À Limoux, capitale du carnaval, la fête cache une réalité bien plus sombre. Après des élections législatives tendues, où Philippe Andrieu, maire socialiste de Cépie, a refusé une interview avec C11.MEDIA, la vidéo de son refus a déclenché une vague de calomnies contre deux journalistes indépendants. Ces attaques, orchestrées par des "Daubeurs" anonymes et motivées par des intérêts politiques, ont transformé l'esprit festif en un terrain de haine et de diffamation. Cependant, la justice se prépare à intervenir, et les responsables de ces actes malveillants devront bientôt rendre des comptes.

ÉQUIZONE : UN HAVRE DE PAIX POUR LES PASSIONNÉS D’ÉQUITATION

À quelques kilomètres de notre cher département de l'Aude, nichée au cœur de la magnifique région ariégeoise, se trouve La Bastide de Sérou, un véritable écrin de nature dédié aux amoureux des chevaux. C’est dans ce cadre enchanteur que Sandra Gadal Ciano, instructrice diplômée de l’école de Légèreté, a réalisé son rêve en créant une école équestre où cavaliers et chevaux peuvent évoluer en harmonie.

La Bastide de Sérou n’est pas qu’un simple centre équestre, c’est un lieu où chaque détail a été pensé pour offrir une expérience unique, tant aux chevaux qu’aux cavaliers. Avec ses vastes espaces verts, ses chemins de randonnée, et ses installations modernes, ce site est un paradis pour ceux qui cherchent à se reconnecter avec la nature tout en pratiquant leur passion. Que ce soit pour une remise à niveau, une préparation sportive ou une initiation aux sports équestres, chacun peut y trouver son bonheur.

Une École de Légèreté pour un Travail en Douceur

L’école de Sandra Gadal Ciano se distingue par sa philosophie axée sur la bienveillance et la douceur. Formée à l’école de Légèreté, Sandra met un point d’honneur à respecter le bien-être de ses chevaux tout en inculquant à ses élèves une équitation respectueuse et harmonieuse. "Ici, l’objectif est de créer une véritable connexion entre le cavalier et son cheval, basée sur la confiance et la compréhension mutuelle", confie-t-elle au micro de C11.MEDIA.

Que vous soyez débutant ou cavalier expérimenté, l’école équestre de Sandra offre une multitude d’activités adaptées à tous les niveaux. Les randonnées à cheval permettent de découvrir la beauté des paysages environnants tout en profitant d’un moment de détente en pleine nature. Pour les plus sportifs, des séances de préparation physique sont proposées afin de développer endurance et technique. Et pour ceux qui souhaitent s’initier aux joies de l’équitation, des cours de base sont dispensés dans un cadre sécurisé et bienveillant.

ÉQUIZONE, c’est le nom de l’école, est bien plus qu’un centre équestre, c’est un lieu où règne une atmosphère de sérénité et de bienveillance. Les cavaliers y viennent non seulement pour apprendre, mais aussi pour se ressourcer. "Nous avons voulu créer un espace où chacun se sente à l’aise, où le respect de l’animal et du cavalier est au cœur de notre démarche", explique Sandra.

Témoignage de Sandra Gadal Ciano

Lors de son interview avec notre journaliste, Sandra a partagé sa vision de l’équitation et son engagement envers ses élèves et ses chevaux. "Je crois profondément que l’équitation peut être un moyen d’épanouissement personnel, autant pour le cavalier que pour le cheval. C’est un travail d’équipe qui demande patience, écoute et respect", souligne-t-elle avec passion.

ÉQUIZONE, à La Bastide de Sérou est un lieu d’exception où l’amour du cheval et la passion de l’équitation se conjuguent pour offrir une expérience inoubliable. Que vous soyez à la recherche d’un lieu pour vous perfectionner ou simplement pour profiter d’une belle balade à cheval, vous y trouverez une équipe dévouée et un cadre enchanteur qui sauront répondre à vos attentes.



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Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA
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Rennes-le-Château : Le Festival du Film Insolite d'Août en Pleine Tempête

Le Festival du Film Insolite de Rennes-le-Château, autrefois un joyau de la saison estivale dans le Limouxin, traverse aujourd'hui une crise de légitimité. Ce rendez-vous cinématographique, qui se tient depuis plus de dix ans sur le rocher du Couizanais, semble en effet perdre peu à peu son attrait auprès du public. Et pourtant, l'idée de départ avait tout pour séduire : une sélection de films insolites projetés en plein air, soumis à l'évaluation d'un jury de professionnels, et le tout dans un cadre enchanteur. Mais la magie n'opère plus.

Malgré une programmation qui se veut originale, le festival peine à attirer les foules. "Je n'ai jamais rien compris au concept de film insolite. Certes, certains sont inaccoutumés, mais pas plus que ce qu'on trouve dans les salles tout au long de l'année. Un film est par définition unique !" confie un ancien spectateur désabusé. Une ancienne bénévole du festival renchérit : "Très peu de films présentés ici ont une grande carrière. Ce n'est pas un tremplin, en tout cas !"

Alors pourquoi persister dans une formule qui ne semble plus convaincre ? La réponse semble se trouver du côté des politiques et des organisateurs, qui, eux, continuent de tirer leur épingle du jeu. Le festival est en effet devenu un point de rencontre incontournable pour la mafia socialiste locale, avec une poignée d'élus qui s'y pressent chaque année pour l'ouverture. Pierre Durand, maire de Limoux et président de la communauté de communes, Philippe Andrieu, conseiller régional, et Anthony Chanaud, conseiller départemental, sont des figures récurrentes de cet événement, et c'est bien normal puisqu'ils sont les principaux financeurs de ce festival. Néanmoins, une question se pose : quels avantages en tirent les principaux adhérents tout au long de l'année ?

Ces personnalités, loin de se mêler à la foule, profitent des avantages d'une organisation financée à grands renforts d'argent public. Les frais de restauration sont largement couverts pour les organisateurs, tandis que les invités de marque, souvent parisiens, jouissent d'un service quatre étoiles pendant près d'une semaine, le tout aux frais du contribuable. Le spectacle devient parfois grotesque, comme en témoigne un photographe amateur : "Certains membres étaient tellement éméchés à la remise des prix que les trophées leur ont échappé des mains, tombant lamentablement au sol. Les discours étaient quasi inaudibles !"

Face à ces dérives, les co-présidents du festival ont pris des mesures draconiennes pour préserver l'image de l'événement : la presse locale, jugée trop critique, est désormais persona non grata, remplacée par des médias plus complaisants. C11.MEDIA, par exemple, a voulu demander son accréditation pour couvrir l'événement à l'occasion de ce 10ème anniversaire et a reçu une réponse négative de la présidente, via son attaché de presse. La raison invoquée ? "Les politiciens de gauche ne verraient pas d'un bon œil votre présence au regard de votre participation aux dernières élections législatives. Philippe Andrieu et Pierre Durand ne nous le pardonneraient pas."

Cependant, lors d'une confession inhabituelle, la présidente admet : "Nous ne souhaitons pas vexer les élus de la majorité qui nous votent les subventions, même si nous avons conscience d'être des acteurs passifs d'un régime totalitaire. Ils nous font pression. J'en suis peu fière, mais c'est comme ça !" Une déclaration qui jette une lumière crue sur les coulisses de l'événement et sur les tensions qui le traversent.

Les retombées économiques, quant à elles, sont minimes. Seuls quelques établissements locaux bénéficient de la redistribution des subventions, tandis que l'impact global du festival sur le territoire reste négligeable. Au milieu de ces manœuvres politiques, il ne faut pas oublier le rôle des bénévoles, qui, malgré tout, continuent de s'investir avec dévouement. "Une pensée toutefois amicale pour le très bel engagement des bénévoles qui mangent eux à la cantine et qui se trouvent une fois de plus pris en otage dans des enjeux qui les dépassent."

Alors que le festival semble s'enliser dans des pratiques peu glorieuses, une seule question reste en suspens : quel sera l'avenir de cette manifestation ?

À suivre... et dans l'attente, Vive la République !

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Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA
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À LIMOUX, UN DÉFI POUR LA PROPRETÉ URBAINE : LA GESTION DES DÉJECTIONS CANINES

À Limoux, charmante ville de l’Aude, le problème des déjections canines devient de plus en plus préoccupant. Avec environ 30 % des habitants possédant un chien, les déjections abandonnées sur les trottoirs, dans les parcs et près des commerces posent un véritable défi pour la municipalité et ses citoyens. Au-delà de la simple nuisance visuelle et olfactive, ces déjections représentent un enjeu sanitaire majeur, notamment pour les enfants, et contribuent à dégrader l’image pittoresque de la ville.

Bien que la législation française soit claire sur l’interdiction d’abandonner les déjections canines sur la voie publique, son application reste complexe. À Limoux, comme ailleurs, infliger des amendes pour ce type d’infraction nécessite une surveillance constante, un luxe que peu de communes peuvent se permettre. Consciente de cette difficulté, la municipalité a mis en place plusieurs initiatives pour encourager les propriétaires de chiens à adopter un comportement civique. Des panneaux d’interdiction et des distributeurs de sacs à crottes ont été installés dans des zones stratégiques, comme les parcs et les chemins fréquentés.

Cependant, ces mesures ne suffisent pas à résoudre complètement le problème. Pour aller plus loin, Limoux envisage d’adopter des solutions innovantes, telles que l’installation de « vespachiens » et de « canisites ». Ces infrastructures dédiées aux besoins canins permettraient de mieux gérer les déjections en ville tout en maintenant la propreté des espaces publics. Mais ces équipements nécessitent un entretien régulier et représentent un investissement non négligeable pour la commune.

En parallèle de ces initiatives, la prévention et l’éducation des propriétaires de chiens sont essentielles. Des campagnes d’information pourraient être lancées pour rappeler les obligations légales et encourager les comportements responsables. La distribution de kits de ramassage dans les mairies, comprenant des pinces et des sacs, pourrait aussi être envisagée.

La propreté de Limoux dépend en grande partie du civisme des habitants. Les propriétaires de chiens doivent prendre conscience que ramasser les déjections de leur animal est non seulement une obligation légale, mais aussi un acte de respect envers leur communauté. Avec une coopération active entre la municipalité et les citoyens, Limoux peut devenir un modèle en matière de gestion des déjections canines, contribuant à un cadre de vie plus sain et agréable pour tous.


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Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA
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SYLVIE DE FRANCE : UNE AVENTURIÈRE EN ESCALE À CARCASSONNE APRÈS SON PÉRIPLE À LA RÉUNION

Carcassonne, le 08/08/2024 - Après avoir parcouru les paysages époustouflants de l'île de La Réunion, Sylvie de France, l’aventurière bien connue pour ses exploits autour du globe, a fait une halte remarquée dans notre cité médiévale de Carcassonne. C’est au micro de notre correspondant local, pour le compte de C11.MEDIA, que cette exploratrice passionnée a accepté de livrer ses impressions, ses découvertes et ses projets à venir.

UN RETOUR CHARGÉ D'ÉMOTIONS

Sylvie de France revient tout juste d’un voyage intense sur l’île de La Réunion, où elle a passé plusieurs semaines à explorer les merveilles naturelles de cette perle de l’océan Indien. Entre les randonnées sur le Piton de la Fournaise, l’un des volcans les plus actifs du monde, et les immersions dans les forêts tropicales luxuriantes, Sylvie a vécu des expériences uniques qu’elle partage avec une passion communicative.

« La Réunion, c’est bien plus qu’une destination. C’est un véritable voyage sensoriel où chaque paysage raconte une histoire, où la culture se mélange harmonieusement avec la nature », confie-t-elle avec enthousiasme.

UNE ESCALE À CARCASSONNE, VILLE DE COEUR

Pourquoi avoir choisi Carcassonne pour cette escale en métropole ? Pour Sylvie, la réponse est simple : « Carcassonne est une ville qui m’a toujours fascinée. Elle possède une énergie particulière, entre ses remparts chargés d’histoire et l’accueil chaleureux de ses habitants. »
L’aventurière évoque aussi son attachement à l’Occitanie, une région qu’elle connaît bien et qu’elle aime redécouvrir à chaque passage. « J’ai grandi non loin d’ici, et revenir à Carcassonne, c’est un peu comme revenir à la maison. C’est un lieu où je peux me ressourcer avant de repartir pour de nouvelles aventures. »

Avant de reprendre la route, Sylvie a tenu à remercier les Carcassonnais pour leur accueil. « C’est toujours un plaisir de revenir ici. Cette ville a une âme, et je suis reconnaissante de pouvoir m’y poser, ne serait-ce que pour un moment. »

Sylvie de France reprend bientôt son périple, mais son passage à Carcassonne restera gravé dans les mémoires. Une escale inspirante qui rappelle que l’aventure n’est pas seulement une question de destination, mais aussi de rencontres et de partages.

C11.MEDIA continuera à suivre les exploits de cette aventurière hors du commun, et nous espérons la retrouver très bientôt pour de nouvelles confidences.


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Carcassonne : Laurent Malard, 25 ans de caricatures au cœur de la cité

Cet été, Laurent Malard, dessinateur portraitiste et caricaturiste emblématique de Carcassonne, fête ses 25 ans de présence au sein de la cité médiévale. Installé près du château Comtal, son stand est devenu un passage obligé pour les visiteurs en quête d’un souvenir unique et plein d’humour. Depuis un quart de siècle, Malard immortalise les visages des touristes et locaux à travers des caricatures, alliant finesse du trait et dérision subtile.

Cette semaine, la chaîne d’informations locales C11 .MEDIA est allée à la rencontre de l’artiste pour revenir sur son parcours. Pour Malard, cette longévité est avant tout le fruit de sa passion pour son métier et de son amour pour la cité. En 25 ans, il a su s’adapter aux évolutions tout en préservant l’essence même de son art. Si ses débuts se faisaient à l'encre et au crayon, il a progressivement intégré de nouvelles techniques, tout en conservant la même attention au détail et à l'humour.

Loin de se cantonner à un simple stand de caricatures, Laurent Malard incarne l'âme artistique de la cité de Carcassonne. En 25 ans, il a contribué à renforcer l’attractivité de ce site historique, tout en créant des liens humains avec ses modèles. Ce quart de siècle de carrière est à la fois un hommage à la cité médiévale et à l’art du dessin comme vecteur de convivialité et de partage.

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