CARCASSONNE CÉLÈBRE YENNAYER 2975 : LES TRADITIONS KABYLES À L'HONNEUR Le 11 janvier 2025, Carcassonne s'apprête à vivre une journée exceptionnelle. La cité médiévale ouvrira ses portes aux traditions kabyles pour célébrer Yennayer 2975, le Nouvel An berbère. Un événement orchestré par l'Association des Kabyles de l'Aude (AKA), qui promet une immersion culturelle unique au cœur de la riche histoire amazighe. Yennayer, qui marque le premier jour du calendrier berbère, est une célébration ancestrale imprégnée de symboles. Ce calendrier, basé sur les cycles agraires, reflète une harmonie profonde avec la nature. À Carcassonne, cette journée sera une vitrine de la culture kabyle. "Nous avons préparé un programme riche et diversifié pour faire découvrir nos traditions aux habitants de l'Aude", explique Nadira. Des ateliers de cuisine présenteront les saveurs authentiques du couscous et des gâteaux au miel, tandis que des expositions mettront en lumière l'artisanat traditionnel, notamment les bijoux berbères et les tapis faits main. En parallèle, des conférences aborderont l'histoire et la langue amazighes, offrant une approche pédagogique de cette culture millénaire. La présence du Président Djamel Chachoua, figure emblématique de la communauté kabyle, sera un temps fort de la journée. Dans un discours attendu avec impatience, il mettra en avant l'importance de cette célébration pour la transmission des traditions et le renforcement des liens communautaires. "Yennayer est bien plus qu'une fête, c'est une occasion de rassembler et de partager", déclare-t-il. Mais Yennayer n'est pas qu'une question de traditions. La célébration à Carcassonne porte également un message universel : celui de la transmission et du dialogue entre les cultures. "Notre objectif est de créer des ponts entre les communautés, de montrer que la diversité est une richesse", insiste Nadira. Ce point culminera lors d'un concert festif en soirée, rassemblant des musiciens kabyles et locaux. Les chants et danses, animés par des groupes renommés, rappelleront que la culture kabyle est vivante et qu'elle continue de s’épanouir loin de ses terres d'origine. En réunissant tradition et modernité, cet événement interroge sur la manière dont les cultures s'intègrent et se réinventent dans un contexte globalisé. Carcassonne, en accueillant Yennayer 2975, devient le théâtre d'une rencontre inédite entre histoire et présent. Une opportunité pour chacun de découvrir une autre facette de l'identité culturelle française et de réfléchir au rôle de la transmission dans un monde en perpétuel mouvement. Rendez-vous le 11 janvier pour un voyage au cœur de l'âme berbère. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci DES CRÈCHES DU MONDE ENTIER ENCHANTENT LA BASILIQUE DE NOTRE-DAME DE MARCEILLE Cette année, la basilique de Notre-Dame de Marceille s’illustre par une initiative aussi surprenante qu’originale : une exposition de crèches venues des quatre coins du globe. Habituellement connue pour sa traditionnelle crèche provençale, l’église offre cette fois un véritable voyage intercontinental à ses visiteurs. Placées aux quatre coins de l’édifice, ces représentations variées célèbrent la Nativité à travers une diversité de cultures et de styles. Une expérience qui séduit autant les habitués que les curieux, et qui souligne, dans un même élan, l’universalité et la richesse de cette tradition catholique.Cliquez ici pour modifier un élément.. UNE CONJUGAISON DE TRADITIONS LOCALES ET INTERNATIONALES Au cœur de la basilique trône la pièce maîtresse : une crèche monumentale. Constituée de dizaines de santons, elle reproduit fidèlement la vie d’un village provençal avec ses scènes animées de marché, ses artisans au travail et, bien sûr, la Sainte Famille. À proximité, une autre crèche, tout aussi captivante, mêle un décor hivernal et des automates soigneusement intégrés dans le paysage. Mais ce sont les crèches internationales qui volent la vedette cette année. Installées autour de l’autel, elles racontent la Nativité à travers le prisme de différentes cultures. Crèches d’Amérique latine, d’Afrique ou encore d’Asie, chaque composition reflète un savoir-faire local et une vision singulière de cet événement biblique. « C’est une véritable invitation au voyage. On passe de l’artisanat raffiné des Andes à des représentations africaines pleines de couleurs et de vie », confie un visiteur ébloui. En multipliant ces installations, la basilique ne se contente pas de célébrer Noël : elle met également en lumière l’incroyable capacité de cette tradition à se réinventer, tout en restant fidèle à son essence spirituelle. UNE INITIATIVE QUI RÉSONNE AU-DELÀ DU SACRÉ Si cette exposition suscite autant d’intérêt, c’est aussi parce qu’elle questionne les visiteurs sur le sens et la pérennité de cette tradition. Dans une société où les pratiques religieuses tendent à évoluer, la crèche demeure un symbole universel de rassemblement et de mémoire. Par son aspect interculturel, l’exposition de Notre-Dame de Marceille dépasse le cadre spirituel pour devenir un véritable manifeste d’ouverture et de dialogue entre les peuples. Les crèches exposées ne sont pas seulement des objets décoratifs : elles témoignent des divers contextes culturels dans lesquels cette tradition a pris racine. Par exemple, les crèches africaines, avec leurs matériaux naturels et leurs couleurs chatoyantes, évoquent une proximité avec la terre et une célébration de la vie communautaire. À l’inverse, les crèches d’Europe de l’Est, souvent austères mais profondément symboliques, rappellent la quête de spiritualité dans des contextes historiques parfois marqués par l’adversité. UNE TRADITION À RÉINVENTER ? En mettant en scène ces multiples interprétations de la crèche, la basilique de Notre-Dame de Marceille pose une question essentielle : comment préserver cette tradition tout en l’adaptant à un monde de plus en plus globalisé ? Cette exposition semble déjà offrir une réponse : en embrassant la diversité et en valorisant les influences croisées, la crèche peut continuer à toucher le cœur des croyants comme des non-croyants. Ainsi, à travers cette initiative audacieuse, la basilique offre bien plus qu’une visite : elle invite chaque spectateur à réfléchir à la portée universelle de Noël et à ce qu’elle peut encore apporter dans nos vies modernes. Un message qui, dans un monde en quête de sens, ne manque pas de résonance. ____________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci UN PARI AUDACIEUX POUR L’HUMOUR EN RÉGION C’est une première pour Carcassonne et, plus largement, pour la région : le jeune humoriste Max’s Evans, âgé de 24 ans, s’apprête à ouvrir un comedy club au 121 avenue Franklin-Roosevelt, dès le 10 janvier. Inspiré par des lieux emblématiques comme le Jamel Comedy Club ou le Fridge Comedy Club de Kev Adams, l’Ardéchois ambitionne de démocratiser l’art du stand-up dans les villes de taille moyenne, loin de l’effervescence parisienne. Max’s Evans, qui a su capter l’attention de Kev Adams pour ce projet, explique sa vision : « Nous voulons offrir une scène aux talents locaux qui n’ont pas forcément les moyens ou les contacts pour se produire à Paris. » Avec l’objectif de créer sept autres comedy clubs similaires d’ici 2030, il fait le pari d’une montée en puissance de cette tendance culturelle, déjà bien établie dans les grandes métropoles. UN LIEU INTIMISTE, UNE PROGRAMMATION INNOVANTE Dans cette petite salle de 30 places, le rire sera à l’honneur six jours par semaine, du mercredi au lundi. Chaque journée s’articulera autour de deux moments clés : un "open mic" à 16 heures, où les amateurs pourront s’essayer au stand-up, et « la Relève » à 20 heures, mettant en lumière des humoristes confirmés. L’entrée sera abordable : 6 € pour l’après-midi, 10 € pour le spectacle du soir, boisson incluse. Max’s Evans promet aussi des surprises, avec des invités de marque qui ne seront dévoilés qu’au dernier moment. Kev Adams lui-même est attendu pour fouler la scène carcassonnaise. Cette approche, mêlant découverte et exclusivité, reflète la volonté de l’humoriste d’ancrer une nouvelle dynamique culturelle à Carcassonne, tout en valorisant les talents locaux. UN JEUNE PRODIGE À L’AMBITION DÉMESURÉE Max’s Evans n’est pas étranger à l’audace. Après un master en marketing, il s’est lancé seul dans l’humour, louant à ses frais des salles prestigieuses comme le palais des congrès de Montélimar ou le Zénith de Saint-Étienne, qu’il a réussi à remplir. Son premier spectacle, One Max Chaud, a attiré l’attention des médias et des professionnels du milieu, notamment grâce à une campagne publicitaire audacieuse au festival off d’Avignon. Aujourd’hui, il est produit par Kev Adams et soutenu par Laurent Ruquier, signe d’une reconnaissance grandissante dans le milieu artistique. Pourtant, l’humoriste reste fidèle à ses racines et à ses convictions. « Je veux prouver qu’en venant d’un petit village, on peut accomplir de grandes choses, à condition d’y croire et de ne jamais lâcher. » UN ENJEU POUR LA CULTURE LOCALE Avec l’ouverture de ce comedy club, Max’s Evans espère non seulement attirer les amateurs d’humour, mais aussi revitaliser l’offre culturelle de Carcassonne. Ce projet pose cependant une question : la ville est-elle prête à embrasser cette tendance encore émergente dans les régions ? En pariant sur une programmation variée et accessible, l’humoriste semble convaincu que le public répondra présent. L’ouverture de ce lieu unique marque donc un tournant pour Carcassonne, qui s’affirme comme un terrain fertile pour l’innovation culturelle. Reste à voir si ce pari audacieux rencontrera le succès escompté. Quoi qu’il en soit, Max’s Evans montre, une fois de plus, qu’il n’a pas peur de rêver grand. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci UNE SITUATION D’URGENCE POUR LA SCPA DE CARCASSONNE : LE REFUGE SUBMERGÉ PAR LES ARRIVÉES DE CHIOTS La Société carcassonnaise de protection animale (SCPA) se trouve face à une crise sans précédent. En l’espace de quelques jours, de nombreuses portées de chiots ont été déposées dans ses locaux, mettant en lumière des problèmes structurels et sociétaux plus larges. L’appel à l’aide lancé par la présidente du refuge, Isabelle Gilliet, révèle l’ampleur d’une situation déjà tendue pour cette institution qui lutte pour offrir un avenir à ces jeunes animaux. Ces dernières semaines, les chiffres parlent d’eux-mêmes : à raison de plusieurs arrivées quotidiennes, la SCPA a vu ses effectifs croître de manière vertigineuse. Rien que le week-end dernier, une portée de sept chiots a été retrouvée abandonnée dans un carton à Conques-sur-Orbiel. « C’est du jamais vu. C’est la première fois que nous avons autant de chiots à cette période de l’année », confie Isabelle Gilliet. Loin d’être une exception, cet épisode souligne des tendances sociétales alarmantes, telles que le manque de responsabilité des propriétaires d’animaux et l’absence de mesures systématiques de stérilisation. Ces comportements engendrent une prolifération d’animaux non désirés, abandonnés une fois nés. Pour faire face à cet afflux massif, la SCPA appelle les habitants du secteur à se mobiliser en devenant familles d’accueil. Toutefois, cette solution temporaire s’avère compliquée à mettre en œuvre en pleine période festive. Les bénévoles doivent non seulement disposer d’un espace isolé pour s’occuper des chiots, mais aussi résider à proximité de Carcassonne pour faciliter les soins vétérinaires. Malgré ces difficultés, l’institution ne cesse de plaider pour l’adoption responsable de ces jeunes chiens, une fois les délais légaux de fourrière expirés. La situation financière vient aggraver le tableau. En 2024, la SCPA a déjà pris en charge près de 520 chiens et 630 chats, entrainant des frais vétérinaires considérables, estimés à 135 000 euros sur dix mois. Ces dépenses, auxquelles s’ajoutent les charges courantes, mettent en péril l’équilibre économique du refuge. Isabelle Gilliet s’alarme : « Nous ne pourrons pas débuter 2025 sans une aide financière de 90 000 euros, une somme représentant à peine deux mois de fonctionnement ». Malgré ce contexte dramatique, le refuge refuse de transiger sur la qualité des soins prodigués aux animaux. Cette crise soulève des questions profondes. Comment responsabiliser davantage les propriétaires d’animaux pour éviter ces abandons massifs ? Quelles solutions pérennes pourraient être mises en place pour soutenir les refuges face à des besoins grandissants ? Dans une société où la place accordée aux animaux de compagnie ne cesse de croître, les réponses à ces interrogations deviennent urgentes. En attendant, la SCPA continue de se battre, rappelant que derrière chaque adoption, c’est une vie qui trouve enfin un foyer aimant. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci APRÈS LE GOUFFRE FINANCIER DE LA TUILERIE, UNE NOUVELLE PROMESSE CONTROVERSÉE DU MAIRE Annoncé en grande pompe dans le hall de la Maison du Citoyen, le dernier numéro du trimestriel « Mag Évasion » hiver 2024 a suscité la stupéfaction de nombreux Limouxins. Au cœur de la controverse, une déclaration du maire Pierre Durand, évoquant la création d’une Maison du Carnaval. Une idée ambitieuse qui, pour beaucoup, résonne comme une répétition des échecs passés, notamment celui de l’Institut des Arts du Masque. Cet institut, situé rue du Palais, n’avait pas réussi à attirer un public suffisant, y compris parmi les habitants de Limoux. Fermé depuis plusieurs années, le site est aujourd’hui destiné à accueillir une Maison de la Justice. Pourtant, dans le « Mag Évasion », Pierre Durand envisage déjà un nouveau projet pour honorer la tradition carnavalesque de la ville, avec des investissements qui pourraient se chiffrer en millions d’euros. Une annonce qui a provoqué un vif scepticisme parmi les habitants. « Nous ne sommes pas dupes de cette stratégie électorale, à l’image de la Tuilerie, qui voit à peine le jour après quinze ans de promesses », dénonce un citoyen Limouxin. La Tuilerie, projet initialement estimé à 27 millions d’euros, est un autre symbole des dérives financières pointées par les contribuables. Ce chantier, évoqué dès le début des années 2000, peine toujours à aboutir. Alors que les travaux avancent à un rythme ralenti, les critiques fusent sur la gestion de ce projet colossal, vu par beaucoup comme un gouffre financier pour la ville. Pierre Durand, élu sous la bannière du Front Populaire, fait face à une pression politique croissante. Les revers subis lors des dernières élections municipales, marqués par la montée en puissance du Rassemblement National de Julien Rancoule, ont affaibli sa position sur le territoire. Certains observateurs jugent sa nouvelle promesse comme une tentative de regagner la faveur des carnavaliers, un électorat clé dans la ville. Mais au-delà des promesses, les habitants de Limoux expriment des inquiétudes plus larges sur la gouvernance municipale. Drogues, insécurité routière, violences sexuelles et cambriolages viennent ternir le quotidien. Pour beaucoup, l’obsession festive du maire semble déconnectée des réalités régaliennes qui inquiètent les citoyens. « Seule la fête semble l’intéresser, alors que la ville souffre », commente un habitant amer. La question reste ouverte : Limoux peut-elle se permettre de nouveaux projets onéreux alors que d’autres priorités – sécurité, emploi, logement – exigent des réponses urgentes ? Le débat est lancé, et les électeurs auront l’occasion de trancher lors des prochaines échéances électorales. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. 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En écrasant littéralement la figure du Père Noël, icône de générosité et de partage, sous le poids d’un cadeau surdimensionné, James Colomina dénonce une fête vidée de son essence. Le message est clair : les valeurs de solidarité et de partage cèdent trop souvent le pas à une frénésie d’achats superflus. Ce n’est pas la première fois que l’artiste attire l’attention avec des œuvres percutantes. Habitué des coups d’éclat, James Colomina est reconnu pour ses sculptures rouges, visibles à Toulouse, Paris ou encore New York. Dernièrement, il a créé la polémique en installant dans l’église du Gésu à Toulouse une représentation de l’abbé Pierre dans une posture troublante. Par ses gestes artistiques, il révèle les tensions et hypocrisies de notre société, incitant à une réflexion souvent inconfortable mais nécessaire. La sculpture « Santa Claus » s’inscrit dans cette lignée. En remettant en cause la symbolique de Noël, elle pousse à s’interroger : à quel point avons-nous laissé l’esprit de cette fête se faire éclipser par les diktats du marché ? Ce geste, aussi audacieux qu’évocateur, souligne les paradoxes d’une époque où la générosité se mesure souvent au montant inscrit sur une étiquette. En confrontant le public à une vision brutale mais sincère de ses excès, Colomina invite à réinvestir le sens profond de Noël : le partage, l’humanité et la solidarité. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci CASTELNAUDARY : UNE CROISSANCE DÉMOGRAPHIQUE SOUTENUE GRÂCE À UNE STRATÉGIE ÉCONOMIQUE AMBITIEUSE Depuis cinq ans, Castelnaudary, petite commune audoise, affiche une progression démographique remarquable avec une augmentation de 8,91 % de sa population. Selon les derniers chiffres de l’Insee, publiés le 19 décembre, la ville compte aujourd’hui près de 13 000 habitants, devenant ainsi la troisième commune la plus peuplée du département. Cette performance, loin d’être le fruit du hasard, résulte d’une stratégie économique et urbaine longuement mûrie, comme le souligne Philippe Greffier, premier adjoint à la mairie : « C’est le fruit d’un travail de longue haleine commencé en 1995 sous l’impulsion de Patrick Maugard, maire de la commune. » L’emploi constitue le fer de lance de cette dynamique. Avec 10 000 postes pour une population de 13 000 habitants, Castelnaudary présente un ratio remarquable qui témoigne de son attractivité économique. La zone d’activité Nicolas Appert, étendue sur 130 hectares, illustre cet essor. Selon Philippe Greffier, « environ 850 emplois y ont été créés, renforçant ainsi l’économie locale et attirant de nouveaux résidents ». Ce développement est complété par des initiatives visant à rénover et créer des logements, une stratégie qui stimule indirectement le commerce de proximité tout en répondant aux besoins d’une population croissante. L’attrait de Castelnaudary ne se limite cependant pas à ses opportunités économiques. Sa localisation à moins d’une heure de Toulouse ajoute un atout supplémentaire, même si, comme le rappelle Philippe Greffier, « ce n’est pas le principal facteur ». L’ambition de la mairie reste claire : atteindre les 15 000 habitants sans sacrifier la qualité de vie d’une petite ville, un équilibre complexe mais essentiel pour ne pas se transformer en simple banlieue d’une métropole voisine. Ce modèle de développement interroge : peut-on concilier croissance urbaine et proximité humaine ? Castelnaudary semble démontrer que cela est possible, à condition de préserver une stratégie claire et adaptée. Dans un contexte national où de nombreuses petites villes peinent à retenir leurs habitants, la commune audoise incarne un exemple à suivre. Mais la route vers une croissance durable reste semée d’embûches, et l’avenir dira si ce modèle peut résister aux défis économiques et sociaux à venir. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. 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Louant deux chalets pour la somme de 7 000 euros le mois, il a été dérangé par la présence d’un faux Père Noël s’installant non loin de son emplacement. "L’an passé, j’avais déjà eu affaire à lui. J’ai signalé sa présence aux policiers municipaux, mais ils m’ont indiqué que ses papiers étaient en règle et qu’ils ne pouvaient rien faire", relate-t-il. Le conflit s’est intensifié en fin de journée, sous une météo maussade qui avait pourtant laissé les allées du marché relativement calmes. Le faux Père Noël est passé à plusieurs reprises devant les chalets de Gilbert Banegas, attisant les tensions. Une confrontation verbale a d’abord eu lieu avant de se déplacer à l’abri des regards, derrière un chalet. « J’ai évité une escalade devant les enfants et les familles, mais je n’ai pas pu contenir ma colère ensuite. » L’altercation s’est terminée par un KO du faux Père Noël, nécessitant l’intervention des policiers municipaux pour le relever. Aucune plainte n’a été déposée à ce jour. Cet incident soulève des questions sur la réglementation des activités commerciales durant les festivités. Si la Ville souhaite maintenir une ambiance festive et ordonnée, comment gérer efficacement ces conflits d’intérêts ? L’épisode souligne également l’importance d’une communication claire entre les autorités et les commerçants pour éviter que la concurrence ne dégénère en conflit ouvert. Alors que les festivités se poursuivent jusqu’au 31 décembre, Gilbert Banegas reste en poste, bien déterminé à immortaliser les souvenirs des familles sur la place Carnot. Cependant, l’incident laisse planer une ombre sur la "Magie de Noël" et pose une question fondamentale : comment préserver l’esprit des fêtes tout en réglant les inévitables tensions qui accompagnent ces moments de forte affluence ? ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. 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Dès son annonce, l’adjoint délégué à la tranquillité publique, Jean-Louis Bes, avait justifié la mesure par une priorité accordée à la sécurité. « Encadrer l’utilisation des trottinettes électriques dans les rues, en rappelant les dispositions du code de la route. Ce dispositif vise à garantir la sécurité des usagers et à promouvoir des pratiques responsables dans l’espace public », avait-il déclaré. Les trottinettes, de plus en plus populaires en milieu urbain, ont été à l'origine de plusieurs incidents. Dérives comportementales, accidents liés à des excès de vitesse ou à un manque de vigilance, les critiques se sont multipliées, notamment de la part des riverains piétons. Les panneaux, stratégiquement disposés aux différents points d’intersection de la rue piétonne, servent de rappel clair des règles en vigueur. Mais au-delà de l’aspect pédagogique, la mesure comporte une dimension coercitive : la police municipale est désormais habilitée à sanctionner les contrevenants. Tout utilisateur de trottinette circulant malgré l’interdiction s’expose à un relevé d’identité et à une contravention, une procédure qui laisse planer l’ombre d’une hausse des verbalisations en période de fin d’année. Cependant, cette décision n’est pas sans soulever des interrogations. Certains habitants et usagers considèrent ces restrictions comme excessives, voire contre-productives. « Il aurait été préférable de délimiter des zones partagées ou de créer des voies spécifiques », argue une utilisatrice régulière, déplorant le manque d’alternatives adaptées. Par ailleurs, des commerçants redoutent que ces interdictions ne dissuadent une partie de leur clientèle en pleine effervescence des fêtes de fin d’année. Face à ces tensions, la réglementation autour des trottinettes pose une question plus large : comment concilier mobilité moderne et cohabitation harmonieuse dans l’espace urbain ? Si la priorité est clairement donnée à la sécurité des piétons, le défi reste d’intégrer les nouveaux modes de transport dans un cadre adapté et durable, une problématique qui ne manquera pas d’alimenter le débat public. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci FEUX D’ARTIFICE, ALCOOL ET CARBURANT : LES RESTRICTIONS IMPOSÉES POUR LE 31 DÉCEMBRE DANS L’AUDE Comme chaque année, à l’approche du réveillon de la Saint-Sylvestre, la préfecture de l’Aude a pris des mesures drastiques pour éviter tout débordement ou incident. Ces restrictions concernent l’achat et l’usage de feux d’artifice, la consommation d’alcool, ainsi que la vente de carburant en jerricans. Des arrêtés, annoncés le 24 décembre par la secrétaire générale de la préfecture, Lucie Roesh, s’inscrivent dans un contexte de vigilance accrue, notamment avec le maintien du plan Vigipirate à son niveau « Urgence attentat ». Première mesure emblématique, la vente et l’utilisation de pétards et d’articles pyrotechniques seront interdites du lundi 30 décembre à 18 heures jusqu’au mercredi 1er janvier à midi sur l’ensemble des communes du département. Une interdiction justifiée par les risques d’accidents corporels et matériels, mais également par la possibilité d’un usage malveillant. En période de renforcement des mesures de sécurité nationale, ces restrictions visent à éviter de surcharger des forces de l’ordre déjà fortement mobilisées. Le carburant, autre élément potentiellement problématique, fait également l’objet de restrictions strictes. La vente de carburant en récipients portables, tels que les jerricans, sera prohibée sur la même période. Cette mesure préventive répond à la recrudescence des incendies volontaires de véhicules observés lors des festivités de fin d’année. Les gérants de stations-service seront tenus d’informer leur clientèle et de veiller au respect de cette réglementation. Enfin, la consommation d’alcool sur la voie publique sera également encadrée avec fermeté. La vente à emporter de boissons alcoolisées sera interdite de 18 heures le 31 décembre jusqu’à 8 heures le lendemain. Par ailleurs, il sera illégal de détenir ou de consommer ces boissons sur la voie publique durant cette période. Selon la préfecture, ces mesures visent à limiter les risques de violences, d’accidents de la route liés à l’état d’ébriété, et de troubles à l’ordre public. La mortalité routière, en hausse dans le département ces derniers mois, constitue une préoccupation majeure pour les autorités. Ces mesures, bien que contraignantes, s’inscrivent dans une volonté de préservation de la sécurité collective. Elles soulèvent toutefois des questions sur leur impact sur les libertés individuelles et la capacité des citoyens à célébrer cette nuit festive. Si elles répondent à des impératifs de sécurité, leur application et leur efficacité restent des sujets d’analyse et de débat pour l’avenir. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. 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À Carcassonne, cette journée sera une vitrine de la culture kabyle. "Nous avons préparé un programme riche et diversifié pour faire découvrir nos traditions aux habitants de l'Aude", explique Nadira. Des ateliers de cuisine présenteront les saveurs authentiques du couscous et des gâteaux au miel, tandis que des expositions mettront en lumière l'artisanat traditionnel, notamment les bijoux berbères et les tapis faits main. En parallèle, des conférences aborderont l'histoire et la langue amazighes, offrant une approche pédagogique de cette culture millénaire. Mais Yennayer n'est pas qu'une question de traditions. La célébration à Carcassonne porte également un message universel : celui de la transmission et du dialogue entre les cultures. "Notre objectif est de créer des ponts entre les communautés, de montrer que la diversité est une richesse", insiste Nadira. Ce point culminera lors d'un concert festif en soirée, rassemblant des musiciens kabyles et locaux. Les chants et danses, animés par des groupes renommés, rappelleront que la culture kabyle est vivante et qu'elle continue de s’épanouir loin de ses terres d'origine. En réunissant tradition et modernité, cet événement interroge sur la manière dont les cultures s'intègrent et se réinventent dans un contexte globalisé. Carcassonne, en accueillant Yennayer 2975, devient le théâtre d'une rencontre inédite entre histoire et présent. Une opportunité pour chacun de découvrir une autre facette de l'identité culturelle française et de réfléchir au rôle de la transmission dans un monde en perpétuel mouvement. Rendez-vous le 11 janvier pour un voyage au cœur de l'âme berbère. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci EXPERIA SERVICES et C11 .MEDIA QUITTENT LIMOUX POUR S'IMPLANTER EN PRÉFECTURE : UNE DÉCISION STRATÉGIQUE POUR L'AVENIR. Après deux années passées au sein de la pépinière ERECO à Limoux, EXPERIA SERVICES (France) et le projet C11 .MEDIA ont officiellement annoncé leur départ pour s’installer dans la préfecture Audoise. Une étape majeure dans l’évolution de l’entreprise pilotée par Ludovic BEUZERON, entrepreneur aux multiples casquettes. Cette décision, motivée par un besoin de croissance et de visibilité, marque un tournant stratégique pour cette structure d’envergure régionale. Ludovic BEUZERON, coordinateur régional Occitanie de la Fédération Nationale des Auto-Entrepreneurs (FNAE), délégué général de la FNJMI (Fédération Nationale des Journalistes et Médias Indépendants), et dirigeant de C11 .MEDIA (Presse, Radio et Télévision), ne manque pas d’ambition pour l’avenir. La société, qui rassemble un ensemble d’activités allant du Conseil en gestion des affaires aux médias multi-supports, à la production audiovisuelle, en passant par la presse et la régie publicitaire, cherchait un lieu plus adapté à son développement. L’implantation dans la préfecture Audoise avec des studios flambant neufs, dont la livraison est attendue pour la première semaine de janvier reflète cette volonté d’étendre son influence sur un territoire plus vaste et plus dynamique. Cependant, ce déménagement ne signifie pas un abandon des bases historiques de l’entreprise. Ludovic BEUZERON rassure : "Les activités d’EXPERIA SERVICES (France) resteront présentes à Limoux, Carcassonne et bien au-delà. En effet, l’entreprise continue de couvrir l’ensemble de la région Occitanie de Montpellier à Toulouse." Ce maillage géographique témoigne d’une stratégie double : ancrer des racines locales tout en explorant de nouveaux horizons. EXPERIA SERVICES (France) conserve également son activité reposant sur les trois services à la carte : 1 - L'accompagnement personnalisé 2 - L'assistance administrative & juridique 3 - Le conseil en communication opérationnelle Cette décision résonne également avec les tendances économiques actuelles qui favorisent la décentralisation des activités tout en optimisant les opportunités offertes par les centres urbains majeurs. Avec ses nouveaux locaux, EXPERIA SERVICES (France) ambitionne de devenir un acteur clé dans la production de contenu médiatique et la communication dans l'Aude. Si le déménagement représente un pari audacieux, il s’inscrit dans une vision à long terme qui pourrait bien repositionner l’entreprise au sommet de son secteur. Ainsi, l’installation en préfecture traduit un choix stratégique clair : celui de miser sur l’innovation, la croissance et la proximité avec un écosystème économique plus riche. Mais elle soulève aussi des interrogations sur les équilibres à maintenir entre développement local et expansion régionale. Un défi que Ludovic BEUZERON semble prêt à relever avec une vision ambitieuse et structurée pour l’avenir d’EXPERIA SERVICES (France) et l'ensemble de ses filiales... #experiaservices #c11media #fnjmi #fnae #aude #occitanie Le vendredi 27 décembre, à partir de 18 h 30, l’hôtel de la Cité, situé au cœur de la majestueuse cité médiévale de Carcassonne, accueillera un événement exceptionnel mêlant musique classique et poésie. Sous l’initiative d’Aparicio MJ, agent général Generali, et en collaboration avec Christine Pujol, cette soirée promet de transporter les spectateurs dans un voyage artistique où l’amour et la beauté seront à l’honneur. Cette soirée s’inscrit dans la continuité des événements organisés pour valoriser « Les elles Agents Generali », une initiative mettant en lumière les femmes de talent et les valeurs de partage et de création. L’hôtel de la Cité, lieu emblématique empreint d’histoire, devient pour l’occasion un écrin parfait pour accueillir cet événement qui mariera des œuvres musicales d’exception et des lectures littéraires poignantes.
Le pianiste Jorge Votonovisky, figure incontournable de la scène classique espagnole, a spécialement fait le déplacement depuis Barcelone pour offrir un récital inédit. Au programme de cette soirée, des chefs-d’œuvre intemporels : la Sonate nº10 K 330 de Mozart, les Novelleten opus 21 de Schumann, et une sélection des œuvres les plus émouvantes de Chopin, telles que ses Mazurkas et son Nocturne posthume. Ginastera et Piazzolla viendront enrichir ce répertoire par des compositions aux accents plus modernes et vibrants, comme la célèbre Verano Porteño. Mais cette soirée ne se limite pas à la musique. Christine Pujol, avec sa sensibilité et son amour des mots, apportera une touche littéraire et émotionnelle en lisant des correspondances d’amour célèbres. Les lettres échangées entre Albert Camus et Maria Casarès, Alfred de Musset et George Sand, ainsi que les écrits de Joe Bousquet, évoqueront l’intensité et la beauté des liens amoureux à travers les époques. Ce mélange de musique et de littérature fera de cet événement une véritable ode à l’amour et à la créativité. La cité médiévale de Carcassonne, avec son décor intemporel et ses ruelles chargées d’histoire, sera le témoin d’une soirée inoubliable où la magie opèrera pour tous les participants. Que vous soyez amateur de musique classique, passionné de littérature ou simplement en quête d’un moment hors du temps, cet événement est fait pour vous. Pour réserver vos places ou obtenir davantage d’informations, contactez Aparicio MJ au 04 68 31 14 72 ou écrivez à [email protected]. Ne manquez pas l’opportunité de vivre un moment unique dans ce cadre d’exception. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci
UNE VICTOIRE RETENTISSANTE POUR LE HANDBALL CARCASSONNAIS : JOIE ET CONFIANCE AU MICRO DE NOTRE MEDIA
C’est avec enthousiasme et fierté que le club de Handball Carcassonnais a célébré sa victoire éclatante face au HBC Pamiers, sur un score sans appel de 37 à 26. Une performance collective remarquable qui consolide la dynamique positive du club et nourrit de belles ambitions pour la suite de la saison.
Au micro de C11 .MEDIA, joueurs, joueuses et dirigeants ont pris le temps de revenir sur ce match décisif. Lisa, pilier de l’équipe féminine, a évoqué "une énergie collective impressionnante" et a salué l’implication de chaque membre du groupe. Marie, de son côté, a souligné l’importance du soutien des supporters : "Leur présence nous pousse à donner le meilleur sur le terrain."
Pour Zied, auteur d’une prestation exceptionnelle avec plusieurs arrêts déterminants, cette victoire est "le fruit d’un travail rigoureux à l’entraînement et d’une cohésion d’équipe renforcée ces dernières semaines." Le président du club, M. Bousquet, s’est également exprimé, soulignant que ce résultat reflète "le sérieux et l’engagement du club à tous les niveaux, des joueurs aux bénévoles." Il a également profité de l’occasion pour rappeler les ambitions du Handball Carcassonnais : "Nous voulons continuer à grandir, non seulement sur le plan sportif, mais aussi en tant qu’acteur important de la vie locale." Avec cette victoire, le club envoie un message fort à ses adversaires tout en réaffirmant ses valeurs d’engagement et de solidarité. Prochain objectif : confirmer cette belle dynamique lors des prochains rendez-vous sportifs. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci LES VOLEURS DE CARBURANT À CARCASSONNE : UN MODE OPÉRATOIRE POUR FINANCER LE CRACK Carcassonne a récemment été le théâtre d’un épisode marquant de la petite délinquance liée aux addictions. Lundi 16 décembre 2024, trois hommes ont comparu devant le tribunal pour des vols de carburant et de batteries, commis pour financer leur consommation de crack. Une affaire qui met en lumière les dérives d’une dépendance destructrice et le poids des fragilités sociales. Une mécanique bien huilée au service de l'addiction Le récit des faits est édifiant. Le 5 novembre, Benoît, Nicolas et Flabio, âgés respectivement de 37, 48 et 36 ans, ont été surpris en flagrant délit alors qu’ils tentaient de voler du carburant sur le site de la société Comelec, dans la zone industrielle de La Bouriette. Quelques jours plus tôt, ils s’étaient déjà introduits dans l’enceinte du Service départemental d’incendie et de secours de l’Aude (Sdis 11), emportant gasoil et batteries de camions. Ces larcins, minutieusement orchestrés, répondaient à un besoin pressant : financer leur consommation quotidienne de crack. Benoît et Nicolas, interpellés rapidement, avaient été placés en détention provisoire avant d’être remis sous contrôle judiciaire. Flabio, resté en liberté, jouait le rôle de guetteur et chauffeur lors des opérations. Les audiences ont révélé des profils marqués par des parcours chaotiques : dépendances multiples, précarité économique et sociale, et récidives fréquentes. À eux trois, ils cumulent plusieurs condamnations pour divers délits. Le modus operandi était simple mais efficace : les vols étaient réalisés de nuit, la même voiture servant à chaque opération. Malgré les mesures de contrôle, Benoît n’avait pas hésité à récidiver, volant à nouveau dans un magasin de bricolage quelques semaines après sa mise en liberté surveillée. Des sanctions à la hauteur des actes ? Face à ces infractions répétées, la justice a prononcé des peines différenciées, en tenant compte des circonstances et des responsabilités de chacun. Benoît, jugé comme le principal instigateur, a écopé d’un an de prison ferme, assorti d’un maintien en détention. Flabio, perçu comme un complice mineur mais tout aussi englué dans l’addiction, a été condamné à 280 heures de travaux d’intérêt général, avec six mois de prison ferme en cas de non-respect. Quant à Nicolas, absent au procès et introuvable, un mandat d’arrêt a été émis pour une peine d’un an de prison. Ces décisions, bien que sévères, soulignent les limites de la réponse pénale face à des individus dont les actes sont étroitement liés à leur dépendance. La défense a insisté sur la nécessité de traiter l’addiction comme une priorité, notamment pour Benoît, qui regrette son parcours mais reste enfermé dans un "cercle vicieux". Une problématique au-delà du simple fait divers Cette affaire illustre les conséquences d’une consommation croissante de drogues dures comme le crack, qui pousse ses usagers à des comportements délictueux pour satisfaire une dépendance immédiate. Elle met également en lumière les failles des dispositifs d’accompagnement et de réinsertion sociale. Le manque de perspectives, combiné à des addictions non traitées, alimente un cycle de marginalisation et de récidive difficile à briser. Au-delà de l’indignation face aux préjudices matériels, ces faits interrogent sur la pertinence des réponses apportées par les pouvoirs publics. Peut-on se contenter de sanctions pénales sans envisager des solutions de prise en charge globale ? À Carcassonne comme ailleurs, ces questions restent en suspens, rappelant que derrière chaque fait divers se cache une problématique plus large, mêlant dépendance, précarité et fragilité des dispositifs sociaux. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci CHRISTOPHE BARTHÈS INVESTI PAR LE RASSEMBLEMENT NATIONAL POUR LES MUNICIPALES DE 2026 À CARCASSONNE Le Rassemblement national (RN) a tranché. Christophe Barthès, député de la 1ère circonscription de l’Aude, sera le candidat officiel du parti pour les élections municipales de mars 2026 à Carcassonne. Une décision prise lors de la commission d’investiture réunie à Paris, mettant fin à plusieurs mois de rivalités internes avec Edgard Montagné, conseiller municipal RN d’opposition. Un choix stratégique pour le RN Cette investiture confère à Christophe Barthès une légitimité renforcée au sein du parti. Soutenu par Marine Le Pen et Jordan Bardella, le député a su convaincre par sa stature nationale et sa capacité à structurer une équipe pour mener bataille dans une élection aux enjeux multiples. "Je suis honoré de ce choix. Mon objectif est de construire un projet solide, au service des Carcassonnais", a-t-il déclaré. Christophe Barthès, tout en maintenant ses fonctions parlementaires, a déjà commencé à constituer une équipe de campagne, misant sur une stratégie de terrain et un renouvellement des forces locales. Edgard Montagné, pour sa part, a exprimé une déception mesurée. Reconnaissant la priorité donnée aux députés par les instances dirigeantes, il a affirmé son attachement à Carcassonne et son intention de poursuivre son engagement politique, notamment en vue des élections départementales. Une manière pour lui de rester dans la course et de maintenir une certaine influence locale, malgré la mise en retrait forcée. Un contexte politique en pleine recomposition Le paysage politique carcassonnais s’annonce fragmenté pour les municipales de 2026. Outre Christophe Barthès, la droite traditionnelle pourrait voir le maire sortant, Gérard Larrat, briguer un nouveau mandat, bien qu’aucune annonce officielle n’ait encore été faite. Sa première adjointe, Isabelle Chesa, a quant à elle déjà déclaré sa candidature sous l’étiquette Les Républicains, marquant une possible divergence au sein de la majorité actuelle. À gauche, l’incertitude persiste. Tamara Rivel, conseillère municipale d’opposition, et Régis Banquet, président socialiste de Carcassonne Agglo, figurent parmi les noms évoqués, sans confirmation pour l’instant. Cette division potentielle pourrait compliquer la tâche d’une gauche encore marquée par ses échecs aux précédentes élections municipales. Le RN, en plaçant Christophe Barthès en tête d’affiche, mise sur une dynamique de recentrage stratégique. Lors des dernières municipales, le parti avait obtenu 16,52 % au premier tour, avant de terminer en troisième position dans une triangulaire. Depuis, le RN a consolidé ses bases, atteignant des scores significatifs lors des départementales, avec des résultats oscillant entre 37 % et 43 % sur certains cantons. Une progression que Barthès espère capitaliser pour élargir l’assise électorale du parti. Une élection aux enjeux cruciaux Les municipales de 2026 à Carcassonne dépassent le cadre local, s’inscrivant dans un contexte national où le RN cherche à s’ancrer durablement dans les territoires. Pour Christophe Barthès, cette élection sera l’occasion de démontrer la capacité du parti à proposer des solutions concrètes face aux problématiques locales : attractivité économique, sécurité, urbanisme et préservation du patrimoine. Mais la fragmentation du paysage politique pourrait bien redistribuer les cartes, rendant le scrutin particulièrement incertain. Reste à savoir si le RN, sous l’impulsion de Christophe Barthès, saura transformer ses avancées électorales en une victoire municipale. Pour l’heure, le parti s’efforce de fédérer autour de sa candidature, tout en surveillant les éventuelles recompositions au sein des autres forces politiques. Une élection qui s’annonce comme un véritable test pour le député audois et, au-delà, pour la stratégie de territorialisation du Rassemblement national. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : L'indépendant 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci CINÉM’AUDE EN PÉRIL : UN APPEL À L’AIDE POUR SAUVER UNE CULTURE ACCESSIBLE À TOUS L’association Ciném’Aude, acteur incontournable de l’éducation à l’image et de la diffusion culturelle dans le département de l’Aude, traverse une crise financière majeure. Avec un déficit de 184 000 euros et un trou de trésorerie atteignant 400 000 euros, l’association a été contrainte de solliciter l’aide du tribunal judiciaire pour se placer en redressement. Une décision perçue comme une ultime tentative pour préserver ses activités et son rôle unique en milieu rural. Depuis sa création en 1982, Ciném’Aude s’est imposée comme un maillon essentiel de l’accès à la culture, notamment dans les territoires isolés. Animée par une équipe composée de salariés et de bénévoles, l’association œuvre pour faire vivre le cinéma au cœur des villages. Mais les difficultés financières accumulées, aggravées par des facteurs exogènes tels que la pandémie de Covid-19 et la suppression des contrats aidés, menacent aujourd’hui son existence. Selon René Martinolle, président de Ciném’Aude, ces difficultés résultent de "multiples facteurs", parmi lesquels des choix assumés, comme la titularisation des contrats aidés pour préserver les emplois locaux. Pourtant, malgré les écueils, Ciném’Aude continue d’attirer le soutien des élus locaux et institutionnels. Le conseil départemental, fidèle partenaire de l’association, s’est engagé à accélérer le versement des subventions pour lui permettre de traverser cette période critique. De son côté, la communauté de communes lézignanaise a annoncé des aides exceptionnelles, en appelant d’autres collectivités à faire preuve de solidarité. Ces soutiens, bien qu’essentiels, ne suffiront pas à eux seuls : une gestion rigoureuse et un plan de redressement ambitieux devront être mis en œuvre pour redonner à l’association les moyens de sa mission. La question qui se pose désormais est celle de l’avenir d’un modèle associatif souvent fragilisé par des contraintes économiques croissantes. Ciném’Aude incarne une vision de la culture comme bien commun, accessible à tous, qui dépasse les simples enjeux financiers. Si son redressement est une priorité, il soulève une réflexion plus large sur la pérennité des structures associatives dans un contexte où elles doivent constamment innover pour survivre. Cette crise pourrait-elle marquer un tournant ? Alors que les soutiens affluent, la survie de Ciném’Aude semble suspendue à une prise de conscience collective. L’association, tout en cherchant à se réinventer, incarne une problématique universelle : comment maintenir un accès égalitaire à la culture face aux vents contraires de l’économie ? Une question qui, loin de se limiter à l’Aude, interpelle l’ensemble des acteurs du paysage culturel français. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci JULIEN RANCOULE NOMMÉ AU CONSEIL NATIONAL DES SAPEURS-POMPIERS VOLONTAIRES : UNE RECONNAISSANCE POUR L’ENGAGEMENT TERRITORIAL L'Assemblée nationale a récemment désigné Julien Rancoule, député de l’Aude et sapeur-pompier volontaire en activité, comme membre du Conseil National des Sapeurs-Pompiers Volontaires (CNSPV). Une nomination qui reflète un engagement double, à la fois législatif et opérationnel, au service d’un modèle de sécurité civile unique en France. Cette nouvelle responsabilité place M. Rancoule au cœur des débats nationaux sur la pérennité et le développement du volontariat, un pilier de la protection des populations. Depuis plusieurs années, Julien Rancoule s’est illustré par des prises de position en faveur des sapeurs-pompiers volontaires, particulièrement dans les zones rurales. Face à une pression croissante des normes européennes, il a notamment redéposé une proposition de résolution visant à préserver le modèle français du volontariat, qu’il considère comme un atout inestimable. Au-delà des déclarations, son action se veut pragmatique : il milite pour des mesures concrètes comme la bonification des retraites, l’incitation à l’embauche des volontaires, ou encore une meilleure reconnaissance des maladies professionnelles. Ces efforts traduisent une volonté de garantir des conditions de travail attractives et durables, tout en assurant la sécurité financière des Services Départementaux d’Incendie et de Secours (SDIS). Cette nomination s’inscrit également dans une conjoncture marquée par des défis structurels pour le volontariat. Avec un taux de renouvellement des effectifs en baisse, et des exigences administratives toujours plus lourdes, les sapeurs-pompiers volontaires doivent aujourd’hui jongler entre engagement civique et contraintes personnelles. « Cette mission me permettra de porter la voix des volontaires de l’Aude et d’ailleurs, pour protéger un modèle basé sur l’entraide et la solidarité », a affirmé Julien Rancoule. Une déclaration qui met en lumière une volonté de fédérer et d’anticiper les mutations à venir. En confiant cette mission à un élu ancré dans le terrain, l’Assemblée nationale envoie un signal fort : reconnaître l’importance des territoires et des acteurs qui les animent. À travers cette responsabilité, Julien Rancoule est appelé à incarner un équilibre délicat entre respect des traditions et adaptation aux exigences modernes. La pérennité du volontariat, essentielle à la sécurité des citoyens, dépendra des solutions qu’il saura porter et faire adopter. Cette nomination ouvre un nouveau chapitre pour la défense du modèle français des sapeurs-pompiers volontaires. À l’heure où les crises climatiques et sanitaires mettent à l’épreuve les capacités de réponse de l’État, les décisions prises dans ce cadre résonneront bien au-delà des casernes. Une réflexion collective s’impose désormais pour conjuguer valorisation des engagements individuels et renforcement des solidarités nationales. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. 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Grâce à une défense agressive et un rythme soutenu, elles prenaient rapidement l’avantage, menant 17 à 16 à la pause. De leur côté, les Carcassonnaises, jusqu’alors invaincues cette saison, semblaient bousculées par cette intensité, peinant à imposer leur jeu habituel. Une performance remarquable des Ariégeoises qui a poussé les locales dans leurs retranchements, et qui a rappelé à quel point chaque match peut réserver son lot d’incertitudes. Mais au retour des vestiaires, les joueuses du HBCC ont totalement changé de visage. Plus rapides, plus organisées, elles ont pris le contrôle du match en imposant leur technique et en accélérant les transitions. Face à une équipe de Pamiers qui multipliait les fautes et semblait accuser le coup physiquement, les Carcassonnaises n’ont laissé aucune chance à leurs adversaires. Leur attaque, implacable, a fait trembler les filets à de nombreuses reprises, creusant rapidement un écart décisif. Avec un total de 37 buts contre 26, les Audoises ont confirmé leur statut de leaders et leur capacité à réagir dans les moments critiques. Ce succès, acquis avec brio, reflète la force collective du HBCC et la solidité de son effectif. Pour les joueuses de Pamiers, malgré cette défaite, l’intensité affichée en première période laisse entrevoir de belles perspectives pour la suite de la saison. Un match qui rappelle, en somme, que la ténacité et la capacité d’adaptation restent les clés de toute performance sportive. À l’issue de la rencontre, les réactions captées par C11.MEDIA témoignent de l’émotion et du travail accompli par les deux formations. Si les Audoises savourent leur victoire, elles restent conscientes des défis à venir pour confirmer leur domination. Pour les Ariégeoises, l’heure est à l’analyse et à la préparation pour revenir plus fortes. Une rencontre qui, au-delà du score, célèbre avant tout la passion et la détermination des sportives. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci LA FIN DE L’ARGENT TEL QUE NOUS LE CONNAISSONS ? Le bitcoin, ce nom qui faisait sourire il y a encore une décennie, s’impose aujourd’hui comme un acteur majeur de l’économie mondiale. Les cryptomonnaies, à l’image de ce géant numérique, s’érigent en alternatives aux devises traditionnelles, bousculant les institutions bancaires et redéfinissant notre rapport à l’argent. Mais derrière les promesses d’un monde dématérialisé et transparent, des zones d’ombre subsistent : une révolution pour tous, ou un piège doré pour quelques-uns ? La montée en puissance des cryptomonnaies repose sur des principes séduisants : des transactions rapides, sans intermédiaires, et un système potentiellement libéré de l’influence des banques centrales. Ces devises numériques, fonctionnant grâce à la blockchain, un registre numérique infalsifiable, fascinent autant qu’elles inquiètent. Le Salvador, premier pays à adopter le bitcoin comme monnaie officielle, s’est lancé dans un pari audacieux. Mais à l’échelle mondiale, l’adoption reste timide, freinée par la volatilité extrême de ces actifs. Le bitcoin, qui valait quelques euros en 2011, tutoie aujourd’hui les 100 000 dollars, avant parfois de plonger sans prévenir.
Les milliardaires, eux, ne s’y trompent pas. Elon Musk et Donald Trump, figures aussi controversées qu’influentes, soutiennent ouvertement cette nouvelle économie. Pourtant, leur intérêt soulève des questions. Ces mastodontes des affaires poussent-ils pour démocratiser l’accès à ces monnaies, ou pour concentrer davantage de richesses et de pouvoir entre leurs mains ? Pendant ce temps, des investisseurs peu avertis se laissent séduire par des promesses de gains astronomiques, souvent au prix de pertes colossales. L’Europe et la France, quant à elles, avancent prudemment. Si des régulations commencent à émerger, elles semblent encore loin de répondre aux défis que posent ces actifs numériques. Les cryptomonnaies pourraient-elles à terme supplanter l’euro ou le dollar ? Et surtout, à qui profiterait cette dématérialisation totale, dans un monde où une part significative de la population n’a même pas accès à un compte bancaire ? Les cryptomonnaies incarnent une vision d’avenir aussi excitante qu’inquiétante. Si elles offrent un potentiel de modernisation et de décentralisation, elles demeurent un outil entre les mains de ceux qui maîtrisent leurs règles complexes. La question reste entière : la révolution numérique de l’argent sera-t-elle un pont vers plus de justice économique, ou un nouveau levier de domination pour les élites financières ? ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11. MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, AVF - Ville de Limoux 📱Téléchargez notre application C 11 . MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude, c’est le média qui vous donne la parole 📌 Découvrez notre filactu 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #aude #citoyen LIMOUX : DES FESTIVITÉS DE NOËL ATTENDUES MAIS UNE PROGRAMMATION QUI INTERROGE Du samedi 14 décembre au dimanche 5 janvier, la place de la République de Limoux se transformera en cœur battant des célébrations de Noël. Entre marchés gourmands, ateliers créatifs, concerts et parades, la municipalité promet onze jours d’animations pour petits et grands. Une initiative ambitieuse, mais qui, pour certains commerçants et habitants, arrive trop tardivement. UNE PROGRAMMATION FESTIVE POUR TOUTES LES GÉNÉRATIONS C’est la Maison des Vins qui lancera les festivités ce samedi 14 décembre avec un marché de Noël incontournable. Artisans, vignerons et professionnels des métiers de bouche investiront l’allée des Marronniers de 11 heures à 19 heures. La décision de lancer les festivités de Noël avec un lancement par la Maison des Vins soulève des interrogations quant à la cohérence du message envoyé aux familles. Si l'événement se veut festif et rassembleur, notamment pour les enfants, la présence prédominante de stands dédiés à la dégustation d'alcool introduit un paradoxe troublant. Le cadre, pensé pour célébrer la magie de Noël, perd de sa dimension familiale lorsque l’on observe, aux abords des cafés de la place de la République, des adolescents visiblement imprégnés d’une ambiance peu adaptée à leur âge. Ce mélange entre animations pour enfants et consommation d’alcool pourrait être perçu comme un manque de discernement des organisateurs, qui risquent d’alimenter un phénomène préoccupant : la banalisation de l’alcool auprès des jeunes. À l’heure où la prévention des comportements à risque est au cœur des préoccupations de santé publique, une réflexion s’impose pour concilier festivités familiales et responsabilité sociale. Heureusement, tout au long de cette courte période, la place de la République accueillera des d'autres activités : ateliers créatifs animés par des artistes locaux, concerts de fanfares traditionnelles et de jazz, spectacles gratuits pour enfants et rencontres magiques avec le Père Noël. Les familles pourront alors profiter d’animations conçues pour raviver l’esprit de Noël, tandis que les "rares" chalets gourmands proposeront marrons grillés, fruits de mer et vins de saison. Moment phare de ces festivités, la grande parade de Noël, prévue le lundi 23 décembre, promet une descente aux flambeaux féérique entre la porte Jean-Jaurès et la place centrale. Un feu d’artifice viendra clôturer cette soirée exceptionnelle. UN DÉMARRAGE TARDIF QUI SUSCITE DES CRITIQUES Malgré cette programmation, certains commerçants du centre-ville peinent à cacher leur frustration. À dix jours seulement de Noël, beaucoup regrettent un calendrier tardif qui ne permet pas de capter l’afflux de visiteurs attendu durant cette période. Les comparaisons avec des villes voisines comme Castelnaudary, Carcassonne, qui ont lancé leurs festivités dès le début du mois, sont fréquentes. Pour de nombreux Limouxins, ce retard entraîne une « désertification » du centre-ville au profit de communes plus dynamiques et attractives. « Rien n’a été véritablement mis en place avant le 14 décembre. C’est un manque de vision qui pénalise nos commerces », déplore un commerçant membre de l’Union des Commerçants et Artisans de Limoux (UCAL). Une critique qui soulève des interrogations sur le rôle de l’association et sa capacité à proposer des initiatives plus innovantes pour revitaliser le centre-ville. La colère gronde chez les commerçants mais, une fois de plus, les instances organisatrices restent muettes. "Hormis la boisson et les bandas, aucune proposition originale" s'offusque un passant en lisant le programme. UNE GESTION MUNICIPALE REMISE EN QUESTION Ces critiques visent également la municipalité et son maire, Pierre Durand. Alors que les habitants aspirent à un renouveau économique et commercial, l’organisation tardive des festivités de Noël apparaît pour certains comme le reflet d’un manque de stratégie globale pour dynamiser la ville. i les animations prévues sauront, sans nul doute, ravir les familles (enfin, nous l'espérons), une question demeure : pourquoi avoir attendu la mi-décembre pour lancer ces célébrations dans une période aussi cruciale pour le commerce local ? Cette interrogation, largement partagée, place Pierre Durand face à ses responsabilités économiques. Une attente pressante des Limouxins de voir leur ville prospérer. Les prochains jours diront si l’esprit de Noël parviendra à raviver la flamme du centre-ville ou si, au contraire, cette programmation tardive restera dans les mémoires comme une occasion manquée. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci LIMOUX : LES MARCHANDS AMBULANTS D’ORANGES DIVISENT LA POPULATION Depuis plusieurs semaines, un sujet anime les discussions des Limouxins : la vente d’oranges sur des étals de fortune installés aux abords des routes. Ce phénomène, désormais récurrent, intrigue autant qu’il interroge. Après avoir occupé pendant plusieurs mois l’ancienne boulangerie La Panetière sur l’avenue du Languedoc, le marchand ambulant a décidé de changer de stratégie pour s’installer, cette fois, en plein air. D’abord situé sur le parking de son ancien local, il a récemment déménagé son étal de l’autre côté de la rue, à proximité du centre optique Optical Center. Les agrumes proposés à la vente – oranges, mandarines, citrons et kiwis – proviennent de la société espagnole Naturmar, implantée dans la province d’Alicante. Pour cette entreprise, la fraîcheur des fruits constitue un atout majeur. « Nous choisissons le meilleur moment pour cueillir notre produit », explique un responsable de Naturmar. « Grâce à la vente directe, nous maîtrisons les délais d’acheminement, pour que le client puisse bénéficier de fruits frais. En moyenne, seuls un à quatre jours s’écoulent entre la récolte et l’arrivée sur les étals. » Une démarche séduisante qui semble convaincre de nombreux consommateurs. UNE ACTIVITÉ ENCADRÉE PAR LA LOI Pour autant, la présence régulière de ces marchands ambulants pose la question du respect des réglementations en vigueur. En effet, la loi encadre strictement les ventes dites « au déballage ». Sur le domaine public – places, trottoirs ou bords de routes – les vendeurs doivent obtenir l’accord du maire, via une déclaration préalable adressée en lettre recommandée ou remise en main propre avec récépissé. Sur un terrain privé, l’autorisation municipale reste également obligatoire, la demande devant être déposée au minimum 15 jours avant le début de l’activité. La durée d’installation, elle aussi, est limitée : deux mois maximum pour un même emplacement ou local. À défaut de respecter ces conditions, les sanctions sont lourdes. Une vente sans déclaration préalable expose les contrevenants à une amende de 15 000 euros pour les personnes physiques, et jusqu’à 75 000 euros pour les sociétés. Le dépassement de la durée légale est quant à lui puni de 1 500 euros d’amende pour les particuliers et 7 500 euros pour les entreprises. UNE RÉALITÉ ÉCONOMIQUE DIFFICILE À IGNORER Interrogé sur ce changement d’emplacement, le jeune vendeur de 30 ans évoque une raison purement économique. L’occupation de l’ancien local commercial, grevée par un loyer trop élevé, n’était pas rentable pour son activité. Le passage à une vente ambulante « encadrée » lui permet de réduire ses coûts tout en continuant à proposer ses produits aux habitants. « C’est une question de survie économique », confie-t-il. « Certes, l’arrivée d’autres marchands proposant les mêmes produits nous met en concurrence, mais je reste serein : c’est ma relation avec les clients, mon sourire et mon accueil qui font la différence. » UN DÉBAT QUI NE FAIBLIT PAS Si certains habitants apprécient cette vente directe pour la qualité et la fraîcheur des produits, d’autres s’inquiètent de l’impact sur les commerçants locaux. Le débat s’intensifie alors que de nouveaux étals font leur apparition, alimentant les interrogations quant à la régularité de ces activités et leur concurrence avec les commerces traditionnels. La municipalité, quant à elle, se retrouve face à un dilemme : encourager une économie locale dynamique tout en veillant au respect des règles. Le cas limouxin, s’il n’est pas isolé, soulève des questions de fond sur la place des marchands ambulants dans les petites villes. Entre contraintes économiques et cadre légal, l’équilibre reste délicat. À Limoux, une chose est certaine : le débat autour des oranges ne fait que commencer. La guerre des oranges aura-t-elle lieu ? Affaire à suivre... ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci LIMOUX : L’INSÉCURITÉ EN HAUSSE MALGRÉ LES DISCOURS RASSURANTS DU MAIRE PIERRE DURAND L'insécurité s’installe au cœur du Limouxin, au grand dam de ses habitants. Et pourtant, la municipalité, menée par le maire Pierre Durand, s'efforce de convaincre le contraire lors d’interventions publiques ou festivités de fin d’année. Le constat est frappant : entre les discours apaisants du premier édile et la réalité sur le terrain, un gouffre semble se creuser. Les faits, eux, ne mentent pas. Ces dernières semaines, Limoux et ses environs ont été marqués par une recrudescence d'événements inquiétants : cambriolages en série au centre-ville, incursions nocturnes dans les entreprises proches de la pépinière ERECO à Pieusse, agressions sur des promeneurs, rixes violentes entre marginaux, vols de carburant, et même un trafic de stupéfiants en plein cœur de la cité. Sans parler des innombrables cambriolages des habitations de citoyens de la Cité Blanquetière ou des communes environnantes. Une spirale de violence qui met à mal le sentiment de sécurité des Limouxins. Une municipalité à contre-courant ? Face à ce climat délétère, Pierre Durand ne ménage pas ses efforts pour rassurer. L’embauche annoncée d’un nouvel agent de sécurité a été présentée comme un pas en avant vers un renforcement des effectifs sur le terrain. Mais derrière ces annonces, la réalité est tout autre : la ville ne compte que cinq agents pour veiller à la sécurité de toute la commune. Une situation jugée insuffisante et maintes fois dénoncée par l’opposition lors des conseils municipaux. Ces élus pointent du doigt un manque de moyens criant et une absence de stratégie claire pour répondre à l’insécurité grandissante. Les faits sont là et le premier magistrat de la ville, bien incapable d'y faire face. Des interventions spectaculaires, mais pour quels résultats ? Cette semaine, une intervention musclée de la gendarmerie a marqué les esprits. Sur les sites sensibles de Magrie, Les Marronniers et l’Esplanade François Mitterrand, une vingtaine d’hommes cagoulés ont opéré dans une démonstration de force sans précédent. Une initiative qui suscite des interrogations : coïncidence ou réaction à la pression médiatique exercée par les journalistes indépendants sur les réseaux sociaux ? Au-delà des effets d’annonce et des opérations spectaculaires, une question cruciale demeure : la municipalité est-elle réellement à la hauteur de la situation ? Certains y voient un simple coup de communication destiné à détourner l’attention des limites de l’action municipale face à une insécurité galopante. Une population en attente de réponses Dans ce contexte, les Limouxins restent dans l'expectative. La question de l’insécurité ne se règlera pas à coups d'annonces ou d'opérations ponctuelles, mais par une politique cohérente et durable. Une situation galopante que l'équipe municipale bien impuissante ne réussit pas à endiguer. À l’heure où les événements se multiplient, la confiance des habitants envers leurs élus vacille. Beaucoup de citoyens reprochent à Pierre DURAND ses "fanfaronnades festives" plutôt que le renforcement de sécurité sur la ville. Et puis, à bien y réfléchir, à quoi servent toutes ces caméras sur la commune ? N'étaient-elles la "solution" à ces problèmes ? Aussi, face à l'insécurité en hausse, que compte faire le maire de Limoux ? Cherchera-t-il, à poursuivre son action par des discours rassurants et voir son action politique durablement ternie ? À qui la faute ? ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci LE STATUT DES AUTO-ENTREPRENEURS EN PÉRIL : LA FNAE MONTE AU FRONT POUR DÉFENDRE UN PILIER DE L'ÉCONOMIE Depuis sa création en 2009, le régime des auto-entrepreneurs a révolutionné le paysage économique français, offrant une solution flexible pour se lancer dans l’entrepreneuriat. Pourtant, ce statut est aujourd’hui menacé par plusieurs propositions législatives, qui pourraient compromettre son avenir et fragiliser des milliers de travailleurs indépendants. DES MENACES CONCRÈTES SUR LE STATUT Le courrier de Grégoire Leclercq, adressé à ses adhérents, dresse un tableau inquiétant des attaques répétées contre le régime de l’auto-entreprise. Parmi les mesures envisagées :
Un exemple emblématique de ces menaces réside dans un récent amendement visant à diviser par deux les seuils de franchise en base de TVA. Si ce texte avait été adopté, de nombreux auto-entrepreneurs auraient été contraints de collecter et reverser la TVA, complexifiant leur gestion financière et nuisant à la rentabilité de leurs activités. LA MOBILISATION EFFICACE DE LA FNAE Face à cette situation, la FNAE a déployé une véritable contre-offensive pour défendre les intérêts des auto-entrepreneurs. En moins de 48 heures, l’association a réussi à :
Grâce à cette action déterminée et coordonnée, l’amendement a finalement été retiré. Une victoire précieuse pour les auto-entrepreneurs, mais aussi un rappel de la fragilité de leur statut face à certaines décisions politiques. UNE ASSOCIATION QUI A BESOIN DE SOUTIEN Si cette bataille a été remportée, Grégoire Leclercq rappelle que d’autres combats attendent la FNAE et les auto-entrepreneurs. Pour poursuivre cette mission, la Fédération repose uniquement sur les adhésions de ses membres. Ces contributions permettent :
Le président de la FNAE insiste sur l’importance de cette mobilisation collective : « Chaque adhésion compte. Elle donne des moyens concrets à l’association pour défendre vos droits et garantir la pérennité de votre activité. » UN ENJEU ÉCONOMIQUE MAJEURDerrière la défense du statut d’auto-entrepreneur se cache une réalité économique incontournable. Avec plus de 2 millions d’auto-entrepreneurs en France, ce régime représente un levier essentiel pour l’économie, permettant à chacun de se lancer, tester une activité ou opérer une reconversion professionnelle sans contraintes excessives. Fragiliser ce statut reviendrait à pénaliser une dynamique entrepreneuriale qui a déjà fait ses preuves. En conclusion, la défense du régime d’auto-entrepreneur est un enjeu crucial. Grâce à l’action de la FNAE et à la mobilisation des adhérents, une première menace a été écartée. Mais la vigilance reste de mise. La survie de ce statut dépend désormais d’une mobilisation collective et d’un soutien accru pour garantir la liberté d’entreprendre à tous. Adhérez et soutenir la FNAE : https://fnae.fr/auto-entrepreneur-federation/ ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci LA CFDT RASSEMBLE SES RETRAITÉS À CARCASSONNE POUR UNE RENCONTRE NATIONALE Du 25 au 27 mars 2025, Carcassonne accueillera un événement de premier plan dans le paysage syndical français. L’Union confédérale des retraités de la CFDT tiendra son assemblée générale de mi-mandat au centre des congrès du Dôme, rassemblant entre 250 et 300 participants venus de toute la France. Cette réunion, véritable carrefour d’échanges et de décisions stratégiques, sera marquée par l’intervention de Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, le 26 mars. DES THÈMES ESSENTIELS POUR LES RETRAITÉS Sous la direction de Benoît Prince, secrétaire général de l’union confédérale des retraités, cette rencontre sera l’occasion de faire le point sur les revendications en cours et les actions menées par la fédération. Au cœur des discussions : le pouvoir d’achat des retraités, une question brûlante qui a mobilisé le syndicat face au projet de loi de finances de la Sécurité sociale (PLFSS) du gouvernement Barnier. Ce dernier proposait de retarder l’indexation des retraites sur l’inflation, une mesure qui aurait amputé le budget des retraités les plus modestes. La mobilisation de la CFDT a contribué à préserver l’application de la règle légale d’indexation, assurant une revalorisation conforme à l’inflation moyenne. Les débats aborderont également des enjeux cruciaux pour les retraités, tels que le cadre de vie, l’accès aux soins, ou encore la prise en charge de la perte d’autonomie. Ces sujets, qui touchent au quotidien des 40 000 adhérents de l’union confédérale, guideront les réflexions et les actions futures. UNE MOBILISATION AU SERVICE DU LIEN SOCIAL Au-delà des chiffres et des revendications, cet événement illustre l’engagement de la CFDT pour renforcer la solidarité et le rôle actif des retraités dans la société. Qu’il s’agisse de leur implication dans les comités communaux d’action sociale (CCAS) ou de leur représentation dans les EHPAD, les adhérents entendent continuer à peser dans les débats publics. En choisissant Carcassonne, ville riche de son patrimoine et de sa capacité d’accueil, la CFDT met en lumière sa volonté de conjuguer réflexion et convivialité. Cette assemblée générale promet de tracer les grandes lignes de l’action syndicale à venir, dans un contexte où les défis économiques et sociaux se font de plus en plus pressants. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci |
Information, sport, musique, divertissement... Au delà de la fabrication et la diffusion de programmes originaux, notre mission est de former les publics à la maitrise de la communication (à partir de 11 ans) et de les faire participer aux pratiques de l'audiovisuel, en leur donnant la possibilité de s'exprimer via nos trois supports : presse, radio et télévision.
L’idée du projet C11.MEDIA est de toucher un large éventail de publics en offrant une grande variété de contenus, tout en mettant à profit le meilleur de la technologie en matière de diffusion audiovisuelle.
Pour cela, notre mission consiste à la mise en place d'une offre média "digitale" multi-support intégrant des outils de communication de proximité (presse, radio et télévision) et un puissant réseau communautaire. Mais au delà de l'aspect technique, il s'agit aussi de favoriser l'éveil des citoyens du département (Aude) par la création, la production et la diffusion de programmes audiovisuels originaux ; Donner la parole à celles et ceux qui ne l'on pas, permettant à chacun de s'exprimer sur les sujets de la vie courante ; Offrir un espace de libre expression rendant possible la prise de parole, l'argumentation, l'échange, le passage et la confrontation d'idées au travers une offre de programmes audiovisuels interactifs et contradictoires
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Janvier 2025
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