires, se voit aujourd’hui appelé à prendre une position claire : agir pour mettre un terme à ces comportements qui divisent la communauté. Face aux dégradations, certains estiment qu’il est temps de passer à l’action pour restaurer le calme et le respect au sein de la ville. Cette situation met en lumière une tension essentielle : jusqu’où la démocratie peut-elle tolérer des actions militantes qui perturbent la vie publique ? Si le droit à la critique et à la protestation est fondamental, il ne peut justifier des comportements qui abîment le tissu social. À Limoux, l’appel à l’apaisement est unanime : redonner la priorité au dialogue et au respect, pour que la démocratie reste un espace de débat constructif, et non de divisions stériles. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci UNE MAIRE FACE À LA TEMPÊTE : ENTRE ACCUSATIONS ET DÉFENSE D’UN PROJET MARITAL La maire de Bram, Claudie Faucon Méjean, se trouve aujourd’hui au cœur d’une controverse délicate. L’affaire porte sur une possible prise d’intérêt liée à l’utilisation de l’application Nomalys City, développée par la start-up dirigée par son mari, Fabrice Jarry. Si l’élue clame son innocence, l’opposition dénonce des pratiques contraires à l’éthique publique. Un imbroglio qui illustre les tensions croissantes entre transparence et conflits d’intérêts dans la sphère locale. Nomalys City se présente comme une solution innovante pour améliorer la gestion et la communication des services municipaux. Testée gratuitement dans la commune pilote de Bram, l’application semblait au départ exempte de toute controverse. Cependant, des vidéos promotionnelles diffusées sur YouTube, mettant en scène l’élue socialiste et ses équipes vantant les mérites du logiciel, ont relancé le débat. Ces séquences, perçues par certains comme une opération de propagande commerciale, ont suscité de vives critiques sur les réseaux sociaux. Malgré ses déclarations à L’Indépendant affirmant n’avoir jamais directement géré ce dossier, la maire peine à dissiper les doutes. « Ce logiciel a changé la vie de mes services », affirme-t-elle, tout en insistant sur la légitimité de ses démarches. L’opposition municipale, pour sa part, ne décolère pas. « Fabrice Jarry l’accompagne partout pour promouvoir son produit, c’est une véritable stratégie de lobbying assisté », déclare un conseiller, soulignant l’omniprésence de l’époux lors d’événements officiels. Les accusations vont plus loin : des plaintes pour agressions envers des militants d’opposition auraient également été déposées, alimentant une atmosphère de méfiance et de tensions. Certains envisagent même de saisir Anticor, l’association en lutte contre la corruption, pour examiner les faits sous un prisme juridique. Au-delà de ce cas précis, cette affaire soulève une question fondamentale : où se situe la limite entre promotion légitime et conflit d’intérêts ? Si les start-up locales peuvent offrir des solutions innovantes, leur adoption par des collectivités gérées par des élus liés à ces entreprises exige une vigilance accrue. À l’heure où la confiance des citoyens envers leurs institutions s’effrite, il devient impératif de garantir une éthique irréprochable dans l’action publique. Les prochaines semaines diront si cette controverse se limite à des débats médiatiques ou si elle prendra un tournant judiciaire plus sérieux. Quoi qu’il en soit, cette affaire met en lumière les défis d’une gouvernance locale souvent tiraillée entre innovation, proximité et responsabilités. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. 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