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NICOLE MOUCHE AUX COMMANDES : RÉUNIS POUR L’AUDE CHANGE DE CAP ET PARLE FRANC C’est un tournant, mais aussi un acte de clarification politique. Nicole Mouche, fraîchement confirmée à la présidence de l’association Réunis pour l’Aude (RPA), a pris la parole au micro de C11.MEDIA après une Assemblée Générale Extraordinaire déterminante. Un moment de vérité où sa légitimité a été entérinée, mais aussi l'occasion d’exposer, sans ambigüité, la nouvelle direction qu’elle souhaite donner à RPA. Une orientation marquée par une rupture nette avec Reconquête, le parti d’Éric Zemmour, et un recentrage assumé vers les préoccupations concrètes des citoyens de l’Aude. Le ton était posé, la parole libre, la méthode sobre mais résolue. Cette réunion exceptionnelle, convoquée pour lever toute ambiguïté sur le leadership de l’association, a d’abord conforté Nicole Mouche dans son rôle. Soutenue par une majorité des adhérents, elle a profité de ce mandat réaffirmé pour tracer les lignes d’un projet refondé. "Trop de nos concitoyens se sentent oubliés, isolés des décisions, laissés à la marge de la vie démocratique", a-t-elle déclaré. Pour y répondre, elle entend remettre le terrain au cœur de l’action : réunions citoyennes, consultation directe, actions locales. Finie la posture militante abstraite. Place à la proximité. Et surtout, un rejet clair d’un positionnement jugé "trop dogmatique" de Reconquête, dont elle se détache désormais sans agressivité, mais avec fermeté. "Je veux construire, pas diviser", résume-t-elle. Pour cela, Nicole Mouche mise sur une équipe largement renouvelée, ouverte à la diversité des parcours et des sensibilités. La démarche pose question et appelle à réflexion. Faut-il rompre avec les logiques partisanes pour renouer avec l’écoute citoyenne ? L’Aude, département marqué par la désindustrialisation, les fractures sociales et la défiance envers les institutions, a-t-il besoin de voix indépendantes pour porter ses urgences ? Nicole Mouche semble en être convaincue. En choisissant de faire évoluer RPA vers une plateforme locale, non alignée mais déterminée, elle tente de redonner du souffle à un engagement politique souvent jugé illisible. Reste à savoir si cette stratégie de réancrage suffira à mobiliser les habitants et à convaincre au-delà du cercle militant. Une chose est certaine : RPA prend un nouveau départ. Et cette fois, c’est bien sur les chemins de l’Aude qu’il se trace. ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci CARNAGE NOCTURNE À CARCASSONNE : UN JEUNE SUSPECTÉ D’AVOIR SACCAGÉ DES DIZAINES DE VOITURES Le réveil a été brutal pour les habitants du quartier de Grazailles. Dans la nuit du 30 au 31 juillet, une vague de vandalisme a secoué ce secteur paisible de Carcassonne. Au petit matin, les trottoirs se sont transformés en scènes de désolation : vitres brisées, tableaux de bord éventrés, boîtes à gants fouillées, effets personnels jetés sur le bitume. Près d’une trentaine de véhicules auraient été ciblés. Des actes gratuits, sans vol apparent, qui soulèvent colère et incompréhension. Mais le plus inquiétant, c’est que l’auteur présumé est revenu sur les lieux… la nuit suivante. Il est environ 1h40, dans la nuit du jeudi 31 juillet au vendredi 1er août, lorsque des habitants aperçoivent un individu rôdant de nouveau dans le quartier. Cette fois, ils n’attendent pas les dégâts pour réagir. Un appel rapide à la police permet l’interpellation d’un jeune homme de 18 ans, originaire de Narbonne. Placé en garde à vue au commissariat de Carcassonne, il est soupçonné d’avoir vandalisé une dizaine de voitures. Un chiffre encore provisoire, tant l’ampleur des dégradations reste à évaluer. L’enquête, toujours en cours, s’appuie sur des témoignages et des vidéos issues de caméras de surveillance privées. Sur les lieux, les habitants dénoncent une spirale de violence : « J’en ai eu pour 2 000 € de peinture, et mon assurance refuse de prendre en charge. Ce n’est pas considéré comme du vandalisme puisque la voiture n’a pas bougé », s’indigne un riverain de l’impasse des Chênes. D’autres évoquent un climat d’insécurité latent et des actes qui se répètent trop souvent sans véritable réponse. Ce fait divers, en apparence isolé, dit pourtant beaucoup de la fragilité du lien social dans certains quartiers. Comment un jeune majeur en vient-il à saccager sans motif des dizaines de véhicules ? Pourquoi ces actes violents, sans mobile clair, se multiplient-ils dans l’indifférence générale ? La réponse dépasse le cadre judiciaire. Elle renvoie à une rupture plus profonde, entre une jeunesse en errance et un tissu urbain qui peine à jouer son rôle de cadre structurant. Si l’efficacité de la police est ici à souligner, elle ne suffit pas à éteindre la colère des habitants. Leur sentiment d’abandon persiste. À quand une véritable prévention, sur le terrain, avant que la sanction ne vienne, trop tard, colmater les brèches ? Car c’est bien là que se joue une partie de la confiance dans nos institutions. Et de la cohésion républicaine. ___________________________________________________________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci L’AUSTÉRITÉ IMPOSÉE AUX PLUS FAIBLES : L’AUDE SE MOBILISE CONTRE LES MESURES GOUVERNEMENTALES Au moment où près de 40 % des Français ne peuvent pas partir en vacances, certains d’entre eux reçoivent pourtant des rappels d’impôts, révélant une fracture sociale douloureuse. Dans ce contexte, les annonces budgétaires du Premier ministre François Bayrou font porter le poids de l’austérité sur les plus fragiles et sur les collectivités territoriales. Cette stratégie, validée sans contestation par l’extrême droite, suscite un vif mécontentement dans l’Aude. Le Parti communiste local a ainsi initié une démarche unitaire, rapidement soutenue par plusieurs forces de gauche, afin de lancer une pétition contre ces mesures perçues comme injustes. Pourtant, ce front commun ne rassemble pas toute la gauche, puisque La France insoumise a choisi de rester en dehors de cette initiative, soulignant les divisions au sein même de l’opposition. Les collectivités locales, déjà étranglées financièrement par la réduction des dotations de l’État, voient leur marge de manœuvre encore restreinte. Dans l’Aude, département marqué par une précarité sociale élevée, ces coupes budgétaires risquent de compromettre la qualité des services publics essentiels. Ce transfert de charge vers les territoires alimente un paradoxe inquiétant : demander plus aux élus locaux alors que leurs ressources diminuent. La pétition lancée vise à alerter les citoyens sur cette perte d’autonomie fiscale qui fragilise la démocratie locale. Ce combat, relayé par le PCF, les écologistes, les socialistes et les centristes du PRG, veut faire entendre la voix d’un territoire qui refuse d’être le bouc émissaire d’une politique nationale déconnectée des réalités. Cette mobilisation locale illustre une problématique nationale majeure : jusqu’où l’austérité peut-elle s’imposer sans remettre en cause l’équilibre social et territorial ? La baisse des financements publics, censée redresser les comptes, ne risque-t-elle pas au contraire d’accroître les inégalités et d’affaiblir les services indispensables ? Le silence, voire la complaisance, de certains acteurs politiques, notamment à l’extrême droite, pose aussi question sur la cohérence de leurs positions. L’Aude donne ainsi le coup d’envoi d’un débat nécessaire sur la répartition des efforts budgétaires, la démocratie locale et la justice sociale. Plus qu’une pétition, c’est un appel à repenser les mécanismes financiers entre l’État et ses territoires. ___________________________________________________________________ Jean Michel JUMEAU, William ESCORA, Alicia BREITMAN, Christopher GREEN, Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci MA FRANCE À MOI, C’EST CELLE QUI AIME ASSEMBLER AU LIEU DE DIVISER Ma France à moi n’est ni nostalgique ni repliée. Elle est debout, vivante, brûlante de liberté. Elle s’écrit depuis 1789, dans les cahiers de doléances et les cris des sans-culottes. Elle parle la langue des Lumières, celle de la justice et de l’égalité. C’est une France qui ne courbe pas l’échine, qui interroge avant de croire, qui lutte plutôt que de plier. Une France qui ne craint ni les mots ni les idées. Une France qui choisit d’aimer sans soumettre, de transmettre sans imposer. Cette France-là existe encore, mais il faut la nommer, la défendre, la faire résonner à nouveau. Car ce pays, notre pays, n’est pas né d’un consensus mou. Il est né dans le fracas d’un peuple qui se soulève. De femmes et d’hommes qui ont dit non à l’injustice. C’est la France de la Révolution, de la Commune, des Résistants. La France de Victor Hugo qui écrivait pour les misérables, de Jaurès qui croyait en la paix par la culture, de Jules Vallès qui défendait les oubliés. Cette France refuse tous les dogmes, les totalitarismes, les obscurantismes. Elle n’a jamais cédé à la facilité des extrêmes. Elle préfère le combat à la haine, la pensée à la peur. Elle vit dans les bibliothèques, dans les laboratoires, dans les ateliers, dans les salles de classe et jusque dans les cafés populaires. Ma France à moi, c’est aussi celle des mots tendres, des mots vrais, des mots de révolte. Celle de Molière et La Fontaine, qui dénonçaient l’hypocrisie. Celle de Montaigne, de Chateaubriand, d’Éluard, de Musset, de Baudelaire, de Césaire. Une France poétique, humaniste, cultivée, joyeuse. Une France qui aime la beauté du verbe autant que la rigueur de la science. Celle de Pasteur, des Curie, de Denis Papin, qui ont changé le monde sans bruit. Une France à la fois savante et populaire, qui n’oppose pas l’élite et le peuple, mais les unit dans un même désir d’émancipation. C’est aussi la France des artistes, des penseurs libres, des dessinateurs irrévérencieux. La France de Soulages et de Picasso, de Daumier, de Cabu, de Siné, de Charlie. Celle de l’accordéon et du jazz, des chansons douces et des refrains insolents. Celle des amoureux qui n’osent pas se déclarer. Une France qui danse, qui ose, qui invente. Qui peut se moquer de tout, même d’elle-même, parce qu’elle n’a rien à cacher. Et si cette France paraît parfois inaudible dans le vacarme ambiant, elle demeure essentielle. Elle tient bon face à la montée des radicalismes, à l’oubli, au cynisme. Elle rappelle que la République, ce n’est pas un drapeau brandi dans la colère, mais une promesse à tenir : celle de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. Ma France, c’est celle qui refuse la soumission aux idées toutes faites, aux communautarismes étroits, à la « bien-pensance » comme à la haine. Elle veut rassembler, pas diviser. Éclairer, pas aveugler. Elle sait que c’est dans l’unité des différences que naît la véritable force d’un peuple. À l’heure où certains rêvent de murs et de purges idéologiques, cette France appelle au sursaut. Elle refuse le fatalisme. Elle croit encore à la jeunesse, à l’école, à l’effort commun. Elle croit que chaque citoyen, qu’il soit croyant ou athée, conservateur ou progressiste, a sa place dans le débat républicain. À condition de respecter l’autre. À condition de vouloir construire ensemble. Car aimer la France, ce n’est pas l’enfermer dans le passé. C’est croire en sa capacité à se réinventer. Le Père Duchêne, figure révolutionnaire de 1793, écrivait en une de son journal : « La République ou la mort ». Il en coûtait un sou. Mais c’était un prix juste pour une idée immense. Aujourd’hui, il nous revient d’écrire la suite. De dire haut et fort quelle France nous voulons. Non pas une France de l’exclusion, mais une France de la transmission. Une France où l’on se sent libre d’aimer, de croire, de douter, de rêver. Une France qui, sans renier son histoire, choisit l’avenir. ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci SAVOIR FAIRE LE BIEN ET S’EN DÉTOURNER : UNE FAUTE SILENCIEUSE QUI NOUS REGARDE TOUS Et si le mal n’était pas toujours dans le crime, mais parfois dans l’inaction ? Dans ce que l’on ne fait pas, alors que l’on sait devoir le faire. Dans une société saturée de lois, de normes, de discours moralisateurs, une vérité biblique ancienne revient hanter l’époque : « Celui qui sait faire le bien et ne le fait pas, se rend coupable d’un péché. » (Jacques 4:17). Derrière cette phrase, il n’y a ni dogme ni prêche. Il y a une question de conscience. Et de responsabilité collective. Dans les rues, sur les réseaux, dans les urnes, un même constat : nous sommes de plus en plus informés, connectés, sensibilisés. Plus personne ne peut dire « je ne savais pas ». On sait ce que c’est que le dérèglement climatique, la précarité des jeunes, la souffrance des personnes âgées, les violences sexistes, la montée des exclusions. On sait. Et pourtant, on regarde ailleurs. Par fatigue ? Par peur ? Par intérêt ? Le mal moderne n’est pas toujours un coup porté : c’est un regard détourné, un silence prolongé, une indifférence déguisée en neutralité. Prenons des exemples simples. Dans les grandes villes, selon la Fondation Abbé Pierre, plus de 330 000 personnes vivent sans domicile fixe. La plupart des passants les croisent sans un mot. Savoir que l'on peut donner, aider, alerter, mais ne rien faire : c’est ce que Jacques 4:17 dénonce. Même hors religion, cela interroge. En entreprise, combien de témoins de harcèlement choisissent de se taire pour préserver leur poste ? Dans les institutions, combien de décideurs ferment les yeux sur des dérives éthiques par confort ou peur du scandale ? Au fond, le mal ne progresse pas toujours parce qu’il est fort. Il progresse souvent parce que le bien recule, faute de combattants. Ce principe moral a des résonances politiques. Face aux injustices, l’inaction devient une forme de complicité. Quand on sait qu’une réforme est injuste, qu’un discours est dangereux, qu’un comportement est raciste ou misogyne, et qu’on ne dit rien — est-on encore innocent ? Dans la République, le citoyen n’est pas un spectateur. Il est un acteur. S’il se retire du jeu, il laisse la scène aux cyniques, aux extrêmes, aux manipulateurs. L’abstention, l’apathie, le repli sont les carburants de l’effondrement démocratique. Alors que faire ? Il ne s’agit pas de demander à chacun d’être un héros, mais d’appeler à la cohérence. À l’engagement du quotidien. Aider un voisin isolé, signaler une injustice, refuser une petite lâcheté. Être fidèle à ce que l’on sait juste. Le courage ordinaire est la base de toute société civilisée. Car la morale n’est pas une affaire de religion : elle est une exigence de lucidité. Et aujourd’hui, dans un monde qui voit tout et entend tout, ne pas agir, c’est choisir. La phrase de l’épître de Jacques est plus qu’un rappel spirituel. C’est un principe de civilisation. Une alerte douce, mais ferme. Un miroir tendu. *Si tu sais faire le bien et que tu ne le fais pas*, alors tu laisses le mal faire, lui. Et cela, au fond, nous concerne tous. ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci À LAGRASSE, UN DÉPUTÉ RN DÉCLARE REMETTRE DE L’ORDRE DANS LA CULTURE Et si la culture devenait un champ de bataille politique ? Le 26 juin dernier, dans une publication aussi brève que fracassante, le député RN de l’Aude Frédéric Falcon annonçait sur ses réseaux sociaux son intention de supprimer le centre culturel Les Arts de lire, installé dans la partie publique de l’abbaye de Lagrasse. Une mesure qu’il promet de mettre en œuvre si son parti remporte les élections départementales de 2028. Un post aux allures de programme politique, qui a fait bondir les défenseurs du patrimoine culturel et ravivé une controverse plus large : celle du rapport entre culture, religion et politique dans l’espace public. Car derrière cette déclaration s’invitent deux visions irréconciliables. D’un côté, l’ambition revendiquée du Rassemblement National de « restaurer l’ordre », souvent interprétée comme une volonté de recentrer les politiques publiques sur une culture identitaire, voire confessionnelle. De l’autre, une tradition républicaine de gestion laïque du patrimoine, fondée sur la loi de 1905 et le pluralisme culturel. C’est cette ligne de fracture que Frédéric Falcon creuse, en accusant le Département de mener une "guerre" contre la communauté chrétienne des chanoines de Lagrasse, tout en s’en prenant directement aux activités culturelles laïques portées par Les Arts de lire.. Ce centre, ouvert au public, propose pourtant expositions, rencontres littéraires, concerts et médiations patrimoniales dans un esprit d’ouverture reconnu. Il est soutenu par le Département de l’Aude, propriétaire de la moitié publique de l’abbaye depuis 2004. Depuis, la cohabitation entre le clergé installé dans la partie privée et les activités laïques du Département n’a jamais été simple. Mais jamais non plus aussi politisée. En juin, le journal L’Indépendant consacrait plusieurs articles à la communauté religieuse, que Falcon lit comme un "acharnement anticlérical". C’est à cette occasion qu’il promet de "mettre un terme à la guerre" engagée selon lui par les institutions locales contre les religieux. Une rhétorique martiale, qui fait fi de la nuance, mais installe un marqueur fort dans le débat public. Le message est limpide : si le RN accède au pouvoir départemental, il changera la donne. Et dans ce changement, les structures culturelles jugées trop "progressistes" ou laïques pourraient être les premières visées. Hervé Baro, vice-président PS du Département, n’a pas tardé à répliquer, qualifiant ces déclarations d’"attaque idéologique contre un lieu de culture vivant et indépendant". Et de rappeler que les activités du centre respectent scrupuleusement les cadres légaux et n’empiètent en rien sur la liberté de culte. Le bras de fer entre les deux hommes est aussi celui de deux projets de société. L’un, défendu par Falcon, rêve d’un ancrage identitaire fort, d’un patrimoine réinvesti au service d’une "civilisation chrétienne" qu’il estime menacée. L’autre, plus républicain et pluraliste, défend une culture ouverte, inscrite dans une logique de service public et d’éducation populaire. Dans ce débat, une question émerge, lourde d’enjeux : une majorité politique peut-elle, demain, décider de fermer un centre culturel public pour des motifs idéologiques ? Ce que cette affaire dit, en creux, c’est l’état de fragilité des institutions culturelles face à une offensive politique qui instrumentalise les symboles, les lieux et les mémoires. La bataille de Lagrasse n’est peut-être qu’un avant-goût d’un affrontement plus large, où l’art, la foi et la parole publique se mêlent dans une lutte pour l’âme des territoires. ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci LE JOURNALISME N’EST PAS UNE FONCTION, C’EST UN COMBAT La plume ne devrait jamais se soumettre. Ni aux puissants ni aux modes. Elle n’a qu’un seul devoir : dire, interroger, déranger parfois. En affirmant que « le but du journalisme n’est ni de déplaire ni de complaire, c’est de remuer la plume dans la plaie », Patrick Poivre d’Arvor signait un manifeste plus actuel que jamais. À l’heure où chacun peut se prétendre journaliste d’un clic, où les repères vacillent et les vocations s’étiolent dans les méandres du numérique, il devient essentiel de redéfinir ce qu’est réellement ce métier. Un engagement, une quête de vérité, un droit fondamental. Ce n’est pas une posture, mais une responsabilité. Le Guide Pratique des Journalistes Indépendants s’inscrit dans cette ambition. Celle de transmettre un savoir, d’offrir une boussole à celles et ceux qui aspirent à informer autrement. Non comme un dogme, mais comme une méthode claire, directe, documentée. En 380 pages, ce livre déploie une vision exigeante, mais accessible du journalisme. D’abord, il raconte. Il fait comprendre l’histoire, les fondements, les mutations profondes de ce métier. Il insiste sur les contextes : la profession est multiple, ses terrains sont variés – presse écrite, radio, télé, web – et chacun nécessite rigueur, formation et déontologie. Vient ensuite le cœur du message : le journaliste indépendant n’est pas un journaliste de seconde zone. Il est souvent en première ligne, avec les mêmes obligations, parfois moins de moyens, mais une liberté précieuse. Encore faut-il qu’elle soit reconnue, protégée, structurée. Ce guide rappelle les droits, mais aussi les devoirs. Il aborde les statuts, les codes de conduite, les textes de loi, les dispositifs de soutien. Il parle aussi des nouveaux enjeux : la montée du journalisme citoyen, l’arrivée des auto-entrepreneurs dans le secteur, l’urgence de penser une nouvelle protection pour ceux qui travaillent hors des rédactions traditionnelles. Enfin, il ose une promesse : donner à chacun les moyens d’agir, sans éluder les difficultés. Loin des discours enjoliveurs, ce guide offre une méthode, des outils, des réponses concrètes. Il se présente comme un pont entre une vocation intime et un monde en mutation. À travers lui, se dessine un appel à la responsabilité collective : celle de bâtir une presse plus libre, plus inclusive, plus proche du réel. Il invite à croire, encore et toujours, à la nécessité d’un journalisme courageux, qui assume son rôle critique, pédagogique et social. Le journalisme est une pratique. Mais c’est aussi un acte. Une manière d’entrer dans la société, de la comprendre, de la transformer. Le micro, la caméra, le carnet : tous au service d’un même dessein. Dire ce qui est, même si cela dérange. Car le silence est complice, et l’information un droit. Ce guide n’est pas une conclusion, c’est un commencement. Celui d’un journalisme qui se réinvente sans se trahir. Plus d'infos sur le livre : fnjmi.fr/shop/view/E308B7B7 ___________________________________________________________________ William ESCORA,, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci CARCASSONNE : LA SÉRIE NOIRE DE GRAZAILLES RAVIVE LA COLÈRE DES RIVERAINS Dans le quartier de Grazailles, à Carcassonne, la colère gronde, et elle a l’amertume du verre brisé. Dans la nuit de mercredi à jeudi, près d’une dizaine de voitures ont été vandalisées dans un silence glacial, sous un ciel sans lumière. Vitres explosées, habitacles fouillés, effets personnels dérobés : au petit matin, les habitants ont découvert leurs véhicules éventrés, et avec eux, un sentiment de profonde insécurité. Rue des Chênes, impasse des Chênes, avenue Léon-Blum… les visages sont tendus, les voix fatiguées. Une fois de plus, disent-ils. Une fois de trop. Et tous pointent un même responsable : l’extinction de l’éclairage public, coupé entre minuit et six heures du matin. Ces actes de vandalisme ne sont ni isolés, ni nouveaux. Plusieurs habitants affirment avoir été ciblés à répétition ces derniers mois. Certains évoquent des rayures profondes sur la carrosserie, d'autres des vols récurrents dans les habitacles. "On m’a rayé la bagnole pour 2 000 € de peinture", raconte un riverain, encore amer. Pire : l’assurance a refusé d’indemniser, estimant que le véhicule n’avait pas été déplacé. Un vide juridique qui laisse les victimes seules face à leurs réparations. Les plaintes s’accumulent désormais au commissariat, mais sans effet visible. L’angoisse, elle, reste. Ce sentiment de vulnérabilité est accentué par l’obscurité qui s’abat chaque nuit sur le quartier. Si la mesure d’extinction de l’éclairage public avait initialement été justifiée par des impératifs d’économie d’énergie et de lutte contre la pollution lumineuse, elle est aujourd’hui perçue comme un abandon par les habitants. "Depuis qu’on coupe la lumière, les vols se multiplient", martèlent plusieurs d’entre eux. La nuit devient le terrain de chasse idéal pour les malfaiteurs. Invisibles, impunis. Au-delà des faits, cette série de dégradations interroge sur les limites des politiques d’austérité énergétique lorsqu’elles se heurtent à la réalité du terrain. À quoi sert de préserver le ciel nocturne si, au sol, les citoyens ne se sentent plus protégés ? Le dilemme est réel : faut-il rétablir l’éclairage dans les quartiers les plus exposés ? Faut-il adapter les horaires ou investir dans une surveillance accrue ? En creux, c’est la question du droit à la sécurité qui se pose. À Grazailles, il ne s’agit plus seulement de voitures vandalisées, mais d’une population qui se sent oubliée. Et si l’on continue d’éteindre la lumière, c’est la confiance qui, un jour, finira par s’éteindre elle aussi. ___________________________________________________________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci LA LUMIÈRE DU MONDE : UN MESSAGE ÉTERNEL QUI CONTINUE D’INTERROGER Dans un monde saturé de bruit, de vitesse, de doute, ces mots résonnent avec une simplicité saisissante : « La lumière du monde, c’est moi. Si quelqu’un me suit, il ne marchera pas dans la nuit, mais il aura la lumière qui donne la vie. » Cette parole de Jésus, rapportée dans l’évangile de Jean (8:12), continue de traverser les siècles sans perdre de sa puissance. Elle frappe par sa clarté, sa promesse, mais aussi par l’exigence silencieuse qu’elle impose. Que signifie aujourd’hui suivre cette lumière ? Est-elle encore audible dans une société fracturée, désorientée, souvent en quête de repères ? Il ne s’agit pas ici d’une simple formule. Dans le contexte du texte biblique, Jésus s’adresse à une foule troublée, en plein cœur du Temple de Jérusalem, à une époque de tension religieuse et politique. Il se pose en guide, en alternative au chaos et à l’obscurité. La « lumière » évoquée n’est pas un concept abstrait, mais une invitation à vivre autrement : avec justice, vérité, et un sens profond de l’espérance. Aujourd’hui, dans un monde où l’individualisme règne, où les écrans illuminent les visages sans toujours éclairer les consciences, cette promesse interroge. Elle vient rappeler que la foi – pour ceux qui la partagent – est d’abord un chemin, pas une possession. Une marche éclairée, mais jamais exempte d’efforts. La force de cette parole tient aussi à sa portée universelle. Croyant ou non, chacun peut y voir un appel à sortir de la nuit – celle de la solitude, de la peur, de la violence – pour entrer dans une dynamique de vie, de lumière intérieure. Mais cette promesse demande un choix : celui de suivre. De ne pas rester passif, de ne pas confondre clarté et confort. Dans un temps où les vérités sont multiples, où tout semble relatif, cette affirmation radicale détonne. Elle oblige à réfléchir sur ce qu’est, pour chacun, la vraie lumière. Est-ce une certitude religieuse, une quête éthique, un engagement concret au service des autres ? Ou simplement un rappel, dans l’intime, que marcher dans la nuit n’est jamais une fatalité ? ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci FÊTE EN RYTHME À MALVES : UN CONCERT, UNE SURPRISE ET TOUT UN VILLAGE EN FUSION Ce samedi 2 août 2025, Malves-en-Minervois vibrera bien au-delà de ses ruelles tranquilles. À l’occasion de sa fête locale, ce village de l’Aude, niché à quelques kilomètres de Carcassonne, accueillera un événement festif qui s’annonce aussi chaleureux que musical. En tête d’affiche : le groupe Chris and Co, connu pour ses shows dynamiques mêlant reprises de chansons des années 80 et ses compositions originales. Mais ce n’est pas tout. Une surprise exclusive annoncée par C11.MEDIA devrait faire basculer la fin de soirée dans une autre dimension : la présence de Lisa Cortes, et peut-être, selon nos informations, l’interprétation de son tout dernier titre « ENFER » – celui que certains appellent déjà « le tube de l’été ». Dès 18 h, les enfants ouvriront le bal avec des jeux en plein air, pendant que la buvette animera les premières conversations autour d’un verre. À 19h30, la mairie offrira un apéritif à tous les participants, un geste simple mais qui traduit l’esprit de convivialité locale. Puis, à 20h30, place au repas – sur réservation uniquement – avant le clou de la soirée : le concert de Chris and Co, à partir de 21 h. Un groupe déjà bien implanté dans le paysage régional, habitué des scènes de plein air, et qui sait embarquer toutes les générations avec un répertoire festif, dansant, souvent teinté de reprises revisitées. Mais l’annonce en coulisses, relayée avec discrétion par C11.MEDIA, pourrait bien créer la surprise de la soirée. Lisa Cortes, artiste montante de la scène pop francophone, serait présente à Malves. Sauf revirement de dernière minute, elle devrait interpréter en exclusivité son nouveau single. Une bonne nouvelle pour les organisateurs et un cadeau pour les fans. Si les pronostics se confirment, il s’agirait d’un titre calibré pour les radios, prêt à inonder les playlists de la rentrée. Une opération bien pensée, mêlant stratégie médiatique et ancrage local, où un petit village devient, le temps d’une soirée, le centre d’un événement culturel inattendu Au-delà de l’ambiance et des paillettes, cette fête pose une question simple et profonde : que reste-t-il aujourd’hui des fêtes de village ? Trop souvent désertées ou banalisées, elles perdent parfois leur sens premier. Mais à Malves, le pari est réussi : mixer la chaleur humaine, le partage intergénérationnel et une programmation audacieuse. En faisant venir Lisa Cortes tout en mettant en avant les talents locaux, la commune prouve qu’il est possible de marier tradition et modernité, sans trahir l’âme de la ruralité.
___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci 42 SILHOUETTES POUR RÉVEILLER LES CONSCIENCES : L’AUDE FACE AU FLÉAU DES MORTS SUR LA ROUTE Elles vont surgir, noires, figées, implacables, en bordure des routes de l’Aude. Quarante-deux silhouettes d’hommes, de femmes, parfois d’enfants. Quarante-deux symboles d’une réalité insoutenable : en 2024, quarante-deux vies ont été fauchées sur le réseau routier du département. Une par semaine. Pas des inconnus venus d’ailleurs, mais des Audois, souvent morts à quelques kilomètres de chez eux. Leurs ombres, plantées d’ici le 14 août le long des axes les plus meurtriers, sont un cri silencieux adressé à tous les automobilistes : le danger est là, chaque jour, à chaque virage. La préfecture, en lien avec le Département, a choisi de marquer les esprits. Après le déploiement de voitures-radars en mai, cette action se veut visuelle, émotionnelle, presque physique. « Ces silhouettes représentent les victimes, mais aussi les conséquences de comportements irresponsables », rappelle le préfet Christian Pouget. Car derrière le bilan humain se cachent des causes bien identifiées : vitesse excessive, inattention, alcool, stupéfiants… Rien de neuf, mais rien qui recule non plus. Pire encore, le début de l’année 2025 confirme la tendance : à la mi-juillet, 31 morts sont déjà à déplorer. À ce rythme, le seuil de 2024 pourrait être dépassé.
L’Aude paie un tribut disproportionné à l’insécurité routière. En 2024, avec 42 décès pour 380 000 habitants, son taux de mortalité routière atteint 0,011 %, soit plus du double de la moyenne nationale (0,005 %). Ce n’est pas qu’une statistique, c’est une alerte. Et l’une des idées reçues les plus tenaces est battue en brèche : ce ne sont pas les touristes de passage qui périssent le plus, mais bien les locaux. « Ce sont des gens d’ici, qui connaissent la route, qui l’empruntent tous les jours », insiste le préfet. Justement parce qu’ils la connaissent, ils s’y croient invincibles. À Villemoustaussou, commune traversée par la dangereuse RD 118, le maire Bruno Giacomel est en première ligne. Le 29 juillet, il était aux côtés des autorités pour présenter ce dispositif symbolique. La mort d’un motard sur sa commune, quelques semaines plus tôt, l’a bouleversé. Et poussé à agir. « Nous avons signé une convention avec le Département, mis en place des zones à 30 km/h, des indicateurs de vitesse, et renforcé les contrôles avec la police municipale et la gendarmerie », explique-t-il. Mais les comportements changent peu. « À chaque réunion publique, la plainte est la même : “devant chez moi, ça roule trop vite.” Malgré les radars, les aménagements, les morts… rien n’y fait », déplore-t-il. Alors, que faut-il de plus ? Des amendes plus lourdes ? Un permis à points encore plus strict ? Une éducation routière renouvelée dès l’école ? Les solutions existent, mais sans une prise de conscience collective, elles resteront des rustines sur une hémorragie. La multiplication des radars ne suffira pas à freiner l’arrogance au volant. C’est un choix individuel, chaque jour, de lever le pied, d’être sobre, d’être attentif. Et c’est un enjeu collectif d’accepter des mesures parfois impopulaires, mais vitales. ___________________________________________________________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, image d'illustration, https://actus.re/non-classe, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci MUNICIPALES 2026 : LES RÉPUBLICAINS DÉROUTENT À NARBONNE, CONFIRMENT À CARCASSONNE C’est un choix qui fait déjà parler. Pour les municipales de mars 2026, Les Républicains viennent de dévoiler leurs deux premières têtes d’affiche dans l’Aude. Sans surprise à Carcassonne : Isabelle Chesa, adjointe au maire et figure connue de la droite locale, a été officiellement investie. Mais à Narbonne, c’est une décision plus inattendue qui alimente les commentaires : le parti a confié le rôle de chef de file à Bernard Tondereau, lui aussi Carcassonnais. Un parachutage qui interroge autant qu’il intrigue. Isabelle Chesa, fidèle parmi les fidèles, incarne la continuité d’un courant local enraciné. Issue d’une famille politique solidement implantée, elle bénéficie d’un réseau dense et d’une bonne connaissance du terrain. Depuis plusieurs années, elle a su imposer un style discret mais déterminé au sein de la majorité municipale. Sa désignation confirme la volonté des Républicains de capitaliser sur un visage rassurant, ancré dans l’histoire de la ville. Mais si ce choix était largement anticipé, c’est la situation à Narbonne qui surprend. Pourquoi désigner un Carcassonnais pour porter la voix des Républicains dans une ville historiquement concurrente de Carcassonne, et à forte identité politique propre ? Bernard Tondereau, ancien directeur d’hôpital, engagé de longue date à droite, est reconnu pour ses qualités de gestionnaire. Mais son lien avec Narbonne reste ténu, voire inexistant pour une partie de l’électorat. Or, dans un contexte où la défiance envers les partis se nourrit du sentiment de dépossession locale, cette stratégie pourrait se retourner contre ses initiateurs. Les Républicains jouent gros dans l’Aude. À Carcassonne, la succession de Gérard Larrat reste une équation délicate, entre fidélité au bilan et nécessité de renouvellement. À Narbonne, la droite part de loin face à une majorité municipale solidement installée. La double désignation de Chesa et Tondereau révèle une tentative de structurer l’offre politique autour de profils jugés expérimentés, mais pas nécessairement connectés aux dynamiques citoyennes locales. Ce choix audacieux soulève une question de fond : peut-on encore faire campagne sans une implantation réelle dans la ville que l’on prétend diriger ? Ou bien le pari est-il que la compétence prime sur l’ancrage, au risque de fragiliser l’adhésion populaire ? L’électorat tranchera, mais une chose est sûre : les cartes sont loin d’être rebattues. ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci LA POLITIQUE N’EST PAS UN MATCH : REFUSER LE DUEL POUR RETROUVER L’UNITÉ Faut-il vraiment unir la droite pour sauver la France ? La question, posée avec insistance dans certains cercles politiques, semble aujourd’hui reposer sur une idée simpliste : celle que notre avenir commun pourrait dépendre d’un simple regroupement partisan. À droite toute, donc, pour contrer une gauche jugée divisée ou pour incarner une alternative forte. Mais ce raisonnement binaire, hérité d’un balancier politique usé, rate l’essentiel : la France n’est pas une somme de blocs électoraux, c’est un peuple uni dans sa diversité. Et si ce que nous avions besoin de retrouver, ce n’était pas l’union d’un camp, mais la réunion d’une nation ? L’Union des droites n’a jamais été autre chose qu’un calcul électoral. Certains y voient une stratégie de conquête : rassembler les conservateurs, les libéraux, les souverainistes autour d’un socle commun, quitte à taire les profondes divergences idéologiques. Or, cette alliance artificielle ne repose ni sur une vision partagée de la société, ni sur un projet cohérent pour le pays. Elle se contente d’être contre : contre l’immigration, contre l’État, contre l’Europe, contre la gauche. En témoignent les tentatives avortées d’alliances locales entre Les Républicains et le Rassemblement national, souvent plombées par des logiques d’appareil et des incompatibilités programmatiques. À l’arrivée : un électorat désorienté, un discours rabougri, et une France encore plus fracturée. Ce dont les Français ont besoin aujourd’hui, ce n’est pas d’une super-droite pour affronter une super-gauche. C’est d’un projet de rassemblement réellement républicain. Celui qui reconnaît que les clivages politiques ne peuvent plus, seuls, structurer le débat public dans une société bouleversée par la mondialisation, la transition écologique, le numérique et les inégalités. Dans les quartiers populaires comme dans les zones rurales, les attentes sont les mêmes : dignité, justice, sécurité, pouvoir d’achat, avenir pour les enfants. Ce socle commun ne peut émerger d’une addition de partis ou d’une stratégie de fusion des droites, mais d’un mouvement de fond, transversal, qui s’adresse à tous les citoyens, au-delà des étiquettes. Car unir la droite, c’est encore penser la politique comme un match, un duel, un vainqueur à désigner. Or, la démocratie n’est pas un ring. C’est une agora. Et dans cette agora, il faut des voix qui rassemblent, qui écoutent, qui proposent sans exclure. Une autre voie est donc non seulement possible, mais nécessaire. Celle d’un patriotisme humaniste, d’un engagement local enraciné, d’une politique du bien commun, qui refuse les ghettos électoraux et les réflexes pavloviens. La France est indivisible, répète notre Constitution. Encore faut-il le croire. ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci LES 4 FANTASTIQUES FONT LEUR RÉVOLUTION : UN MÉLANGE DE NOSTALGIE, DE CATASTROPHE ET D’HUMANITÉ Et si la fin du monde prenait des allures vintage ? Avec Les 4 Fantastiques : Premiers Pas, Matt Shakman signe un retour aussi inattendu qu’ambitieux de la plus atypique des familles de super-héros. Exit les blockbusters formatés : cette relecture rétro-futuriste des années 1960 ose l’audace esthétique, dramatique et émotionnelle. Car derrière les collants colorés, ce sont bien les failles humaines qui dominent. Quatre êtres liés par le destin, confrontés non seulement à l’Apocalypse cosmique, mais surtout à eux-mêmes. La menace est colossale : Galactus, dévoreur de mondes, approche, guidé par son serviteur argenté. La Terre est au bord de l’effacement, mais c’est au cœur de la cellule familiale que se joue le vrai combat. La réussite du film repose d’abord sur son ambiance singulière. Shakman ne se contente pas de piocher dans l’imaginaire des années 60, il en recrée l’essence. L’esthétique est léchée, saturée de couleurs pastel et de technologies d’un autre temps. Un pari risqué, mais assumé, qui permet d’ancrer les enjeux dans une époque où science et idéaux semblaient encore porter l’espoir d’un avenir meilleur. Reed Richards, scientifique visionnaire, peine à concilier génie et responsabilités. Sue Storm, figure féminine forte, lutte pour exister au-delà de son pouvoir d’invisibilité. Johnny, impulsif et flamboyant, incarne le feu adolescent, quand Ben Grimm, la Chose, porte sur ses épaules le poids d’une difformité douloureuse. À eux quatre, ils forment une famille dysfonctionnelle, tiraillée entre obligations morales et cicatrices intimes. Mais la force du récit tient aussi à son habileté à articuler le spectaculaire et l’intime. Galactus n’est pas qu’un effet spécial : il incarne la toute-puissance déshumanisée, cette logique de consommation insatiable qui pourrait évoquer, en creux, nos propres dérives écologiques et industrielles. Le Surfeur d’Argent, lui, est le reflet glaçant du sacrifice, du renoncement et de la servitude imposée par la peur. Et c’est là que le film prend une dimension presque politique. Que vaut l’unité familiale face à une catastrophe globale ? Que reste-t-il de nos valeurs quand tout s’effondre ? En intégrant un conflit personnel inattendu — dont nous tairons les ressorts pour ne rien divulgâcher —, Shakman vient injecter une tension dramatique supplémentaire. Ce n’est plus seulement la planète qui est menacée, mais aussi l’idée même de ce que nous appelons "chez nous". Les 4 Fantastiques : Premiers Pas se distingue des productions habituelles par sa capacité à conjuguer spectacle et introspection. Il ne s’agit pas ici d’un simple reboot, mais d’une tentative de refonder le mythe sur une base plus humaine, plus mature, presque mélancolique. Le film prend parti : celui de la complexité. Plutôt que de proposer des héros lisses et invincibles, il met en avant leurs contradictions, leurs limites, leur désespoir même. Et c’est précisément cette vulnérabilité qui les rend fascinants. Reste à savoir si le grand public, habitué aux recettes plus manichéennes de l’univers Marvel, sera prêt à embrasser cette proposition audacieuse. Car derrière les effets visuels, il y a une question centrale : peut-on encore croire en la solidarité familiale comme rempart contre l’effondrement du monde ? À découvrir cette semaine dans vos cinémas CGR de Carcassonne et Narbonne. 🎟️ Programme et horaires sur https://www.cgrcinemas.fr ___________________________________________________________________ Alicia BREITMAN, Journaliste indépendante pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci DÉPOSE SUR LE SEIGNEUR CE QUI PÈSE : L'APPEL INTÉRIEUR D'UNE SOCIÉTÉ EN MAL DE SOUTIEN Dans un monde qui chancelle sous le poids de l’angoisse, où les repères s’effritent et les relations se fragilisent, cette parole ancienne prend une résonance singulière : « Dépose sur le Seigneur ce qui pèse sur toi, il te fera tenir debout. » Extrait du Psaume 55, ce verset millénaire interpelle. À contre-courant d’une société obsédée par la performance individuelle, il propose un renversement. Et s’il fallait apprendre, non pas à porter seul, mais à déposer ? À déléguer, non pas par faiblesse, mais par confiance ? En filigrane, une promesse radicale : celle d’une stabilité intérieure garantie non par soi, mais par un Autre. Une idée puissante, presque subversive dans notre modernité fatiguée. Dans les faits, la santé mentale devient un enjeu de société majeur. Le dernier rapport de Santé publique France confirme une hausse inquiétante des états anxieux et dépressifs, notamment chez les jeunes adultes. Les demandes de soutien explosent, les psychologues sont débordés, les solutions tardent. Pourtant, face à ce mal diffus, nombreux sont ceux qui se tournent de nouveau vers la foi. Pas forcément une foi religieuse institutionnelle, mais une spiritualité intérieure, une quête de sens. Les groupes de prière en ligne, les podcasts de méditation chrétienne, les communautés locales engagées connaissent un regain. Le verset du Psaume 55 s’inscrit dans cette dynamique : il offre un espace de respiration, un souffle dans un quotidien saturé de stress. C’est un texte qui appelle à la dépossession volontaire, à la confiance active. Non pour fuir les réalités, mais pour les traverser autrement. Le message biblique ici n’est pas une incantation magique. Il est un choix de posture. Déposer, c’est reconnaître que tout ne dépend pas de soi. Se tenir debout, c’est accepter l’aide, refuser l’effondrement. Il y a, dans cette formulation, une sagesse millénaire qui invite à repenser nos manières de lutter. Qui porte aujourd’hui ces paroles ? Peu de responsables politiques ou économiques s’y risquent. Pourtant, la question mérite d’être posée : comment aider une population à tenir debout si elle ne sait plus où déposer ses fardeaux ? Le lien social, la foi partagée, le soutien communautaire sont-ils des solutions oubliées dans les réponses modernes au mal-être ? Ce verset est moins une morale qu’une direction. Il offre une boussole, à l’heure où beaucoup avancent à vue. ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci RECONNAISSANCE DE LA PALESTINE : LE REFUS DES RÉPUBLICAINS DANS UNE FRANCE EN QUÊTE D’ÉQUILIBRE Il y a des silences qui pèsent lourd, et des prises de position qui en disent long. Ce 25 juillet, dans un communiqué laconique mais sans équivoque, Les Républicains ont exprimé leur opposition à une reconnaissance immédiate de l’État palestinien. Une ligne de fermeté qui tranche dans un contexte international tendu, où les appels à la paix se multiplient mais où les conditions pour la construire semblent chaque jour plus fragiles. Derrière cette posture, une interrogation persiste : la France peut-elle encore jouer un rôle d’équilibre au Proche-Orient ou se contente-t-elle désormais d’une diplomatie de prudence ? Le message est clair : « Notre famille politique gaulliste a toujours été favorable à la reconnaissance d’un État palestinien », rappellent Les Républicains, avant d’ajouter immédiatement que « les conditions de cette reconnaissance ne sont pas réunies ». S’alignant sur les critères posés par Emmanuel Macron il y a trois mois, la droite française dresse une série d’exigences incontournables : libération des otages détenus par le Hamas, démilitarisation complète de Gaza, réforme profonde de l’Autorité palestinienne, reconnaissance d’Israël par les futurs dirigeants palestiniens, et construction d’une sécurité régionale partagée. Aucune de ces conditions ne serait, à ce jour, remplie. Cette position pose une double équation. D’une part, elle réaffirme le soutien inconditionnel à la sécurité d’Israël. D’autre part, elle entretient une forme d’immobilisme diplomatique, en conditionnant toute avancée à des exigences quasi impossibles dans le contexte actuel. Le refus de reconnaître l’État palestinien sans garanties peut être perçu comme une stratégie de lucidité géopolitique. Mais certains y voient aussi un alignement progressif sur les logiques sécuritaires israéliennes, en rupture avec la tradition française d’indépendance au Proche-Orient. Une tradition forgée par de Gaulle, poursuivie par Mitterrand, puis déclinée par Chirac, qui avaient su faire entendre une voix singulière, parfois dérangeante, toujours indépendante. Le paradoxe est là : vouloir la paix sans faire le premier pas. En refusant une reconnaissance politique au nom du réalisme, la droite française empêche peut-être aussi toute dynamique nouvelle. Car face au chaos, aux morts civils, à la fragmentation des territoires palestiniens, la reconnaissance d’un État, même symbolique, aurait pu envoyer un signal fort : celui d’un espoir encore possible, d’un avenir autre que le cycle sans fin des représailles. La position des Républicains souligne ainsi l’impasse actuelle de la diplomatie française : tiraillée entre fidélité aux principes et peur d’aggraver les tensions. En creux, une vérité dérangeante : la paix ne sera jamais le fruit de conditions parfaites. Elle naît du désordre, s’arrache aux fractures, se construit malgré les failles. Attendre que tous les acteurs soient rationnels, que les armes se taisent, que les ennemis deviennent des partenaires, c’est repousser indéfiniment la perspective de deux États vivant côte à côte. La question n’est donc plus de savoir si la France doit reconnaître un État palestinien, mais quand elle acceptera de le faire sans l’illusion d’un terrain diplomatique vierge de tout risque. ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Extrait WATV, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci NOUVEL ACCIDENT GRAVE SUR LA ROCADE DE CARCASSONNE : UNE URGENCE ABSOLUE ET DES QUESTIONS QUI DEMEURENT Une moto couchée sur le bitume, un corps allongé, des sirènes qui retentissent. Ce lundi 28 juillet, vers 16 heures, la rocade nord de Carcassonne a une nouvelle fois été le théâtre d’un accident grave. À hauteur du concessionnaire Toyota, non loin de l’hypermarché Leclerc, une collision violente entre une voiture et une moto a fait trois blessés, dont un en urgence absolue. Un choc brutal, qui relance une fois encore les inquiétudes sur la dangerosité de cet axe très emprunté. Les premiers éléments recueillis font état de deux passagers à bord de la voiture, dont une femme d’environ soixante ans touchée au bras. Sur la moto, un homme de 27 ans et une jeune femme de 20 ans. C’est l’un des deux motards qui a été le plus grièvement blessé, au point d’être transporté d’urgence vers l’hôpital de Carcassonne. L’intervention rapide des sapeurs-pompiers de l’Aude a permis une prise en charge efficace, évitant un bilan plus dramatique. Mais au-delà des secours, les causes précises de l’accident restent inconnues à cette heure. Une enquête a été ouverte pour déterminer les responsabilités et comprendre la mécanique du choc. Ce n’est pas un cas isolé. Depuis plusieurs mois, la rocade nord accumule les accidents. Trop de vitesse ? Manque de visibilité ? Trafic mal régulé aux abords des zones commerciales ? Le débat est ouvert. Les riverains évoquent une circulation dense, parfois anarchique, entre poids lourds, véhicules de passage et motards exposés. Or, malgré les alertes, les infrastructures évoluent peu. À quand une sécurisation renforcée de cet axe ? Des radars intelligents ? Un aménagement des carrefours à risques ? Le silence des autorités locales sur ces questions interroge. Car chaque accident rappelle que l’attente peut coûter cher. Et que derrière les faits divers, il y a des vies brisées, des familles inquiètes et une communauté sous tension. ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci LIMOUX : QUAND LA PROPRETÉ DEVIENT UNE GUERRE DE COMMUNICATION À Limoux, la saleté des rues ne fait pas que salir les trottoirs. Elle s'invite au cœur du débat politique, à moins d’un an des municipales. Ce qui aurait pu être un simple constat partagé — l’entretien de la ville laisse à désirer — se transforme en joute médiatique, où élus en place, prétendants à la mairie et presse locale se renvoient les ordures… par tribunes interposées. L’attaque frontale est venue de Maxime Bot, figure montante de l’opposition locale et candidat déclaré aux prochaines élections. Sur ses réseaux sociaux, il publie des clichés de dépôts sauvages, de caniveaux obstrués, de trottoirs abandonnés. Le commentaire est cinglant : « Vous êtes nombreux à m’envoyer ce type de photo, qui dégrade l’image de notre ville et plus encore celle de notre centre-ville. » Mais loin d'accabler les agents municipaux, il les défend : « Je tiens d’abord à saluer le travail remarquable de nos agents communaux, souvent accompli dans des conditions difficiles, avec un matériel obsolète. » Et propose des mesures : création d’un service d’enlèvement des encombrants et sanctions renforcées contre les incivilités. Un ton ferme, une critique ciblée, un programme esquissé. Face à cette mise en cause, La Dépêche du Midi a choisi… l’ironie. Sous la plume de son chroniqueur Patogas, la réponse est cinglante, presque moqueuse. Le papier relativise les critiques, évoque les plaintes caricaturales de citoyens peu exemplaires, dénonce les râleurs qui polluent autant qu’ils dénoncent. Surtout, il tente de réhabiliter l’action municipale au nom de la « biodiversité », rappelant que depuis 2014, les communes n’ont plus le droit d’utiliser de produits phytosanitaires. Et que certaines zones laissées à l’abandon sont en réalité volontairement sauvées de la tondeuse pour préserver insectes et écosystèmes. Une défense habile, mais teintée d’un mépris à peine voilé pour ceux qui osent se plaindre. Une forme de connivence entre journalistes et pouvoir local, qui pose question. Car ce que soulève cette affaire dépasse largement la question de quelques herbes folles ou de chiens mal éduqués. Ce qui se joue ici, c’est la légitimité du débat public local. Quand une partie de la presse quotidienne régionale se positionne comme bouclier du pouvoir en place, elle outrepasse son rôle. Et lorsque ces médias vivent pour une large part de la publicité institutionnelle — financée, rappelons-le, par l’argent public — peut-on encore parler d’indépendance ? Peut-on raisonnablement attendre d’eux qu’ils relaient sans filtre les critiques, les alertes ou les contre-propositions de ceux qui n'ont pas les clés de la mairie ? Le fond du problème est là : une démocratie locale affaiblie par une presse de connivence, par un pouvoir municipal qui se replie sur lui-même, et par une population à qui l’on demande de se taire ou de « ramasser derrière elle » avant de parler. Or, la critique de la saleté n’est pas une lubie : c’est le symptôme visible d’un rapport dégradé à l’espace public. Et donc au bien commun. Ce n’est ni mesquin ni populiste que d’exiger des trottoirs propres, des accotements entretenus, des espaces verts gérés avec équilibre. C’est une attente légitime, et une base minimale de respect entre la collectivité et les citoyens. Limoux mérite mieux que des règlements de compte feutrés et des tribunes pleines de sous-entendus. Elle mérite un vrai débat sur ce qui fait la qualité de vie, la beauté des lieux, le respect de l’autre. À défaut, les détritus continueront d’alimenter le terreau… d’un possible changement. ___________________________________________________________________ Jean Michel JUMEAU, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci UNE CHAÎNE 100 % LOCALE, 100 % GRATUITE : C11.MEDIA ENTRE EN SCÈNE C’est un tournant décisif pour le paysage audiovisuel local. Après des mois de préparation, C11.MEDIA passe à la vitesse supérieure et annonce le lancement officiel de ses premiers programmes télévisés. Une plateforme gratuite, accessible à tous, centrée sur l’Aude et ses habitants, avec une ambition claire : devenir un média de proximité incontournable. L’information prend forme, l’écran s’illumine, et c’est tout un territoire qui s’invite dans les foyers. Mais que faut-il attendre concrètement de cette nouvelle offre ? Et surtout, que raconte cette initiative sur l’avenir des médias locaux ? À l’adresse tv.c11.media, les premiers programmes s’apprêtent à être diffusés. Le ton est donné : actualité du territoire, vie quotidienne, initiatives citoyennes, sport régional, documentaires engagés et formats de divertissement. C’est tout l’univers audois qui se donne rendez-vous à l’écran, porté par une équipe rédactionnelle ancrée dans le réel. À l’heure où la défiance envers les grands médias nationaux grandit, C11.MEDIA joue la carte de la proximité, de l’humain, du concret. Loin des studios parisiens, les reportages s’écrivent sur les marchés de Limoux, dans les tribunes d’un stade de Carcassonne, ou au cœur des villages oubliés de la Haute-Vallée. Ce projet, né d’une volonté citoyenne, veut aussi redonner du sens à l’information locale. Gratuit, sans abonnement, accessible depuis n’importe quel écran – smartphone, tablette, ordinateur – il repose sur un principe fort : l’accès universel à un média utile. Dans un contexte où les chaînes d’information sont souvent saturées de débats anxiogènes ou de sujets hors-sol, C11.MEDIA revendique une autre manière de raconter l’actualité : plus lente, plus enracinée, plus engagée dans le tissu local. Ce choix n’est pas anodin. Il répond à une soif de reconnaissance du territoire, à un besoin de narration collective, à une attente d’outils concrets pour comprendre ce qui se joue, ici et maintenant. Mais au-delà de la technique et du contenu, c’est une question essentielle qui se pose : peut-on bâtir un média de qualité sans moyens industriels, en partant du terrain, avec et pour les habitants ? C11.MEDIA répond par l’expérimentation, la transparence et la mobilisation. Le pari est audacieux, mais profondément moderne. Il mise sur la confiance, l’interactivité, et la capacité à fédérer une communauté autour d’une vision partagée de l'information. Le lancement de la grille TV n’est qu’un début. L’objectif est clair : construire, étape après étape, un espace médiatique libre, proche, et crédible. Dans un monde saturé d’écrans, proposer un média qui éclaire sans assommer, qui raconte sans travestir, qui relie sans isoler, relève presque de la résistance. C11.MEDIA s’inscrit dans ce mouvement, et invite chaque habitant de l’Aude à s’en saisir. La promesse est là, concrète : une télévision du réel, à hauteur d’hommes, qui donne à voir autrement. Reste à savoir si les citoyens répondront présents. Mais une chose est sûre : le média local est vivant, et il parle désormais en images. ___________________________________________________________________ Alicia BREITMAN, Journaliste indépendante pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci DANS L’AUDE, LES DÉPUTÉS RN JOUENT À CACHE-CACHE AVEC LA COMMUNICATION Le Rassemblement national a triomphé dans l’Aude aux élections législatives de juin 2023. Trois députés – Christophe Barthès, Julien Rancoule et Frédéric Falcon – occupent désormais les bancs de l’Assemblée nationale pour le département. Une victoire historique, qui confirme la montée en puissance du RN dans les territoires ruraux. Mais à peine un an plus tard, une série de signaux faibles interpellent. À commencer par la manière dont certains élus gèrent leur image publique. Exemple saisissant : le 25 juillet dernier, Christophe Barthès publie un post sur les réseaux sociaux qui sème le trouble plus qu’il ne rassure. « Fin de session parlementaire ne veut pas dire vacances. Je continue comme aujourd’hui à vous recevoir à ma permanence parlementaire et à participer à un grand nombre d’événements en circonscription », écrit le député de la 1ʳᵉ circonscription de l’Aude. Le propos est banal. Ce qui ne l’est pas, c’est la photo qui l’accompagne : on y voit l’élu s’adresser à une citoyenne… dont le visage est volontairement flouté. Pourquoi flouter une image censée valoriser un moment d’écoute ? Qui souhaite se rendre invisible en présence d’un représentant du peuple ? Et surtout, que nous dit ce choix d’image – assumé ou maladroit – de la stratégie (ou de son absence) du député Barthès ? L’impression générale est celle d’une com’ artisanale, confuse, parfois contre-productive. Ce n’est pas la première fois que l’élu carcassonnais flirte avec une communication hasardeuse. Mais ici, l’erreur prend un tour symbolique. Elle suggère que même ses propres interlocuteurs préfèrent garder l’anonymat. À ce niveau de responsabilité, c’est un signal d’alarme. Faut-il y voir un manque de maîtrise ou, au contraire, une stratégie par l’absurde ? Certains observateurs s’interrogent. Et si Christophe Barthès, déjà pressenti pour briguer une mairie, cherchait au fond à se saborder lui-même ? Trop d’exposition, pas assez de substance ? L’hypothèse paraît folle, mais elle circule. Car dans les faits, une candidature municipale implique un travail de terrain intense, un lien quotidien avec les administrés, des arbitrages locaux complexes. Rien à voir avec les rouages du Palais Bourbon. Et surtout, bien moins rémunérateur. Alors, le député se met-il volontairement en difficulté pour renoncer sans le dire ? Ou s’enferre-t-il, par maladresse et isolement, dans une spirale où chaque publication affaiblit un peu plus son image ? À titre de comparaison, son collègue Julien Rancoule, député de la 3ᵉ circonscription, a publié une déclaration quasi identique à la même période : « Durant la suspension estivale des travaux à l'Assemblée, je continue de vous recevoir à ma permanence. » Là, la photo est claire, nette, sans ambiguïté. On y voit l’élu en pleine discussion avec un citoyen, visage visible, posture franche. Deux communications, deux styles, deux visions de la politique de proximité. L’une rassure. L’autre interroge. Ce flou – au propre comme au figuré – pose une question essentielle : que veut dire représenter, quand on n’assume plus l’image de ceux qu’on reçoit ? La fonction de député suppose une transparence minimale, une rigueur dans la manière de se présenter aux citoyens. La communication n’est pas un gadget : elle façonne la confiance, ou la ruine. Dans une période où les discours d’extrême droite surfent sur l’authenticité, l’ancrage local et la rupture avec les « élites », ces faux pas sont d’autant plus graves. Ils révèlent une fragilité, voire une forme d’amateurisme politique. La victoire électorale ne suffit pas à faire un élu crédible. Encore faut-il incarner son mandat. Et ne pas donner l’impression que les citoyens, eux, préfèrent rester flous. ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci DROGUE EN PLEIN JOUR À LIMOUX : QUAND L’IMPUNITÉ DEVIENT LA NORME Sous les fenêtres de la mairie de Limoux, à quelques mètres à peine du bureau du maire, le trafic de drogue s’organise en toute tranquillité. Cannabis, cocaïne, ecstasy : les échanges sont constants, visibles, presque banals. Les scènes se répètent jour et nuit, sans gêne, sans crainte, comme si la loi avait déserté le cœur de la commune. Une réalité que beaucoup d’habitants dénoncent, à voix basse ou sur les réseaux sociaux, comme un symptôme d’un malaise plus profond : celui d’un abandon des autorités face à une criminalité installée. Des riverains parlent d’un « deal permanent », face à une mairie qui ne réagit plus. Des mots lourds de colère circulent : « Cette mafia, de dealers pollue le territoire depuis trop longtemps, vivement la relève ». Des paroles tranchantes, d’apparence partisanes, relayées sans filtre par le député local lui-même, élu de droite, sur les réseaux. Signées, assumées, partagées en lettres capitales. Dès lors, difficile de parler d’une simple « hallucination journalistique ». Le constat est là, partagé par des élus, des habitants, des commerçants excédés. Et l’omerta ne tient plus. Car ce n’est pas uniquement la présence de la drogue qui interpelle : c’est son affichage impuni, sa banalisation. Comment expliquer que des points de deal fonctionnent à ciel ouvert, devant les institutions républicaines, sans intervention visible ni réponse structurée ? À Limoux, la situation n’est pas unique. Dans plusieurs communes moyennes, le trafic s’est déplacé des quartiers périphériques vers les centres-villes, précisément là où la visibilité devrait dissuader. Mais l’inverse se produit : la centralité devient couverture. « Ils savent qu’on ne les inquiétera pas ici », lâche un commerçant de la place de la République. La police municipale est peu nombreuse. La nationale, débordée. Et l’exécutif local reste muet. Silence embarrassé ? Stratégie d’évitement ? Ou impuissance réelle ? Rien n’est dit, et c’est peut-être là le plus inquiétant. Car en face, les réseaux criminels, eux, s’adaptent, investissent, s’installent. L’enjeu dépasse largement Limoux. Il interroge sur le rôle des élus, la capacité de l’État à tenir ses engagements sécuritaires, et la confiance du citoyen dans la République. Quand l’inaction devient visible, elle devient complice. Et quand les responsables politiques, de droite comme de gauche, se renvoient la faute au lieu d’agir, le sentiment d’abandon ne fait que croître. La colère alors s’organise, se cristallise dans les urnes, ou parfois dans les extrêmes. À l’approche des municipales, les discours se tendent. Les mots deviennent tranchants. Mais au-delà des postures, une réalité s’impose : laisser le trafic de drogue prospérer au pied des mairies, c’est enterrer le principe même d’autorité publique. Et les citoyens ne l’acceptent plus. ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Image d'illustration, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci RECONNAISSEZ LE SEIGNEUR : ET S’IL ÉTAIT TEMPS DE REPENSER NOTRE RAPPORT AU SACRÉ ? Dans une époque où l’hyperconnexion dicte les priorités, la parole biblique résonne comme un appel oublié : « Reconnaissez que le SEIGNEUR votre Dieu est le seul vrai Dieu. Il garde fidèlement son alliance pour mille générations avec ceux qui ont de l’amour pour lui et qui obéissent à ses commandements. » (Deutéronome 7:9). Un verset ancien, mais une interpellation brûlante d’actualité. Qui, aujourd’hui, ose encore parler de fidélité, d’obéissance, d’alliance spirituelle dans une société où tout semble se négocier, se relativiser, se consommer ? Le propos n’est pas de prêcher, mais d’interroger. Car ce que ce verset met en lumière, c’est moins un dogme religieux qu’une rupture de sens collective. Dans les faits, la foi semble reculer dans les esprits. En France, selon une étude IFOP de 2023, seulement 27 % des jeunes de moins de 25 ans se déclarent croyants, contre 55 % en 1981. L’effondrement est net. Mais ce désengagement ne va pas de pair avec un apaisement moral ou une cohérence nouvelle. Il y a, au contraire, une quête de repères, une fatigue morale, un désir de transcendance qui se manifeste ailleurs : dans les pratiques de développement personnel, les retraites spirituelles ou encore la fascination pour les sagesses anciennes. Ce que la religion instituée a peut-être perdu, la spiritualité informelle tente de le reconquérir. Mais à quel prix ? Et surtout, sur quelles bases ? Le texte du Deutéronome repose sur un pacte : celui d’un Dieu qui s’engage sur la durée — « mille générations » — à condition d’un amour fidèle, d’une obéissance sincère. Non pas d’une soumission aveugle, mais d’un attachement vivant. Ce langage peut paraître dur, exigeant. Il l’est. Mais il propose aussi une stabilité rare à notre époque. Là où tout devient incertain, provisoire, conditionnel, il affirme une promesse. Cette promesse, certains la trouvent dans la foi. D’autres la rejettent au nom de la liberté individuelle. Entre les deux, une question demeure : peut-on vraiment bâtir une société juste sans socle commun de valeurs transcendantes ? Sans une idée, même lointaine, de ce qui nous dépasse ? Reconnaître Dieu n’est peut-être pas une invitation à croire au sens strict, mais à poser la question du lien. Quel est notre lien au monde, aux autres, à une vérité plus grande que nous ? Dans un climat social tendu, dans un monde où la parole est souvent trahie, cette fidélité évoquée par le texte biblique devient presque révolutionnaire. Elle interroge sur ce à quoi, ou à qui, nous tenons encore.___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci TADEJ POGACAR, LE TOUR DES LÉGENDES : QUAND LA FORCE TRANSCENDE LA FATIGUE Un maillot jaune sur les épaules et la voix tremblante d’émotion : Tadej Pogacar a signé un nouveau chapitre dans l’histoire du cyclisme. Le Slovène, à seulement 26 ans, vient de remporter sa quatrième victoire sur le Tour de France. Une performance rare, hors du temps, portée par une constance effarante et une capacité à dominer même dans la douleur. Dimanche, il est monté une fois encore sur le podium des Champs-Élysées, la sixième fois d'affilée, confirmant un règne presque sans partage. Mais derrière la performance brute, c’est un homme lucide, presque épuisé, qui s’est confié à l’arrivée : « Aujourd’hui, je me suis retrouvé à l’avant alors que je n’avais même pas l’énergie de me motiver. » Cette phrase, prononcée après trois semaines de lutte acharnée, en dit long sur l’intensité de ce Tour 2025. Pogacar a traversé cette édition comme un funambule, entre éclairs de génie, gestion millimétrée et endurance mentale. L’étape du Mûr-de-Bretagne, à peine cinq jours après le départ, a marqué un tournant : « J’ai senti que j’avais de bonnes jambes pour jouer la victoire. » Dès lors, le Slovène et son équipe UAE Emirates ont verrouillé la course avec une précision clinique. Mais cette maîtrise n’a jamais enlevé le panache. Il y a eu des attaques, des prises de risque, et surtout une rivalité à couper le souffle avec Jonas Vingegaard, double vainqueur sortant et toujours aussi redoutable. « On se pousse mutuellement à un niveau supérieur », dit Pogacar, évoquant avec respect ce duel devenu mythique. À travers cette lutte, c’est tout le visage du cyclisme moderne qui s’est dessiné : une course de nerfs, de watts, mais aussi d’humanité. La neutralisation des temps dans une étape piégeuse – pour cause de météo instable – a permis aux coureurs de souffler, de se retrouver, et au public de saisir une vérité : ces hommes sont à la limite, chaque jour. Pogacar lui-même l’avoue, il avait besoin de relâche : « Après ça, la course était plus détendue. » Mais il fallait encore avoir « de bonnes jambes » pour rester dans le coup. Et il les a eues, jusqu’au bout. Il s’est même permis de féliciter son adversaire du jour, Wout van Aert, pour sa puissance et son panache. Une attitude rare dans un sport souvent muet face à la douleur. En remportant ce Tour, Pogacar ne gagne pas seulement une épreuve. Il marque une époque. Loin d’un champion froid ou calculateur, il s’impose comme une figure humaine, accessible, capable de livrer ses doutes autant que ses exploits. Sa force est mentale autant que physique, sa sincérité désarmante. La victoire n’efface pas l’usure : elle en est la conséquence. Pogacar veut maintenant retrouver le calme, loin du tumulte : « Je veux un peu de paix, du beau temps, et quelques jours tranquilles à la maison. » Après trois semaines à tutoyer les cimes, cette demande sonne comme un cri simple, presque banal. Mais elle dit tout de la grandeur de l’exploit. Ce Tour 2025 aura donc été celui des contrastes : violence de l’effort, tendresse des gestes, science de la course, et humanité des vainqueurs. Pogacar ne survole plus le peloton : il l’incarne. Son quatrième sacre interroge : jusqu’où peut-il aller ? Peut-on dominer sans se perdre ? Et surtout, quelle place laissons-nous à ces champions qui, derrière les podiums, aspirent à rester des hommes ? ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci APRÈS L’INCENDIE, UN VILLAGE SOLIDAIRE POUR UNE MÈRE ET SES ENFANTS Un drame silencieux, une nuit de feu, puis l’élan du cœur. Le 24 juillet à Magrie, en plein centre du village, un violent incendie a réduit en cendres une maison de la rue de la Paix. À l’intérieur, Corinne Chamoud, mère de cinq enfants, vivait avec les siens dans cette habitation aujourd’hui inhabitable. Par miracle, aucun blessé. Mais tout le reste a disparu : vêtements, meubles, souvenirs, papiers essentiels. Une vie consumée en quelques minutes. Depuis, une course contre la montre s’est engagée : retrouver un toit, reconstruire une stabilité, et ne pas sombrer. Face à cette détresse, le village tout entier s’est mobilisé. Et pose une question brûlante : que reste-t-il, concrètement, de la solidarité locale ? Les pompiers sont intervenus rapidement, mais le feu n’a laissé aucune chance. Corinne, absente au moment du sinistre, a retrouvé son logement ravagé. Séparée de plusieurs de ses enfants, elle en élève trois au quotidien, dont deux inscrits au collège Delteil. C’est pour eux qu’elle lutte aujourd’hui, lançant un appel à l’aide aussi digne qu’urgent : "Je cherche une maison avec trois chambres, jusqu’à 750 euros de loyer, dans le secteur de Limoux." Elle ne demande ni charité, ni compassion, mais une solution. Les réseaux sociaux, rapidement activés, ont vu surgir propositions, dons, partages. Des habits pour les enfants, des meubles, un abri temporaire. La chaîne humaine s’est mise en marche. Elle fonctionne, mais elle est fragile.
Ce drame met en lumière un paradoxe criant : les dispositifs de relogement d’urgence manquent de réactivité, et ce sont les habitants eux-mêmes qui deviennent les garants de la survie des leurs. Dans les petites communes, tout repose encore trop souvent sur l’entraide informelle. Cela fonctionne, oui, mais jusqu’à quand ? À force de déléguer la gestion des urgences aux solidarités spontanées, l’État se dérobe. Ici, une famille entière se retrouve dépendante de la générosité des autres. Et si, demain, c’était la vôtre ? L’histoire de Corinne n’est pas une exception, c’est un symptôme. Un avertissement aussi. Celui d’un territoire qui sait se tendre la main, mais qui mérite d’être soutenu davantage, de manière structurelle. Car les sinistres, eux, n’attendent pas. Pour soutenir Corinne : Mairie de mairie au 04 68 31 61 38 ___________________________________________________________________ BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci L’AUDE SE RÉVEILLE : RPA VEUT FAIRE BOUGER LES LIGNES DE LA DÉMOCRATIE LOCALE Et si la reconquête démocratique débutait loin des projecteurs parisiens, dans les terres de l’Aude ? Le 13 juin dernier, à Montlegun, un événement discret mais décisif a marqué une inflexion dans la vie politique locale : l’Association Réunis pour l’Aude (RPA) s’est dotée d’une nouvelle présidente, Nicole Mouche, et d’une feuille de route ambitieuse. Loin des partis traditionnels et de leurs logiques d’appareil, ce mouvement citoyen entend redonner la parole à ceux qu’on n’entend plus, dans un département qui cumule défis sociaux, désertification politique et désenchantement électoral. Fondée en juillet 2022 par Axel Roulliaux, RPA s’était jusque-là distinguée par un activisme de proximité, sans bruit mais non sans constance. Depuis son officialisation à l’automne 2022, le collectif milite pour une refondation civique ancrée dans des valeurs assumées : mérite, responsabilité, autorité et fidélité à la nation. Autrement dit, une troisième voie entre le renoncement fataliste et les discours radicaux. Leur promesse ? Une démocratie enracinée, pragmatique, débarrassée des effets de manche. Et aujourd’hui, avec Nicole Mouche à sa tête, le ton se fait plus ferme, plus structuré : « Le temps des bâtisseurs est arrivé », proclame-t-elle. Une phrase qui sonne comme un appel à la mobilisation générale. Dans une période marquée par l’abstention record et la fragmentation du débat public, RPA veut incarner une réponse concrète, locale, presque artisanale de la politique. Pas d’idéologie, pas d’étiquette, mais une stratégie de maillage fin du territoire : un canton après l’autre, une commune après l’autre. Objectif : être là où les grandes formations désertent. Là où les doléances s’accumulent sans relais. Le pari est audacieux, presque contre-courant dans une époque centralisée. Mais il repose sur une conviction simple : les citoyens de l’Aude n’attendent pas des promesses, ils veulent des actes. L’annonce d’« Universités d’automne » dès cette rentrée, avec à la clé cinq engagements clairs, en atteste. RPA veut s’installer comme un laboratoire de participation citoyenne à visage humain, sans renier l’exigence d’ordre et de clarté. Il reste évidemment des inconnues. RPA saura-t-elle dépasser l’effet d’annonce pour transformer l’essai ? Comment préserver son indépendance tout en pesant réellement dans les scrutins à venir ? Peut-elle fédérer au-delà des convaincus, dans une Aude traversée par la colère, l’isolement et la méfiance ? À ces questions, RPA oppose une méthode : partir du réel, parler simple, agir local. C’est peut-être là que réside sa force. Car dans un paysage saturé de slogans creux et de stratégies d’image, RPA propose une autre posture : celle du courage tranquille. Une tentative de réappropriation démocratique par le bas, avec un cap clair : « L’essentiel, c’est la France. L’essentiel, c’est l’Aude. L’essentiel, c’est vous ». ___________________________________________________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱 Téléchargez notre application : https://monappsradio.com/c11.media 📌 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 🎬 Vous regardez notre chaine TV sur : https://tv.c11.media 🎤 Vous écoutez la radio sur : https://radio.c11.media ✍️ Pour lire les infos retrouvez-nous sur https://www.lefilactu.fr/ #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #occitanie #vousdonnelaparole ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de LIKER cet article et le partager… Merci |
Information, sport, musique, divertissement... Au delà de la fabrication et la diffusion de programmes originaux, notre mission est de former les publics à la maitrise de la communication (à partir de 11 ans) et de les faire participer aux pratiques de l'audiovisuel, en leur donnant la possibilité de s'exprimer via nos trois supports : presse, radio et télévision.
Dans l'Aude, c'est le média qui vous donne la parole !
L’idée du projet C11.MEDIA est de toucher un large éventail de publics en offrant une grande variété de contenus, tout en mettant à profit le meilleur de la technologie en matière de diffusion audiovisuelle. Pour cela, notre mission consiste à la mise en place d'une offre média "digitale" multi-support intégrant des outils de communication de proximité (presse, radio et télévision) et un puissant réseau communautaire. L’association C11.MEDIA est reconnue d’intérêt général. Les dons sont déductibles à 66% dans la limite de 20% du revenu imposable, l’excédent est reportable sur les 5 années suivantes (Art 200 et 238 bis du CGI).
Offrir un espace de libre expression rendant possible la prise de parole, l'argumentation, l'échange, le passage et la confrontation d'idées au travers une offre de programmes audiovisuels interactifs et contradictoires
Mais au delà de l'aspect technique, il s'agit aussi de favoriser l'éveil des citoyens du département (Aude) par la création, la production et la diffusion de programmes audiovisuels originaux ; Donner la parole à celles et ceux qui ne l'on pas, permettant à chacun de s'exprimer sur les sujets de la vie courante ; Archives
Novembre 2025
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