LES TRÉSORS DE LOLLY : UNE BOUTIQUE PAS COMME LES AUTRES AU COEUR DE CARCASSONNE Au 27, rue Barbès, en plein centre de Carcassonne, une petite boutique attire les regards et suscite la curiosité des passants. Son nom ? Les Trésors de Lolly. Derriere cette enseigne au charme indéniable, Jessica, une jeune commerçante passionnée, qui a fait le pari audacieux de créer un lieu hybride, entre caverne d’Ali Baba et salon de thé intimiste. Un espace où l’on peut dégoter un bijou original, un souvenir local ou un textile tendance, avant de s’accorder une pause gourmande autour d’une pâtisserie maison. Dans sa boutique, tout est pensé pour donner envie de flâner. De petites étagères en bois exposent des accessoires minutieusement sélectionnés, tandis que les murs pastel insufflent une ambiance douce et chaleureuse. L’offre est vaste et accessible : bijoux fantaisie, objets déco, cadeaux insolites... "J’ai voulu créer un espace où tout le monde peut trouver son bonheur sans se ruiner", explique Jessica, qui veille à proposer des articles à prix doux. Mais la véritable surprise se cache au fond de la boutique : un petit coin détente où les clients peuvent siroter un thé parfumé ou savourer une part de tarte maison. "C’est une manière de prolonger l’expérience shopping", confie-t-elle, en soulignant l’importance du lien social dans le commerce de proximité. Jessica le sait, maintenir une boutique indépendante en centre-ville est un défi quotidien. Entre la concurrence des grandes enseignes et l’essor du commerce en ligne, il faut redoubler d’ingéniosité pour attirer et fidéliser une clientèle. "Les petits commerces ont encore un rôle à jouer, mais il faut innover, surprendre et surtout créer une véritable relation humaine", analyse-t-elle. Avec Les Trésors de Lolly, elle propose plus qu’une simple boutique : un lieu de vie, où l’on prend plaisir à venir et revenir. Une approche qui semble porter ses fruits, à en juger par l’enthousiasme de ses clients, ravis de trouver en ce petit commerce une alternative chaleureuse à la froideur des achats en ligne. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci UNE OPACITÉ QUI INTERROGE : POURQUOI LA PRESSE A-T-ELLE ÉTÉ ÉCARTÉE ? Pourquoi la presse indépendante a-t-elle été tenue à l'écart d'un événement censé mettre en lumière les aides à domicile ce 17 mars dernier ? Censurés, privés de toute possibilité de couvrir les discours et d'interroger les principaux acteurs, les médias locaux n'ont eu d'autre choix que de rester en retrait. Une situation qui soulève de nombreuses interrogations. Pourquoi un tel verrouillage de la communication ? Faut-il y voir la volonté des élus de contrôler un discours qui pourrait leur échapper ? Car si l'on gratte le vernis festif, la réalité du métier d'aide à domicile demeure marquée par la précarité. Majoritairement exercé par des femmes, ce travail souffre d'une reconnaissance institutionnelle encore trop timide. Salaires insuffisants, horaires fractionnés, frais professionnels rarement pris en charge : les difficultés s'accumulent alors même que ces professionnelles sont essentielles au bien-être de milliers de personnes âgées ou dépendantes. Pourtant, les discours politiques vantent régulièrement leur engagement, sans que les actes ne suivent vraiment. En refusant l'accès à la presse, les élus locaux – à commencer par Pierre Durand, président de la communauté de communes, et Philippe Andrieu, conseiller départemental – ont peut-être cherché à éviter des débats qui dérangent. Mais ce silence imposé est en soi un aveu : celui d'une volonté de ne pas mettre en lumière les difficiles réalités du secteur. La reconnaissance des aides à domicile ne saurait se limiter à des célébrations officielles. Elle passe avant tout par des mesures concrètes : une revalorisation salariale, une amélioration des conditions de travail et une transparence éditoriale permettant un débat public sincère. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci RYANAIR VA-T-ELLE DÉCOLLER DÉFINITIVEMENT DE L’AÉROPORT DE CARCASSONNE ? L’éventuel retrait de la compagnie Ryanair de l’aéroport de Carcassonne, comme annoncé ce matin dans la presse, serait un véritable coup dur pour l’économie locale, pour notre ville et pour le département de l’Aude. Une hypothèse qui inquiète les usagers et les acteurs économiques de la région. En toile de fond, la hausse de la taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA), décidée par le gouvernement et entrée en vigueur au 1er mars. Déjà, la compagnie low-cost irlandaise a annoncé la fermeture de lignes à l’aéroport de Vatry et laisse planer le doute sur d'autres sites, notamment Limoges, Perpignan et Carcassonne. Alors, menace réelle ou stratégie de pression sur les collectivités locales ? Face à cette situation préoccupante, Christophe Barthès, député de l’Aude, s’indigne et interpelle le gouvernement. "J’ai interrogé le 21 janvier le ministre chargé des Transports, toujours sans réponse à ce jour. Le gouvernement doit de toute urgence revenir sur la hausse de la TSBA, qui va causer la perte de nombreux emplois, la disparition de nos aéroports régionaux et donc l’enclavement de nos territoires ruraux", déclare-t-il. L’aéroport de Carcassonne, qui dépend fortement du transporteur irlandais, pourrait en faire les frais. En 2023, plus de 400 000 passagers ont transité par ses installations, majoritairement grâce à Ryanair. Un retrait de la compagnie signerait une chute drastique du trafic et poserait la question de la viabilité de l'infrastructure. Pourtant, la région Occitanie, en charge de la gestion de la plateforme, tempère : « Nous sommes en relation avec les responsables aéroportuaires et rien ne laisse penser à un départ imminent ». Même son de cloche sur le site de l'aéroport, où la programmation des vols s'étend jusqu'à octobre 2025. "Nous ne lâcherons rien", insiste Christophe Barthès, "mais il faut également que le conseil départemental et le conseil régional, tous deux composés d’écologistes intégristes opposés au secteur de l’aviation, arrêtent leur idéologie et défendent enfin la préservation de nos aéroports régionaux, et notamment celui de Carcassonne". Si Ryanair venait à se retirer, l’impact serait considérable pour le tourisme et l’économie locale. Les professionnels du secteur hôtelier, les restaurateurs et les commerces du centre-ville redoutent une baisse de fréquentation, alors que l’aéroport joue un rôle crucial dans l’attractivité de Carcassonne. Faut-il pour autant céder aux exigences de la compagnie ? D'autres aéroports français ont déjà refusé de se plier aux conditions de Ryanair, au risque de voir la compagnie plier bagage. Une situation qui pose la question de la dépendance des territoires à un acteur privé et de la nécessité d’un modèle de transport plus diversifié et durable. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci TVA À 25 000 € : LES AUTO-ENTREPRENEURS REFUSENT LA PRÉCARISATION Le 25 mars 2025, une vaste mobilisation s’organise dans plusieurs grandes villes de France. La Fédération Nationale des Auto-Entrepreneurs (FNAE), en collaboration avec le groupe Facebook "Manifestons tous ensemble - TVA auto-entrepreneurs, Indépendants et Libéraux", appelle les travailleurs indépendants à descendre dans la rue pour s’opposer à la baisse du seuil de franchise de TVA à 25 000 €. Une décision jugée injuste et dangereuse pour ces professionnels, déjà fragilisés par un contexte économique incertain. La contestation monte depuis l’annonce de cette mesure, qui pourrait remettre en cause le modèle économique de milliers d’auto-entrepreneurs. En abaissant le seuil de TVA, l’État imposerait à de nombreux travailleurs indépendants une pression fiscale supplémentaire, rendant leur activité moins compétitive face aux entreprises plus structurées. Pour les auto-entrepreneurs, qui opèrent souvent seuls et avec des marges restreintes, devoir facturer la TVA pourrait provoquer une perte de clients et menacer leur survie économique. "Seuls, nous ne pourrons rien changer, mais ensemble, nous pouvons faire entendre notre voix", clament les organisateurs du mouvement. La mobilisation s’annonce d’ampleur. Prévue entre 14h et 17h, elle se déploiera simultanément dans quinze villes françaises, de Paris à Marseille, en passant par Lyon, Lille et Bordeaux. Le choix d’une manifestation en semaine n’est pas anodin : il vise à capter l’attention des élus locaux et parlementaires, espérés nombreux dans les cortèges. "Nous voulons leur rappeler que derrière ces chiffres, il y a des milliers de vies impactées", explique un porte-parole de la FNAE. L’enjeu est clair : obtenir l’abrogation de cette mesure avant qu’elle n’entre en vigueur et ne fragilise davantage un secteur essentiel à l’économie française. Cette manifestation marquera-t-elle un tournant dans la lutte des auto-entrepreneurs pour leurs droits ? L’union de ces travailleurs dispersés sera-t-elle suffisante pour faire plier le gouvernement ? Si la mobilisation est massive, les responsables politiques ne pourront pas ignorer cet appel. Dans le cas contraire, c’est tout un modèle qui pourrait vaciller. L’heure est à la mobilisation, sous peine de voir une flexibilité précieuse se transformer en fardeau fiscal. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci HOMMAGE AUX ANCIENS COMBATTANTS : UNE COMMÉMORATION ENTRE MÉMOIRE ET DÉBAT Le 19 mars, au pied du Monument aux Morts de Castelnaudary, la solennité était de mise. La FNACA (Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie) organisait une cérémonie de recueillement pour la Journée Nationale du Souvenir, en mémoire des victimes de ces conflits. Un moment chargé d’émotion, mais aussi porteur de débats sur le sens de cette date commémorative. Sous un ciel gris, l’assemblée rassemblait figures politiques et représentants des forces de l’ordre. Patrick Maugard, maire de Castelnaudary, Philippe Greffier, premier adjoint et président de la communauté de communes, ainsi qu’Éliane Brunel, élue départementale, ont marqué leur présence aux côtés de la gendarmerie, des sapeurs-pompiers et des membres de la Légion étrangère. Après un discours empreint de gravité prononcé par la FNACA, un dépôt de gerbe et une Marseillaise ont scellé cette cérémonie de recueillement. Pourtant, derrière l’unité affichée, les sensibilités divergent encore sur la portée de cette date du 19 mars 1962, marquant officiellement la fin de la guerre d’Algérie. Si pour certains, cette journée représente un devoir de mémoire nécessaire, d’autres dénoncent une commémoration biaisée, omettant les violences post-accords d’Évian. Depuis des décennies, le 19 mars suscite des désaccords, notamment parmi les anciens combattants et les rapatriés d’Algérie. Mais au-delà des débats historiques, l’essentiel demeure : honorer ceux qui ont perdu la vie et rappeler les tragédies passées pour mieux comprendre le présent. La mémoire collective peut-elle se construire malgré les divisions ? Une question toujours ouverte. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci L’APÉRO FAIT SON SHOW À NARBONNE : UN SALON DÉDIÉ À LA CONVIVIALITÉ C’est un rituel ancré dans le quotidien des Français. Moment de partage et de plaisir, l’apéro s’invite cette année encore au Parc des expositions de Narbonne pour un événement dédié à cet art de vivre. Du vendredi 21 au dimanche 23 mars 2025, le Salon de l’apéro réunira plus de 70 exposants autour de la gastronomie, des arts de la table et d’animations conviviales. Un rendez-vous festif qui promet de ravir les amateurs, avec ou sans alcool. Depuis sa création, le Salon de l’apéro s’est imposé comme un incontournable pour les épicuriens. Sébastien Lafage, son fondateur, en est convaincu : « L’apéro, c’est bien plus qu’un simple moment de consommation, c’est une tradition ancrée dans notre culture. Ce salon célèbre ce plaisir du partage, tout en mettant en avant le savoir-faire des artisans et producteurs. » Pour cette troisième édition narbonnaise, après une escale à Béziers l’an passé, l’événement reprend ses quartiers au Parc des expositions avec une programmation enrichie. Les festivités débuteront dès le vendredi soir, avec une ouverture en nocturne à partir de 17 h. Cette année, les organisateurs ont misé sur des animations toujours plus variées : un magicien viendra étonner les visiteurs, une banda assurera l’ambiance musicale, tandis que les sculpteurs de glace et de fruits proposeront des démonstrations spectaculaires. Jeux, pétanque d’intérieur, expositions humoristiques et ateliers interactifs viendront compléter ce tableau déjà bien garni. « L’objectif est d’offrir un moment de détente et de découverte accessible à tous », précise Sébastien Lafage. Côté stands, les visiteurs pourront découvrir une large palette de saveurs. Plus de 70 artisans et producteurs ont été sélectionnés pour l’occasion, avec une place de choix accordée aux entreprises occitanes. Mais l’événement prendra aussi une dimension internationale : des exposants venus des Alpes, de Bordeaux, du Brésil, du Portugal ou encore des Antilles proposeront des spécialités venues d’ailleurs. Et si les vins, bières et spiritueux restent des incontournables, la tendance aux boissons sans alcool s’affirme, avec des alternatives innovantes et raffinées. Autre nouveauté : des apéros inspirés de la cuisine moléculaire espagnole, qui promettent une expérience gustative surprenante. Au-delà des plaisirs gustatifs, le salon mettra aussi à l’honneur les arts de la table. Des couteaux artisanaux aux planches en bois, en passant par les braseros et autres accessoires dédiés, tout est pensé pour que les visiteurs repartent avec de quoi organiser leurs propres apéros dans les règles de l’art. « C’est un grand marché, mais aussi un lieu où l’on peut se poser, goûter et profiter », résume l’organisateur. Avec une entrée fixée à 6 € (verre inclus) et la gratuité pour les moins de 12 ans, l’événement se veut accessible à tous. Et après tout, comme le rappelle Sébastien Lafage, « quelque part dans le monde, il est toujours l’heure de faire tchin-tchin ». ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LES TRAFICS DE TABAC EXPLOSENT DANS L’AUDE : ENTRE CONTREBANDE ET CONSOMMATION EN DÉCLIN Les Français consomment-ils réellement moins de tabac ? À première vue, les chiffres de 2024 sont encourageants : une baisse de 12 % des ventes officielles. Pourtant, cette donnée masque une réalité plus complexe. Car si les achats auprès des buralistes diminuent, les circuits parallèles, eux, prospèrent. Dans l’Aude, territoire frontalier, la tendance est encore plus marquée : une chute de 14 % des ventes légales, accompagnée d’une recrudescence alarmante des trafics. Valérie Gauthier, présidente de la fédération des buralistes de l’Aude, observe ce phénomène avec inquiétude. « Nous subissons de plein fouet la proximité de l’Espagne. Un paquet acheté à 6 € de l’autre côté de la frontière, contre 13 € en France, la différence est considérable. » Cet écart pousse de nombreux consommateurs à franchir la frontière pour s’approvisionner à moindre coût. Et ce n’est pas tout : l’essor du marché noir, organisé en véritables réseaux, aggrave encore la situation. « Dans des villes comme Carcassonne, Narbonne ou Lézignan-Corbières, la vente sous le manteau explose. » L’ampleur du phénomène est telle que certains buralistes voient leur chiffre d’affaires s’effondrer en quelques semaines dès qu’un point de vente illégal s’installe à proximité. Loin d’être isolé, ce constat se généralise à tout le département. « Sur le littoral, la présence des touristes compense un peu, mais dans les zones rurales, la consommation chute parfois de 20 %. » Face à cette érosion des ventes officielles, une explication supplémentaire émerge : la hausse incessante des prix. L’augmentation de janvier 2025 a accentué le phénomène. « Beaucoup ont affirmé vouloir arrêter de fumer en début d’année. Mais ce qu’on entend aujourd’hui, c’est plutôt : ‘J’arrête d’acheter en France’. » Pour les buralistes, l’inquiétude est palpable. Car au-delà des pertes économiques, la montée des trafics pose aussi une question de sécurité publique. Quelle réponse les autorités apporteront-elles à cette crise qui dépasse largement le cadre de la seule consommation de tabac ? ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci RYANAIR VA-T-ELLE DÉCOLLER DÉFINITIVEMENT DE L’AÉROPORT DE CARCASSONNE ? Depuis plusieurs jours, la rumeur enfle : Ryanair pourrait quitter l'aéroport de Carcassonne. Une hypothèse qui inquiète les usagers et les acteurs économiques de la région. En toile de fond, la hausse de la taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA), décidée par le gouvernement et entrée en vigueur au 1er mars. Déjà, la compagnie low-cost irlandaise a annoncé la fermeture de lignes à l’aéroport de Vatry et laisse planer le doute sur d'autres sites, notamment Limoges, Perpignan et Carcassonne. Alors, menace réelle ou stratégie de pression sur les collectivités locales ? Le modèle économique de Ryanair repose sur des coûts d’exploitation réduits et des accords financiers avantageux avec les aéroports secondaires. Une augmentation de la TSBA fragilise directement cette équation, poussant la compagnie à revoir sa stratégie. L’aéroport de Carcassonne, qui dépend fortement du transporteur irlandais, pourrait en faire les frais. En 2023, plus de 400 000 passagers ont transité par ses installations, majoritairement grâce à Ryanair. Un retrait de la compagnie signerait une chute drastique du trafic et poserait la question de la viabilité de l'infrastructure. Pourtant, la région Occitanie, en charge de la gestion de la plateforme, tempère : « Nous sommes en relation avec les responsables aéroportuaires et rien ne laisse penser à un départ imminent ». Même son de cloche sur le site de l'aéroport, où la programmation des vols s'étend jusqu'à octobre 2025. Si Ryanair venait à se retirer, l’impact serait considérable pour le tourisme et l’économie locale. Les professionnels du secteur hôtelier, les restaurateurs et les commerces du centre-ville redoutent une baisse de fréquentation, alors que l’aéroport joue un rôle crucial dans l’attractivité de Carcassonne. Faut-il pour autant céder aux exigences de la compagnie ? D'autres aéroports français ont déjà refusé de se plier aux conditions de Ryanair, au risque de voir la compagnie plier bagage. Une situation qui pose la question de la dépendance des territoires à un acteur privé et de la nécessité d’un modèle de transport plus diversifié et durable. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci RETRAITÉS EN COLÈRE : UNE MOBILISATION RÉGIONALE POUR LEURS DROITS Le ras-le-bol grandit chez les retraités de l’Aude. Ce jeudi 20 mars, ils sont appelés à se rendre à Montpellier pour une mobilisation régionale à l’appel de l’intersyndicale. Une démonstration de force pour faire entendre leurs revendications face à un gouvernement qu’ils jugent sourd à leurs demandes. "On continue de revendiquer car on a un mur en face", dénoncent les représentants syndicaux. Ils fustigent des "attaques et stigmatisations" répétées et s’inquiètent des nouvelles orientations budgétaires. "Avec l’économie et les efforts de guerre qui vont être demandés, on entend dire que les discussions sur les retraites sont secondaires, voire dérisoires. C’est intolérable", s’indignent-ils. Si les pensions ont été revalorisées de 2,5 % en début d’année, les retraités dénoncent une simple indexation sur l’inflation, loin de compenser les pertes accumulées. "Nous demandons un rattrapage des pertes subies depuis des années, soit au moins trois mois de pension", expliquent-ils. Mais au-delà du pouvoir d’achat, c’est surtout l’accès aux soins qui est au cœur des préoccupations. "700 000 retraités en France n’ont pas de complémentaire santé. Certains renoncent à se soigner par manque de moyens", alerte Gérard Petit, de Loisirs Solidarité Retraités. "Nous avons besoin de solutions concrètes : réguler l’implantation des médecins pour lutter contre les déserts médicaux, créer des centres de santé avec des praticiens salariés, faciliter l’exercice des médecins formés hors de l’Union européenne", plaide Patrick Cuesta de la CGT. Plus largement, l’intersyndicale réclame une augmentation du budget de la Sécurité sociale pour garantir une protection sociale digne de ce nom. "La Sécurité sociale aura 80 ans cette année. Nous sommes bien loin de l’esprit de solidarité qui l’animait à sa création." Le choix du parcours de la manifestation illustre ces revendications. Après avoir traversé Montpellier, les manifestants termineront leur mobilisation devant la CPAM, où une délégation sera reçue. L’organisation est déjà en place : des bus partiront de Carcassonne et Lézignan, tandis qu’un système de covoiturage est prévu depuis Limoux et Castelnaudary. "On pense partir à environ une centaine. Pour l’instant, les deux tiers des places sont déjà réservées", précise Patrick Cuesta. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci UNE OPÉRATION COUP DE POING POUR LUTTER CONTRE LES VENTES ILLICITES Le 14 mars dernier, Castelnaudary a été le théâtre d'une vaste opération de contrôle menée par la gendarmerie, les douanes et les services de la préfecture de l'Aude. Objectif : mettre un coup d'arrêt aux ventes illicites qui prolifèrent dans certains commerces de la commune. En ligne de mire, des établissements variés, allant des bars aux épiceries de nuit, en passant par le bowling local. Une descente surprise qui a permis la saisie de 800 cigarettes électroniques interdites, de tabac à mâcher et de produits euphorisants. Ce contrôle inopiné a mobilisé 25 agents, déterminés à vérifier le respect des réglementations en vigueur. Les autorités locales rappellent que ces produits, souvent vendus sous le manteau, présentent des risques sanitaires et échappent à toute fiscalité. La lutte contre ces circuits parallèles devient donc un enjeu crucial, autant pour la santé publique que pour l'économie légale. En parallèle, la gendarmerie, assistée de la police municipale, a sécurisé le centre-ville et échangé avec les commerçants, dans une démarche de prévention et de sensibilisation. Si cette opération est saluée par de nombreux riverains soucieux du respect de la loi, elle interroge également sur l'ampleur du phénomène. Ces contrôles ponctuels suffiront-ils à enrayer un marché clandestin qui semble prospérer ? Pour certains observateurs, une réponse plus globale est nécessaire, combinant répression et prévention. Une chose est sûre : les autorités affichent leur volonté de ne pas relâcher la pression. ________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. 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Rapidement, d’autres feux se déclenchent dans plusieurs rues de la ville : rue Léo Delibes, rue Alexandre Guiraud, rue Trivalle, porte Narbonnaise, place du Château… Les pompiers interviennent en urgence, mais le bilan est lourd. L’enquête s’accélère lorsque les caméras de vidéoprotection repèrent deux individus se déplaçant dans la zone des incendies. À leur arrivée sur place, les policiers interpellent un jeune homme essoufflé, couvert de suie et portant une forte odeur de fumée. Son complice, en revanche, demeure introuvable. Devant le tribunal, le prévenu peine à expliquer son geste : "Je ne sais pas pourquoi on a fait ça. Mon ami m’avait chauffé". L'expertise psychiatrique ne révèle aucun trouble mental. Sa mère le décrit comme un jeune influençable, consommateur occasionnel de cannabis, mais sans antécédent judiciaire. Malgré la gravité des faits, la défense souligne l'absence d'intention criminelle et insiste sur la nécessité d’une sanction constructive. Le tribunal suit cette ligne et condamne le jeune homme à 140 heures de travail d’intérêt général, avec obligation d’indemniser les victimes. Si cette peine est perçue par certains comme une seconde chance, elle soulève aussi une question plus large : comment prévenir ces actes impulsifs qui peuvent mettre en danger toute une ville ? La réponse semble nécessiter une combinaison de responsabilisation, de sensibilisation et de surveillance accrue. En attendant, les commerçants et habitants de Carcassonne espèrent ne plus revivre une telle nuit de chaos. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. 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Désormais, ce seuil est drastiquement rabaissé à 25 000 euros, contraignant de nombreux professionnels à intégrer une TVA de 20 % à leurs tarifs. Une réalité qui impactera directement leur clientèle : un devis de 1 000 euros passera à 1 200 euros, une prestation à 50 euros grimpera à 60 euros. De quoi décourager de nombreux consommateurs, notamment les particuliers qui ne peuvent pas récupérer la TVA. Cette flambée des prix ne sera pas sans conséquences. Selon les estimations, près d'un quart des auto-entrepreneurs envisagent de cesser leur activité, tandis que 26 % préfèreront auto-limiter leur chiffre d'affaires pour éviter de franchir le seuil fatidique. Pire encore, le risque de développement du travail dissimulé inquiète. Facturations "hors TVA", multiplication des micro-entreprises pour contourner la règle… Autant de stratagèmes qui, loin d'assainir le système fiscal, pourraient accroître la fraude et affaiblir les recettes publiques. L'autre effet collatéral de cette réforme, c'est la complexification du statut. Historiquement conçu pour sa simplicité administrative, le régime d'auto-entrepreneur impose désormais une gestion de TVA contraignante : déclarations régulières, suivi des seuils, adoption de logiciels conformes. Une charge supplémentaire que nombre d'indépendants ne sont ni formés ni équipés pour assumer. Conséquence directe : des heures de travail administratif en plus, au détriment du développement de leur activité. Ce bouleversement brutal n'a pas été anticipé par le gouvernement. Aucune étude d'impact n'a été menée avant son adoption, laissant les professionnels désemparés. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : 350 000 auto-entrepreneurs directement affectés, 9,1 milliards d'euros de chiffre d'affaires concernés, des milliers de parcours entrepreneuriaux compromis. Plus largement, cette réforme remet en cause un dispositif qui, depuis 15 ans, a permis à des milliers de Français de se lancer et de sortir du chômage. Face à cette vague d'inquiétude, la mobilisation s'intensifie. De nombreux entrepreneurs interpellent leurs députés et exigent le retrait pur et simple de cette mesure. Car au-delà des chiffres, c'est tout un modèle économique qui est mis en péril. Peut-on vraiment prétendre soutenir l'initiative individuelle en imposant des contraintes qui fragilisent les plus modestes ? Une question à laquelle les parlementaires devront répondre dans les semaines à venir. Plus d’infos sur www.fnae.fr ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci SÉCURITÉ À LIMOUX : PIERRE DURAND CACHE-T-IL LA VÉRITÉ ? Comme chaque année, les gendarmes du Limouxin ont présenté leur rapport d'activité aux élus, jeudi 13 mars, à l’Olympie. Le lieutenant Quentin Verhaeghe, commandant la communauté de brigades (COB) de Limoux, a exposé des chiffres qui parlent d’eux-mêmes. Si certains indicateurs restent stables, d'autres connaissent une augmentation inquiétante. Pourtant, le maire de Limoux, Pierre Durand, persiste à minimiser la réalité et refuse d’admettre que l’insécurité grimpe dangereusement. En matière de sécurité routière, les infractions sont passées de 1 776 en 2023 à 1 733 en 2024, une légère baisse qui ne masque pas l'aggravation des accidents corporels : 14 en 2024 contre 12 en 2023. Plus alarmant encore, le nombre de décès sur les routes est passé de 2 à 3, tandis que les blessés ont doublé (de 10 à 20). Un constat que Pierre Durand évite d’aborder. Sur le front de la délinquance, la situation se dégrade nettement. Les atteintes aux biens ont explosé, passant de 397 en 2023 à 454 en 2024. Les vols de voitures ont bondi de 88 à 108, tandis que les dégradations sont passées de 54 à 82. Même constat pour les dépôts sauvages d’ordures, en augmentation (de 9 à 13). Mais le maire continue d’affirmer que "tout va bien" et empêche la presse de relayer ces informations. Un mutisme qui alimente la colère des citoyens face à une insécurité grandissante. Les interventions des gendarmes (transports, constatations, interventions d’urgence) se maintiennent à 1 743 en 2024 contre 1 789 en 2023. Les violences intrafamiliales, elles, enregistrent une légère baisse (110 faits en 2024 contre 119 en 2023). Les accidents sont stables (154 en 2023 et 2024), tandis que les cas de divagation d’animaux ont presque doublé (de 15 à 26). L’ivresse sur la voie publique, elle, reste constante (32 en 2024 contre 34 en 2023). Malgré ce bilan sans appel, Pierre Durand ne propose aucune mesure concrète pour enrayer cette montée de l’insécurité. Pire, le temps dédié à la prévention par les forces de l’ordre a chuté de 908 heures en 2023 à 743 heures en 2024. Une baisse qui interroge sur la volonté politique réelle de faire face à cette dérive. Les élections municipales approchent, et la gestion sécuritaire du maire sera inévitablement scrutée. Face à un sentiment d’insécurité grandissant, les Limouxins sauront-ils sanctionner l’inaction et le déni ? ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci BERRIAC ENVAHI PAR LES DÉCHETS : UN FLÉAU QUI PERSISTE MALGRÉ LES PROMESSES Les années passent et le constat demeure inchangé. Depuis 2017, le chemin des Cathares à Berriac est le théâtre d’une véritable décharge sauvage à ciel ouvert. En dépit des engagements affichés par la mairie de Carcassonne, responsable du ramassage des déchets sur place, la situation semble s’enliser. En mars 2025, la montagne de détritus continue de s’élever, posant une question lancinante : pourquoi rien ne change ? Interpellée sur le sujet en 2024, la municipalité assurait pourtant mener une lutte constante contre ces pratiques illégales. "L’ensemble des services de la ville sont mobilisés et ramassent 25 tonnes de déchets sauvages par semaine", expliquait alors Arnaud Albarel, adjoint en charge de l’environnement. Une enveloppe de 400 000 € était dédiée à ce combat sur un an. Mais, un an plus tard, la réalité est sans appel : les dépôts perdurent et le problème semble insoluble. La municipalité reconnaît désormais faire face à un "cercle vicieux". Des caméras-pièges avaient été installées dans l’espoir de dissuader les contrevenants. "Pendant un moment, les dépôts sauvages ont cessé, enfin c’est ce qu’on pensait", confie un responsable. En réalité, le problème s’est déplacé : les délinquants opèrent désormais sur d’autres sites, adaptant leurs pratiques aux zones moins surveillées. Si les dispositifs de surveillance existent, leur exploitation reste un défi. "Les caméras fonctionnent 24 h/24 et 7j/7, mais il faudrait des effectifs disponibles en permanence pour visionner les images", explique-t-on en mairie. Une surveillance constante jugée "impossible" à mettre en place avec les moyens actuels. De plus, la municipalité précise que les chiffres de ramassage ne concernent que Carcassonne et non pas sa périphérie, "dont fait partie Berriac". Malgré les difficultés, la mairie assure qu’elle ne renoncera pas. "Des réunions ont été organisées avec d’autres agglomérations afin d’étudier de nouvelles solutions". L’objectif : une stratégie efficace et durable. "Nous devons nous assurer que les mesures prises ne seront pas contournées en quelques jours", souligne la municipalité. Si les caméras-pièges n’ont pas résolu le problème, elles ont tout de même permis d’identifier certains contrevenants. "Des amendes ont été distribuées", insiste la mairie. Les sanctions varient de 35 € pour les infractions de 2e classe jusqu’à 1 500 € pour celles de 5e classe. Mais ces punitions suffiront-elles à dissuader durablement les auteurs de ces incivilités ? Rien n’est moins sûr. Pendant ce temps, les habitants de Berriac continuent de subir ce fléau au quotidien, sans voir d’issue concrète à cette situation qui semble s’éterniser. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci PRÉVENTION SPÉCIALISÉE : UNE COUPE BUDGÉTAIRE QUI INQUIÈTE LES ÉDUCATEURS DE RUE Lutter contre le décrochage scolaire, agir contre la marginalisation, développer l'autonomie et le sens des responsabilités... la mission des éducateurs de rue dans les quartiers sensibles de Narbonne et Carcassonne est essentielle. L'association Accompagner Bâtir Prévenir (ABP) est en première ligne pour soutenir les jeunes en difficulté. Pourtant, une coupe drastique des subventions du Conseil départemental menace directement leur action. Une baisse de budget qui se traduirait par la suppression de quatre postes, un coup dur pour cette structure déjà sous tension. Depuis plusieurs mois, l'inquiétude grandit au sein de l'association. Le principal financeur d'ABP, le Conseil départemental, envisage une réduction de 20 % de son aide, soit près de 200 000 euros en moins. Un manque à gagner qui condamnerait quatre équivalents temps plein. "Nous comptons 14 salariés, dont huit éducateurs de rue. Une telle coupe aurait un impact désastreux sur notre capacité à aider les jeunes", explique Patricia Soumail, directrice de l'association. L'année dernière, 440 jeunes et 144 parents ont bénéficié de cet accompagnement indispensable. "Chaque éducateur suit déjà une quarantaine de jeunes par an, nous sommes au maximum de nos capacités", alerte-t-elle. Au-delà des chiffres, c'est la philosophie même de la prévention spécialisée qui est remise en question. Olivier Bonnaud, du Comité national de liaison des acteurs de la prévention spécialisée, tire la sonnette d'alarme : "On assiste à une véritable hémorragie des financements. Pourtant, ces actions permettent d'éviter des placements d'enfants ou des incarcérations, qui coûtent bien plus cher qu'un salaire d'éducateur." Un constat partagé par Patricia Soumail : "Nous avons mis des années à construire des relations de confiance dans les quartiers. Si on arrête brutalement, cela se traduira par du repli, de la méfiance et des tensions accrues." Pourtant, l'efficacité de ce travail de terrain n'est plus à prouver. Depuis plus de vingt ans à Narbonne et depuis 2015 à Carcassonne, les éducateurs de rue d'ABP ont permis d'accompagner des centaines de jeunes en difficulté. "On leur ouvre des portes qu'on est en train de refermer. C'est un immense gâchis", regrette Patricia Soumail. Face à cette décision, l'association espère encore un sursaut des pouvoirs publics. Sans cela, la prévention spécialisée pourrait bien devenir une politique du passé. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci FISCALITÉ ET BUSINESS : CE QUE CHANGE LA LOI DE FINANCES 2025 Le Club Protéine Carcassonne s'apprête à accueillir ce vendredi 21 mars une rencontre décisive sur la "Loi de finances 2025 & Business". Dans le cadre prestigieux du Château Saint Martin, les chefs d'entreprise, experts comptables et décideurs locaux analyseront les mesures fiscales et économiques qui impacteront leur activité. Si cette loi est présentée par le gouvernement comme un levier de croissance, elle suscite aussi des interrogations et des craintes au sein du tissu économique régional. Parmi les points clés, la refonte des dispositifs d'aides aux entreprises, la réduction annoncée de certaines niches fiscales et le réajustement du crédit d'impôt recherche seront au cœur des discussions. Ces mesures visent à rééquilibrer les finances publiques tout en maintenant un cadre attractif pour l'investissement. Mais de nombreux entrepreneurs redoutent un effet ciseau : une fiscalité plus contraignante couplée à une conjoncture incertaine pourrait freiner leurs ambitions. "Nous avons besoin de visibilité et de stabilité. Chaque réforme fiscale ajoute une couche d'incertitude", confie un dirigeant d'entreprise du secteur industriel, présent à l'événement. Fort d'une expérience de plus de 18 ans dans la mise en relation d'affaires, le réseau Protéine compte plus d'une centaine de clubs d'affaires en France. Dans ce contexte, la création du Club Carcassonne vise à regrouper des entrepreneurs et entrepreneuses locaux, reconnus pour leur savoir-faire et leur expertise. Ce nouveau club ambitionne de favoriser les échanges, les recommandations et les rencontres professionnelles autour d'événements conviviaux, avec un processus structuré garantissant des retombées commerciales concrètes. Une présentation du concept, des outils et de la méthodologie sera proposée aux participants intéressés. Plus d'informations sur www.ca-proteine.fr. Au-delà des ajustements techniques, cette réforme fiscale soulève une question de fond : la France peut-elle concilier soutien à l'activité économique et maîtrise budgétaire sans fragiliser ses entreprises ? Alors que l'inflation pèse encore sur les coûts de production et que les marchés restent volatils, cette équation s'annonce complexe. La réunion du Club Protéine Carcassonne se veut un espace d'échanges pour évaluer les conséquences réelles de cette loi et explorer les stratégies d'adaptation possibles. Reste à voir si le gouvernement sera à l'écoute des propositions qui émergeront de ce dialogue .________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci L'AUDE FACE À SES DÉFIS ÉCONOMIQUES : ENTRE RÉSILIENCE ET INCERTITUDES La Chambre de commerce et d’industrie (CCI) ainsi que la Banque de France ont dressé hier le bilan économique 2024 du département de l’Aude, tout en esquissant les perspectives pour 2025. Si les chiffres montrent une dynamique encourageante, certains secteurs restent fragilisés par des incertitudes persistantes. "Nous avons une dynamique économique sur le département de l’Aude." Louis Madaule, président de la CCI, se veut rassurant malgré un contexte économique tendu. Selon lui, le nombre d’entreprises ne cesse d’augmenter : 27 000 en 2024 contre 20 000 en 2021. Toutefois, cette progression cache une réalité plus contrastée, puisque 80 % des sociétés comptent moins de 10 salariés, illustrant un tissu économique fragile. Parmi les secteurs en difficulté, le commerce reste sous pression. "Le moral des commerçants est au plus bas", concède Laurent Boissonade, vice-président de la CCI. Malgré un rebond d’activité lié aux fêtes de fin d’année, 46 % des commerçants estiment que la demande a été insuffisante en 2024, contre 37 % qui jugent l’année favorable. Pire, la rentabilité s’érode : 44,5 % des professionnels signalent une dégradation de leurs marges. Un phénomène accentué par l’augmentation des retards de paiement et des impayés, mettant en péril la trésorerie des entreprises. Le secteur industriel, quant à lui, affiche une timide reprise en fin d’année, mais l’avenir reste incertain. "L’instabilité politique et les tensions économiques rendent difficiles les décisions d’investissement", explique André Tiquet, vice-président de la CCI. Une tendance qui se traduit par une perte de confiance des acteurs industriels : seulement 40,8 % se disent optimistes quant à l’avenir de leur secteur. Dans le domaine du BTP, la situation reste morose, bien que quelques indicateurs soient encourageants. En 2024, 2 281 permis de construire ont été accordés, soit une hausse de 34 % par rapport à 2023. Néanmoins, cette embellie ne suffit pas à inverser la tendance sur l’emploi, avec une légère baisse du nombre de salariés dans le secteur, qui compte désormais 6 748 travailleurs. La stabilisation des coûts de construction reste un enjeu majeur pour 2025. Le secteur des services, lui aussi, peine à retrouver sa sérénité. L’incertitude économique et politique pèse sur le moral des prestataires, rendant difficile toute projection à moyen terme. Côté tourisme, la saison 2024 a été marquée par des fluctuations notables. "Le revenu par chambre disponible est en progression de 5 %, mais le mois de juillet a été décevant, impacté par les élections législatives", note Hadrien Pujol. En revanche, l’automne a été plus dynamique, notamment durant les vacances de la Toussaint, désormais perçues comme un pilier touristique de l’année. Pour 2025, la CCI mise sur plusieurs projets pour relancer l’attractivité du territoire. "Désenclaver l’Aude est une priorité. L’aéroport joue un rôle clé dans cette dynamique, et nous devons absolument obtenir une liaison Carcassonne-Paris", insiste Louis Madaule. Autre enjeu stratégique : la candidature des forteresses royales du Languedoc à l’Unesco, qui pourrait offrir un levier de développement touristique durable. Si le bilan économique de l’Aude montre une certaine résilience, les défis restent nombreux. La diversification de l’activité, la stabilisation des secteurs en crise et l’attractivité du territoire seront déterminants pour assurer une reprise durable. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci TVA À 25 000 € : LES AUTO-ENTREPRENEURS REFUSENT LA PRÉCARISATION Le 25 mars 2025, une vaste mobilisation s’organise dans plusieurs grandes villes de France. La Fédération Nationale des Auto-Entrepreneurs (FNAE), en collaboration avec le groupe Facebook "Manifestons tous ensemble - TVA auto-entrepreneurs, Indépendants et Libéraux", appelle les travailleurs indépendants à descendre dans la rue pour s’opposer à la baisse du seuil de franchise de TVA à 25 000 €. Une décision jugée injuste et dangereuse pour ces professionnels, déjà fragilisés par un contexte économique incertain. La contestation monte depuis l’annonce de cette mesure, qui pourrait remettre en cause le modèle économique de milliers d’auto-entrepreneurs. En abaissant le seuil de TVA, l’État imposerait à de nombreux travailleurs indépendants une pression fiscale supplémentaire, rendant leur activité moins compétitive face aux entreprises plus structurées. Pour les auto-entrepreneurs, qui opèrent souvent seuls et avec des marges restreintes, devoir facturer la TVA pourrait provoquer une perte de clients et menacer leur survie économique. "Seuls, nous ne pourrons rien changer, mais ensemble, nous pouvons faire entendre notre voix", clament les organisateurs du mouvement. La mobilisation s’annonce d’ampleur. Prévue entre 14h et 17h, elle se déploiera simultanément dans quinze villes françaises, de Paris à Marseille, en passant par Lyon, Lille et Bordeaux. Le choix d’une manifestation en semaine n’est pas anodin : il vise à capter l’attention des élus locaux et parlementaires, espérés nombreux dans les cortèges. "Nous voulons leur rappeler que derrière ces chiffres, il y a des milliers de vies impactées", explique un porte-parole de la FNAE. L’enjeu est clair : obtenir l’abrogation de cette mesure avant qu’elle n’entre en vigueur et ne fragilise davantage un secteur essentiel à l’économie française. Cette manifestation marquera-t-elle un tournant dans la lutte des auto-entrepreneurs pour leurs droits ? L’union de ces travailleurs dispersés sera-t-elle suffisante pour faire plier le gouvernement ? Si la mobilisation est massive, les responsables politiques ne pourront pas ignorer cet appel. Dans le cas contraire, c’est tout un modèle qui pourrait vaciller. L’heure est à la mobilisation, sous peine de voir une flexibilité précieuse se transformer en fardeau fiscal. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LE HBCC EN DÉLICATESSE : UNE DÉFAITE QUI INTERROGE Le HBCC espérait un exploit face à Montpellier, mais la confrontation a tourné court. Samedi 15 mars, dans la salle de Busnel, les Carcassonnaises ont subi la loi du Montpellier Université Club Handball, s'inclinant sur le score de 30 à 22. Une défaite qui révèle des lacunes persistantes et met en lumière les difficultés actuelles du groupe. Dès les premières minutes, les Montpelliéraines ont imposé leur rythme, s'appuyant sur une défense compacte et des attaques tranchantes. En face, le HBCC a peiné à poser son jeu, multipliant les pertes de balle et manquant de précision au tir. Le score à la pause (16-9) était sans appel et reflétait la domination des locales. Au retour des vestiaires, un sursaut d'orgueil a animé les joueuses de Carcassonne. Lisa Castolla (6 buts), Liliane Da Rocha et Livia Rémy (4 buts chacune) ont tenté de relancer la machine. L'équipe a affiché plus d'engagement, se montrant plus efficace dans les duels et plus rapide dans la transition offensive. Mais l'écart était trop important, et Montpellier a su gérer son avance jusqu'au coup de sifflet final. Un arbitrage rigoureux de Joris Digonnet a accompagné une rencontre disputée mais sans suspense. Ce revers soulève des interrogations sur la capacité du HBCC à réagir face à des équipes d'un niveau supérieur. L'effectif a du potentiel, mais des ajustements tactiques et mentaux s'imposent pour espérer un résultat positif lors des prochaines rencontres. La saison est encore longue, mais le temps presse. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci RENCONTRE DE VEILLE DU PRINTEMPS : MAGRIBOULÈGO FAIT VIBRER MAGRIE En cette fin d’hiver, Magrie a retrouvé sa chaleur humaine grâce à l’association Magriboulègo. Ce samedi 15 mars, dans la salle « L’escolo », une quarantaine d’adhérents se sont rassemblés pour un moment de partage et de convivialité. L’objectif ? Renforcer les liens entre membres à travers un événement festif et gourmand. L’apéritif, animé et joyeux, a donné le ton avant que les convives ne se régalent d’un repas « moules frites » préparé avec des produits locaux. « Nous avons choisi des moules de l’étang de Thau pour mettre en avant notre terroir », a expliqué Jean-Claude Azam, président de l’association. Un choix apprécié par tous, qui illustre l’attachement de Magriboulègo au « bien vivre » à Magrie. L’événement a également été marqué par des instants de légèreté et de rire, avec des blagues, des histoires drôles et des chansonnettes partagées par les participants, sous les applaudissements enthousiastes. Cette dynamique fraternelle, portée par une équipe de bénévoles soudés, fait de cette rencontre un rendez-vous incontournable pour les habitants du village. Et ce n’est qu’un début : la traditionnelle « Omelette » prévue à la mi-avril promet déjà de rassembler à nouveau les membres. En parallèle, Magriboulègo continue de tisser du lien social à travers des parties de belote hebdomadaires, chaque jeudi soir. Une initiative simple mais précieuse, qui renforce l’esprit communautaire et fait la fierté des habitants. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LE HBCC ORGANISE SON GRAND LOTO : UNE SOIRÉE DE CONVIVIALITÉ ET DE SUSPENSE Les amateurs de jeu et de frissons ont rendez-vous le vendredi 11 avril au foyer de Montredon. À partir de 20h, le Handball Club Carcassonnais (HBCC) organise son grand loto, une soirée placée sous le signe du partage et de la compétition amicale. Au programme, de nombreux lots attractifs, allant des jambons et volailles aux appareils électroménagers comme des friteuses à air et des machines à café. L’événement est attendu avec impatience par les habitués et les soutiens du club. Pour 10 euros, les participants pourront tenter leur chance avec trois cartons, espérant décrocher l’un des prix mis en jeu. La buvette sur place garantira une ambiance chaleureuse et conviviale. Plus qu’une simple soirée de jeu, ce loto est aussi une manière pour le HBCC de renforcer ses liens avec la communauté et de récolter des fonds essentiels au développement de ses activités. Le sport amateur repose en grande partie sur ce type d’initiatives. À l’heure où les financements publics peinent à couvrir tous les besoins, les clubs doivent redoubler d’ingéniosité pour assurer leur pérennité. Le succès de cette soirée sera donc crucial pour le HBCC, qui espère une mobilisation massive. Alors, qui aura la main heureuse ce vendredi 11 avril ? ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci CANCER COLORECTAL : LIMOUX APPELLE AU DÉPISTAGE AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD Avec plus de 17 000 morts par an, le cancer colorectal est le deuxième cancer le plus meurtrier en France selon la Ligue contre le cancer. Pourtant, un simple test de dépistage permettrait d’éviter des milliers de décès chaque année. Un paradoxe auquel la Ville de Limoux entend bien s’attaquer en organisant une journée de sensibilisation ce mercredi 19 mars, en partenariat avec la Ligue contre le cancer. "Le dépistage est simple, rapide, fiable et gratuit. Pourtant, deux tiers des personnes concernées, les plus de 50 ans, ne le font pas. Jusqu’à ce qu’il soit trop tard", alerte la Ligue. Dans 9 cas sur 10, ce cancer peut être guéri s’il est diagnostiqué à un stade précoce. Pourtant, en France, le taux de participation au dépistage reste désespérément bas, autour de 30 %. Face à ce constat alarmant, la commune de Limoux s’investit pleinement dans l’opération "Mars Bleu", mois dédié à la lutte contre le cancer colorectal. Au programme de cette journée : un concert de la chorale "Les Polissons" dès 18 heures, suivi d’une conférence aux Halles avec un invité de marque, le professeur Henri Roché. Cet éminent oncologue, qui a longtemps exercé à l’Oncopole de Toulouse, viendra partager son expertise sur les facteurs de risque, les avancées thérapeutiques et l’importance d’un dépistage précoce. Il sera accompagné du Dr Michel Grand, président de la Ligue contre le cancer, et du Dr Pierre Busque, gastro-entérologue. Si ces actions sont essentielles, elles posent aussi une question de fond : pourquoi une si faible mobilisation autour du dépistage, malgré les efforts répétés des autorités sanitaires ? La peur du diagnostic, le manque d’information ou encore l’absence de recommandation médicale sont autant de freins qui doivent être levés. Ce mercredi, Limoux espère faire bouger les lignes et convaincre ses habitants que, face au cancer colorectal, la meilleure arme reste la prévention. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci SOLIDARITÉ ET ENGAGEMENT : CES JEUNES CARCASSONNAIS QUI MÉRITENT LEUR PERMIS Depuis 2006, la Ville de Carcassonne mise sur un dispositif original pour aider ses jeunes habitants à financer leur permis de conduire : la Bourse au permis. En échange de 60 heures de bénévolat, les bénéficiaires voient tout ou partie de leur formation prise en charge. Cette année, seize lauréats ont été sélectionnés parmi 26 dossiers, témoignant d’un engagement fort et varié au service des autres. Le mercredi 12 mars dernier, ces jeunes volontaires ont été conviés en mairie pour présenter leurs projets. Parmi eux, Geneviève Sita Mokoko, étudiante de 19 ans, qui a choisi d’œuvrer auprès d’Agapé Cheval Médiation. "J’y suis allée un peu par hasard, mais ça me plaît beaucoup. Il s’agit d’amener des chevaux auprès de personnes malades, notamment en Ehpad ou en IME", explique-t-elle. Une expérience enrichissante qui lui permettra de gagner en autonomie grâce à l’obtention de son permis. D’autres ont fait le choix de la solidarité alimentaire. Samuel Antoine, 22 ans, étudiant, a décidé de s’investir auprès de la Banque alimentaire. "Je vais continuer au-delà des 60 heures requises et devenir membre actif", assure-t-il, illustrant une implication qui dépasse le cadre du dispositif. Un engagement salué par les adjoints au maire Marie-Aude Montussac et Yazid Laredj, membres de la commission d’attribution. Les initiatives portées par ces jeunes sont aussi diverses que précieuses. Khudr Kanbar, 17 ans, intervient au centre social Montsarrat pour aider des personnes en difficulté avec l’informatique. In Annabih, également âgée de 17 ans, consacre son temps aux Francas de l’Aude en accompagnant des collégiens dans leurs devoirs et en participant à l’accueil des enfants. Léo Malagouen-Sanchez, 19 ans, a quant à lui choisi les cadets de la gendarmerie, une première immersion dans le monde de la sécurité alors qu’il aspire à intégrer le GIGN ou le Psig. Ces parcours illustrent la pertinence d’un dispositif qui conjugue insertion sociale et citoyenneté. Au-delà de la simple obtention d’un permis, cette initiative permet à des jeunes de s’investir concrètement dans la vie locale tout en facilitant leur avenir professionnel. Mais ce modèle pourrait-il être renforcé, élargi, voire pérennisé à une échelle plus large ? Alors que l’accès à la mobilité reste un frein pour de nombreux jeunes, la question mérite d’être posée. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LA JOURNÉE NATIONALE DES AIDES À DOMICILE : UNE RECONNAISSANCE ENCORE TROP DISCRÈTE Pour concrétiser le virage domiciliaire et répondre au souhait majoritaire des Français de vivre chez eux le plus longtemps possible, les aides à domicile sont un maillon essentiel du quotidien des personnes les plus fragiles. Leur engagement lors des épisodes de canicule a encore démontré, si besoin était, leur rôle indispensable au sein de notre société. Un hommage national pour une profession essentielle Instaurée en 2023 par le ministère en charge des Solidarités, en concertation avec les fédérations du secteur, la Journée nationale des aides à domicile vise plusieurs objectifs : Mettre en lumière ces centaines de milliers de professionnels, majoritairement des femmes, qui accompagnent au quotidien les personnes âgées et en situation de handicap. Sensibiliser l’ensemble des Français aux réalités de la perte d’autonomie et du handicap. Rappeler à la société ce qu’elle doit à ces métiers du lien social, indispensables au maintien à domicile. Aujourd’hui, 570 000 aides à domicile permettent aux personnes en perte d’autonomie de rester chez elles dans les meilleures conditions. Leur profession est plébiscitée par une majorité de Français, puisque 80 % d’entre eux souhaitent des politiques publiques favorisant le maintien à domicile des personnes âgées. Une soirée de reconnaissance… sous contrôle À Limoux, la communauté de communes a organisé une soirée en l’honneur des aides à domicile sous le signe de l’art. Ateliers pratiques, caricatures de Laurent Malard, photomaton, tatouages éphémères et fresque participative : l’initiative semblait prometteuse. Toutefois, cet événement « privé » n’a pas fait l’objet d’une couverture médiatique libre. Les élus locaux, soucieux de préserver un certain contrôle sur la communication, ont refusé que la presse indépendante relaie l’information. Une attitude qui interroge sur la transparence et la valorisation réelle de ces professionnels de l’ombre, dont l’engagement mériterait une reconnaissance bien plus large et sincère. Néanmoins, sur le grand Limouxin, les élus ont la dent dure et n'ont pas souhaité que la presse indépendante puisse relayer l'information au micro de votre serviteur. Nous l'aurons compris, Durand, Andrieu et les autres veillent à leur butin.... électoral. .________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci SATIRE ET DÉRISION : LES FÉCOS RESSUSCITENT UN CLERGÉ POLÉMIQUE Le nombreux public rassemblé ce dimanche matin à l’angle de la rue Saint-Martin et des arcades a assisté à une scène pour le moins déroutante. Dans une ambiance festive et satirique propre au carnaval de Limoux, les célèbres fécos ont donné vie à une procession burlesque, où un ecclésiastique aux mœurs controversées a été ramené à la vie, sous les yeux ébahis des spectateurs. Au cœur du cortège, un cercueil d'où émerge, non sans maladresse, un abbé ressuscité après un long séjour dans sa sépulture. Entouré de prélats factices et de nonnes improvisées, l’homme d’Église fraîchement relevé s’est dirigé vers un nouveau temple de dévotion. Mais loin des prêches et des psaumes, c’est la découverte de jeunes fidèles aux tenues légères qui sembla redonner vigueur au défunt, provoquant rires et étonnement parmi les badauds. Cette mise en scène, à la fois irrévérencieuse et ancrée dans la tradition carnavalesque locale, n’a pas manqué de diviser. Certains y ont vu une critique acide des dérives du clergé, tandis que d’autres y ont simplement goûté l’humour piquant des fécos. Entre satire sociale et exorcisme festif, Limoux a une nouvelle fois prouvé que son carnaval demeure un espace de liberté où l’ironie et la subversion tiennent le haut du pavé. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci |
Information, sport, musique, divertissement... Au delà de la fabrication et la diffusion de programmes originaux, notre mission est de former les publics à la maitrise de la communication (à partir de 11 ans) et de les faire participer aux pratiques de l'audiovisuel, en leur donnant la possibilité de s'exprimer via nos trois supports : presse, radio et télévision.
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L’idée du projet C11.MEDIA est de toucher un large éventail de publics en offrant une grande variété de contenus, tout en mettant à profit le meilleur de la technologie en matière de diffusion audiovisuelle.
Pour cela, notre mission consiste à la mise en place d'une offre média "digitale" multi-support intégrant des outils de communication de proximité (presse, radio et télévision) et un puissant réseau communautaire. Mais au delà de l'aspect technique, il s'agit aussi de favoriser l'éveil des citoyens du département (Aude) par la création, la production et la diffusion de programmes audiovisuels originaux ; Donner la parole à celles et ceux qui ne l'on pas, permettant à chacun de s'exprimer sur les sujets de la vie courante ; Offrir un espace de libre expression rendant possible la prise de parole, l'argumentation, l'échange, le passage et la confrontation d'idées au travers une offre de programmes audiovisuels interactifs et contradictoires
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Mars 2025
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