FESTIVAL DU BONHEUR : QUAND LA DANSE DE FEMI RÉVEILLE L’AUDE ET LES CŒURS Et si le bonheur pouvait se cultiver comme une vigne ? C’est le pari un peu fou de Sophie et Richard Andreelli, propriétaires du château La Villatade à Sallèles-Cabardès, qui s’apprêtent à lancer, le 24 mai, le tout premier *Festival du Bonheur*. Dans un décor naturel d’exception, ils invitent les Audois à une soirée unique, mêlant vin, émotions et mouvements du corps. Au centre de cette fête : Femi, danseur solaire venu du Bénin, star montante sur les réseaux, qui promet de faire vibrer les cœurs aussi fort que les pieds. En ces temps moroses, c’est une promesse rare : celle d’un moment suspendu, hors du tumulte, pour célébrer ce qui nous relie. Depuis leur reconversion dans la viticulture il y a dix ans, les Andreelli n’ont cessé de transformer La Villatade en un lieu vivant, inspirant, ancré dans la terre mais tourné vers les autres. Ce festival est la dernière pierre de cet édifice humaniste. “On a tous besoin de se reconnecter à l’essentiel”, affirme le couple. D’où l’idée d’un évènement ouvert, joyeux, et profondément humain. Le choix de Femi comme tête d’affiche n’est pas un hasard : formé à Angers et Paris après une jeunesse à Cotonou, il a parcouru le monde avec une seule ambition — transmettre du bonheur. Sa danse spontanée, joyeuse, sans codification rigide, transforme la rue, les cafés, les places en scènes de partage. “Je veux créer du lien, inviter chacun à lâcher prise”, explique-t-il. En quelques instants, il rassemble des inconnus autour d’un même élan. À La Villatade, ce souffle promet d’être encore plus fort, porté par la beauté des lieux et une programmation ouverte à tous. Au-delà du spectacle, cet événement pose une question simple : comment retrouver la joie dans un monde saturé d’inquiétudes ? Loin des grandes salles aseptisées, le Festival du Bonheur parie sur l’authenticité, le contact direct, la simplicité retrouvée. Une soirée comme une parenthèse, mais aussi comme une déclaration. Il ne s’agit pas de fuir la réalité, mais de la transformer, même brièvement, en terre fertile d’émotions partagées. Dans une région où les initiatives culturelles rurales se battent pour exister, cette fête pourrait bien tracer un nouveau chemin. Rassembler, célébrer, espérer — tout un programme, à découvrir pieds nus ou en pas de danse. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television LE CASSOULET CHANGE DE RECETTE : LE CHAPITEAU DISPARAÎT, LA CONFRÉRIE RÉINVENTE LA FÊTE C’est un changement qui pourrait bouleverser l’âme de la fête. Pour la première fois depuis sa création, la 24e édition de la Fête du Cassoulet à Castelnaudary se tiendra sans son emblématique chapiteau dressé place de la Liberté. Une absence qui fait grincer des dents, notamment au sein de la Confrérie du Cassoulet, pour qui cet espace symbolisait bien plus qu’un simple lieu logistique. Privée de son « cœur battant », l’organisation se voit contrainte de repenser l’événement et d’innover pour préserver l’esprit festif. À l’heure où les contraintes budgétaires redessinent les contours des traditions, c’est toute une ville qui s’interroge sur l’avenir de ses symboles populaires. Le chapiteau, véritable totem de la fête, ne reviendra pas cette année. En cause, un contrat non renouvelé avec le prestataire et un coût devenu trop élevé, selon le comité d’organisation. Le vice-président Stéphane Bergerou l’assure : poursuivre aurait alourdi la facture de 10 %, une somme difficilement absorbable. Pourtant, pour Michel Koehl, grand maître de la Confrérie, la décision a été prise « unilatéralement », sans concertation, alors même que sa structure est membre du comité. Ce désaccord marque une rupture, alimentée par l’impossibilité de se rabattre sur la halle aux Grains, déjà réservée et jugée inadéquate pour des raisons acoustiques. Le repli vers le gymnase Pierre-de-Coubertin s’est donc imposé comme une solution par défaut. Un lieu jugé trop excentré, qui rompt, selon Koehl, « l’unité » et l’« identité » même de la fête. Face à ce constat, la Confrérie a décidé de transformer le coup dur en acte de renaissance. Le gymnase sera métamorphosé en salle de banquet habillée de lumières, avec une scène centrale sur laquelle se produira la violoniste Marie Cantagrill, accompagnée d’un orchestre à cordes. Un choix artistique audacieux, symbole de résilience et de créativité. Ce tournant pose une question essentielle : jusqu’où peut-on transformer une tradition sans la dénaturer ? Si l’adaptation est parfois nécessaire, elle peut aussi susciter des fractures entre ceux qui veulent préserver l’héritage et ceux qui en redéfinissent les contours. En bousculant les codes, la fête de 2025 pourrait bien servir de test. Une édition charnière où les initiatives de la Confrérie chercheront à prouver que l’essence du cassoulet ne tient pas qu’à un lieu, mais à une volonté commune de célébrer. Encore faudra-t-il que le public suive. Car si l’esprit de fête se veut vivant, il reste fragile, dépendant d’un équilibre subtil entre mémoire collective et renouveau. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television TOQUES ET CLOCHERS À COURNANEL : QUAND UNE FÊTE DU VIN FAIT RIMER TRADITION ET MODERNITÉ Et si la vraie modernité consistait à faire revivre les traditions ? Ce week-end, Cournanel, paisible village de l’Aude, a vu affluer des milliers de visiteurs pour l’édition 2025 de Toques et Clochers, célébration emblématique du terroir et des vins de Limoux. Entre dégustations de chardonnay, restauration du clocher local et effervescence populaire, l’événement pose une question de fond : et si cette fête œnologique était, elle aussi, un rituel réinventé ? Créée en 1991, Toques et Clochers est bien plus qu’un rendez-vous viticole. Chaque année, un village différent accueille les festivités, organisées par la cave Sieur d’Arques, avec un double objectif : mettre à l’honneur les terroirs du Limouxin et financer la restauration du patrimoine local, notamment des clochers d’églises. Ce samedi, à Cournanel, la tradition a pris des airs de fête populaire. Chefs étoilés, vignerons passionnés, musiques de rue et ambiance conviviale : l’ancien et le nouveau ont cohabité avec une étonnante harmonie. Peut-on encore parler de "rituel" dans ce cadre festif ? À bien des égards, oui. Comme les fêtes d’autrefois, Toques et Clochers marque un temps fort de l’année, rassemble les habitants autour d’une mémoire collective et réaffirme un lien profond entre communauté et territoire. Mais à la différence de certaines traditions figées, l’événement évolue. Il s’ouvre à de nouveaux publics, valorise les pratiques durables dans la viticulture, et propose une lecture contemporaine de l’identité rurale. Un rituel vivant, en somme. En redonnant du sens à une fête populaire sans en gommer les racines, Toques et Clochers prouve qu’une tradition peut rester porteuse de sens dans un monde qui change. Elle interroge aussi sur notre besoin de repères, de rassemblement, de transmission. À l’heure où d’autres rituels s’effacent ou se banalisent, celui-ci rappelle qu’il est possible d’innover sans renier le passé. Et si c’était ça, la vraie modernité ? ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television UN MAÎTRE DU CRAYON À L’ÉCOLE : QUAND LA CARICATURE RÉVÈLE L’ÂME DES ENFANTS À Carcassonne, ce vendredi matin, les murs de l’école de la Gravette ont vibré d’un enthousiasme peu commun. Dans une classe de CP située aux abords de la Cité, le caricaturiste Laurent Malard, figure emblématique de la scène artistique locale, fêtait ses 35 ans de carrière en transmettant, bénévolement, son art aux plus jeunes. Un atelier pédagogique hors normes, à la croisée des chemins entre expression artistique, éveil émotionnel et mission civique. Le projet, à l’initiative du dessinateur, a séduit jusqu’à Magali Bardou, adjointe au maire de Carcassonne, venue constater l’impact de cette expérience inédite. Car au-delà des crayons et des rires, c’est bien d’éducation au regard, à l’écoute de soi et à l’autre dont il a été question. Laurent Malard n’est pas un simple dessinateur. Avec ses 35 années de coups de crayon mordants et de regards affûtés sur la société, il incarne cette forme rare d’artisan de la liberté d’expression. Ce matin-là, il n’avait pourtant rien d’un caricaturiste de presse : devant une classe aux yeux grands ouverts, il s’est lancé dans un atelier sensible, presque intime. « Nous allons dessiner notre visage à partir de nos émotions, et cela depuis un miroir », annonce-t-il. L’exercice, surprenant de simplicité, agit comme un révélateur. Joie, colère, tristesse, surprise : les enfants mettent des mots sur leurs ressentis, puis les tracent. Sans peur du ridicule, sans filtre, avec cette sincérité que les adultes oublient trop souvent. Dans la salle, la maîtresse, Carole Coll, veille avec bienveillance. Infatigable et souriante, elle jongle entre agitation et concentration, avec ce calme habité des enseignants passionnés. On parle souvent de vocation : ici, elle se voit, elle se ressent. L’atelier devient un espace d’expression libérée, d’apprentissage de soi et des autres. Les visages se dessinent, les émotions s’illustrent, et chacun repart un peu plus riche, un peu plus conscient. Ce type d’initiative interroge. Et si l’art, au-delà des salles d’exposition, retrouvait une place pleine et entière dans les écoles ? Si l’expression graphique devenait un outil pédagogique pour mieux comprendre le monde intérieur des enfants, leur offrir un langage alternatif au verbal ? L’atelier de Laurent Malard a eu cette vertu : démontrer qu’un simple crayon peut ouvrir des portes sur soi et sur les autres. Que la caricature, loin de la moquerie, peut devenir un miroir bienveillant. L’expérience, saluée par l’équipe éducative, a séduit les enfants, les élus, et tous les témoins présents. Elle mérite d’être renouvelée, étendue, valorisée. Car au cœur d’une époque parfois sourde à l’émotion et à l’imaginaire, ce sont bien ces espaces de respiration, de création et de partage qui redonnent tout son sens à l’école républicaine. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television NARBONNE ACCUEILLE LE RETOUR DU COMTE DE MONTE-CRISTO EN VERSION MUSICALE GRANDIOSE Et si la plus célèbre vengeance de la littérature française prenait vie en musique, sous les projecteurs d’une scène spectaculaire ? Le samedi 18 avril 2026, Narbonne vivra une soirée hors du commun avec « La Légende de Monte-Cristo, le Musical », adaptation flamboyante du chef-d’œuvre d’Alexandre Dumas. Un pari audacieux pour un monument littéraire, que les créateurs du spectacle promettent aussi épique qu’émouvant, mêlant drame historique, amour contrarié et quête de justice. L’Arena de Narbonne, habituée aux concerts et aux grandes représentations sportives, devient ainsi le théâtre d’une fresque musicale nationale dont le souffle s’annonce romanesque. Mis en scène par Serge Postigo, « La Légende de Monte-Cristo » s’inscrit dans une nouvelle génération de comédies musicales françaises à grand spectacle. Les producteurs promettent des décors somptueux, des chorégraphies dynamiques et une bande-son pensée pour marquer les esprits. Sur scène, le chanteur suisse Gjon’s Tears, révélé par l’Eurovision, prêtera sa voix au tourmenté Edmond Dantès, tandis que Philippine Lavrey incarnera la douce Mercédès. La distribution est ambitieuse, tout comme le projet, qui débutera sa tournée à travers les grandes villes françaises, avec un passage remarqué à Narbonne. Un choix loin d’être anodin : le territoire audois partage déjà une part d’histoire avec le Comte de Monte-Cristo. Le récent tournage de la version cinématographique avec Pierre Niney a investi le décor naturel du château Pech Redon, dans le massif de la Clape, à quelques kilomètres seulement de l’Arena. Une résonance locale qui renforce le lien entre fiction et territoire, patrimoine littéraire et mémoire vivante. Ce retour scénique d’un classique pose néanmoins une question contemporaine : la comédie musicale, art souvent associé au divertissement, peut-elle aussi porter avec justesse les thèmes profonds du roman — trahison, rédemption, justice sociale ? Par la force de la mise en scène et le charisme des interprètes, le spectacle pourrait offrir une relecture moderne de la vengeance éclairée, dans un monde toujours avide de justice. À l’heure où les récits d’injustices ressurgissent dans l’actualité, cette légende revisitée trouve un écho saisissant. En invitant à réfléchir sur les ressorts du pardon et du pouvoir, « La Légende de Monte-Cristo » promet plus qu’un divertissement : une expérience émotionnelle et esthétique, au cœur d’une ville qui devient, le temps d’une soirée, l’écrin d’un mythe éternel. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television LE HBCC FAIT CARTON PLEIN AVEC SON LOTO FESTIF Vendredi soir, au foyer de Montredon à Carcassonne, plus de 200 personnes ont répondu présent au traditionnel loto du Hand Ball Club Carcassonnais (HBCC). Entre tirages, éclats de rire et cris de victoire, l’événement a rassemblé licenciés, familles et amis dans une ambiance festive et chaleureusement intergénérationnelle. Porté par l’énergie communicative d’Olivier San Vicente, vice-président du club, ce rendez-vous s’est affirmé comme un moment phare de la vie associative carcassonnaise. Derrière les lots généreux — demi-agneaux, jambons, magrets, Air Fryer ou repas offerts par les commerçants locaux —, c’est toute une organisation bien huilée qui s’est mise en marche. Mais plus que les gains, c’est l’esprit d’équipe qui s’est illustré. En témoignent les sourires des joueuses venues en nombre, notamment autour de la table des féminines, victorieuses et rayonnantes. « C’est une autre façon de représenter le club, en dehors du terrain, dans une ambiance familiale », confient-elles à C11.MEDIA. Dans un contexte où les clubs amateurs peinent à joindre les deux bouts, ce type d’initiative prend tout son sens. En mêlant soutien financier et lien social, le HBCC prouve que la force d’un club ne réside pas uniquement dans les résultats sportifs, mais aussi dans sa capacité à rassembler, à créer du lien, et à faire vivre ses valeurs bien au-delà des limites du terrain. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television TOQUES ET CLOCHERS À LIMOUX : QUAND LE CLIMAT FAIT TREMBLER LES ENCHÈRES La fête était belle, mais l’enthousiasme n’a pas suffi. À Limoux, ce vendredi 11 avril, la 36e édition de Toques et Clochers s’est ouverte sur un constat amer : les ventes aux enchères, point d’orgue de l’événement œnologique, sont en baisse. En cause, une production fragilisée par les aléas climatiques, mais aussi une conjoncture économique tendue qui refroidit les acheteurs. Au total, 74 fûts ont été présentés cette année contre 82 en 2024, et 99 en 2023. Une érosion qui interroge : que restera-t-il demain de cette tradition, si la vigne elle-même chancelle ? Sur les hauteurs de Limoux, le stade de l’Olympie s’est transformé en théâtre éphémère du vin, entre tribunes, jeux de lumières et caméras en continu. Près de 85 acheteurs, venus de toute l’Europe, ont tenté d’acquérir les meilleurs crus de chardonnay du terroir. Mais les enchères ont souvent peiné à décoller. Si certains lots ont créé de belles envolées – à l’image de ceux acquis par le maire Pierre Durand (6 600 € puis 6 200 €) ou par le conseiller départemental Alain Ginies (5 800 €) – l’ambiance globale est restée prudente. À l’arrivée, le chiffre d’affaires plafonne à 440 000 €, soit 9 000 € de moins que l’an passé, et près de 47 000 € de moins qu’en 2023. Un repli significatif pour un événement qui, au fil des ans, s’est imposé comme une vitrine de l’excellence viticole audoise. Mais au-delà des chiffres, c’est un signal d’alarme que tirent les vignerons. "On dépend de la nature", a rappelé Pierre-Louis Farges, président de la cave coopérative Sieur d’Arques. Sécheresse persistante, épisodes de grêle à répétition, vendanges réduites… Les récoltes souffrent, et l’offre s’en ressent. Le vin se fait rare, plus cher à produire, plus difficile à vendre. Face à cela, la question n’est plus seulement économique, elle devient structurelle : comment maintenir une viticulture de qualité dans un contexte climatique de plus en plus instable ? Et quelles réponses collectives apporter pour préserver ce patrimoine rural et culturel ? Cette 36e édition, parrainée par trois figures emblématiques de l’art et de la gastronomie, aura su rappeler l’importance du lien entre terre, vin et culture. Mais elle laisse aussi entrevoir un avenir incertain, où la passion seule ne suffira plus à sauver les clochers. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television DANS L’ANCIENNE BANQUE DE FRANCE, LA VILLE OUVRE UN LIEU POUR LES ARTISTES D’AUJOURD’HUI Dans une ville réputée pour ses remparts médiévaux, c’est une toute autre forteresse qui se prépare à accueillir les artistes : celle de la création contemporaine. À partir du 5 juin, Carcassonne inaugure son nouveau centre d’art dans les anciens locaux de la Banque de France. Un projet ambitieux, porté par la municipalité, qui entend conjuguer patrimoine et modernité, et faire dialoguer les siècles à travers le regard d’artistes venus d’ici et d’ailleurs. Mais au-delà des bonnes intentions, ce nouveau lieu culturel peut-il vraiment transformer le visage artistique de la ville ? L’idée est claire : faire de cet espace un laboratoire de création vivant. Chaque année, trois artistes — un local, un national et un international — seront invités en résidence durant deux mois et demi, pour travailler sur une thématique unique. En 2025, le fil conducteur sera le patrimoine. Et sur ce terrain, Carcassonne ne manque pas d’arguments : la cité médiévale, inscrite à l’Unesco, ses forteresses cathares, son riche passé archéologique, mais aussi un patrimoine plus discret — naturel, technique, immatériel. L’objectif : croiser les regards, provoquer l’émulation, tisser des liens entre des univers artistiques distincts. La résidence sera suivie d’une exposition collective, ouverte au public du 22 août au 22 septembre. Des ateliers, des rencontres, des temps de médiation viendront rythmer la vie du centre pour rendre l’art plus accessible. La mairie veut en faire un projet structurant pour le territoire. Et les moyens semblent suivre. Les travaux de réhabilitation des lieux avancent rapidement. Une scénographie est prévue pour valoriser les œuvres exposées. Le collectionneur catalan Jacques Font aurait proposé de mettre à disposition pas moins de 500 œuvres. La place de la photographie, souvent marginalisée, sera aussi renforcée dans la programmation. Mais la réussite de ce projet dépendra de sa capacité à s’ancrer localement. Carcassonne, ville touristique, manque encore d’un véritable pôle culturel ouvert à l’expérimentation et à l’échange. Cette initiative peut combler ce vide, à condition qu’elle ne reste pas réservée à une élite culturelle. L’enjeu est double : créer un lieu vivant pour les artistes, mais aussi pour les habitants. À l’heure où de nombreuses communes peinent à maintenir une offre culturelle ambitieuse, Carcassonne prend le pari de la création contemporaine comme vecteur de dynamisme et de rayonnement. Ce centre d’art, s’il tient ses promesses, peut devenir une vitrine du territoire autant qu’un incubateur de talents. Mais il devra faire ses preuves, dans la durée, en conciliant exigence artistique et ouverture au plus grand nombre. La culture, ici, n’est plus un décor : elle devient une force active, au cœur de la ville. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television CARCASSONNE ACCUEILLE LE LANCEMENT D’UNE PLATEFORME DE STREAMING DE DROITE Ce 24 avril, Carcassonne deviendra le théâtre d’un événement politique et médiatique singulier : le lancement de *Frontières+*, une nouvelle plateforme de streaming revendiquée comme « la première de droite ». Une initiative inédite dans le paysage numérique français, qui interroge sur la place grandissante des médias alternatifs engagés, dans un climat politique toujours plus polarisé. Derrière cette opération se dessinent des figures bien connues de la droite médiatique : Erik Tegnér, ex-chroniqueur sur CNEWS, aujourd’hui directeur de la rédaction de *Frontières+*, mais aussi Baudouin Wisselmann, fraîchement nommé rédacteur en chef, après un passage à la tête de *Valeurs Actuelles*. À leurs côtés, le vidéaste Jordan Florentin, popularisé pour ses immersions musclées au cœur des manifestations, notamment celles des Gilets Jaunes. La conférence, organisée à Carcassonne à 18 h, promet d’aborder sans détour les thématiques chères à cette frange idéologique : identité, sécurité, liberté d’expression… Un apéritif dînatoire à 25 euros – facultatif – suivra la rencontre. L’événement, porté localement par l’association *Réunis pour l’Aude* et soutenu par la *Droite Unie du Gard*, traduit une volonté de structuration d’un contre-pouvoir médiatique face aux grandes chaînes jugées « trop conformistes » ou « politiquement correctes » par ses promoteurs. À l’instar d’initiatives similaires en Europe ou aux États-Unis, *Frontières+* entend donner la parole à une droite décomplexée, souvent marginalisée dans les médias traditionnels. Mais cette volonté d’« offrir un autre récit » soulève aussi des inquiétudes : jusqu’où peut aller cette forme de journalisme militant ? Quelle rigueur éditoriale pour des plateformes à fort parti pris ? Et surtout, quelle influence sur les jeunes générations, friandes de contenus alternatifs en ligne ? À l’heure où les lignes entre journalisme, opinion et activisme deviennent de plus en plus floues, ce lancement à Carcassonne marque un tournant. Il révèle la montée en puissance d’une droite en quête de visibilité, mais aussi la mutation du paysage médiatique vers une segmentation plus idéologique. Face à cette nouvelle donne, le public, comme les professionnels de l’information, devra redoubler de vigilance critique pour distinguer le fait de l’opinion, le débat du dogme. Inscriptions auprès de l’association « Réunis pour l’Aude » 10 € Conférence 25 € Apéritif dînatoire Inscription et paiement obligatoire avant le 17 avril Par IBAN: FR76 1660 7003 3758 2215 4783 757 Par chèque à l'orde de RPA à l'adresse: Nicole Mouche Villa 56. Clos St-Hubert. 2 Bis Chemin de la chasse. 11000 BERIAC Confirmer par SMS: 06 22 64 08 55 ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television MONTOLIEU, VILLAGE DE CRÉATION : TROIS JOURS POUR CÉLÉBRER L’ART SOUS TOUTES SES FORMES Et si l’art contemporain avait trouvé son havre au cœur de l’Aude ? Pendant trois jours, le village de Montolieu se transforme en un immense espace d’exposition à ciel ouvert à l’occasion de la 10e édition de la Journée mondiale de l’art. Du 11 au 13 avril, 51 artistes investissent galeries, ateliers et lieux insolites, invitant le public à découvrir la richesse et la diversité de la création contemporaine. Une effervescence artistique dans un village de moins de 900 habitants, devenu, au fil des années, un symbole de la vitalité culturelle en milieu rural. Choisie en hommage à Léonard de Vinci, dont l’anniversaire de naissance est célébré le 15 avril, cette Journée mondiale initiée par l’Association internationale de l’art (IAA) et reconnue par l’Unesco, se veut un hommage global aux artistes du monde entier. À Montolieu, ce rendez-vous prend des allures de manifeste : ici, l’art n’est pas un luxe réservé aux grandes métropoles, mais un mode de vie, un moteur de lien social. Dans les rues pavées, les ateliers ouvrent leurs portes, les sculptures côtoient les photographies, les broderies dialoguent avec la céramique, et la peinture se mêle à la vidéo. Chaque lieu devient prétexte à l’échange, à la surprise, à la contemplation. Des animations viennent rythmer la fête : ateliers participatifs, spectacles vivants, lectures poétiques et concerts tissent une programmation accessible, joyeuse et résolument ouverte. Au-delà de l’événement, Montolieu interroge. Comment un si petit village peut-il porter à lui seul une ambition artistique de cette ampleur ? Quelle place accorde-t-on à la culture dans nos territoires ruraux ? L’expérience montolivienne montre qu’une politique culturelle audacieuse, enracinée localement, peut engendrer une dynamique touristique, économique et humaine. Elle rappelle aussi que l’art, lorsqu’il est partagé, devient vecteur d’identité, de dialogue et de résilience. En faisant le choix de l’ouverture, Montolieu nous invite à repenser notre rapport à la création et à réaffirmer le rôle de l’art comme ciment social. Une leçon de beauté… et de lucidité. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television COURSAN FLEURI, UN DIMANCHE POUR CÉLÉBRER LA NATURE ET LES SAVOIRS LOCAUX Dans un monde qui court toujours plus vite, Coursan fait le choix de ralentir et de se reconnecter à l’essentiel. Ce dimanche 13 avril, de 8h à 17h, la 10e édition de Coursan Fleuri transformera la place Tailhades en un vaste jardin à ciel ouvert. Entre parfums enivrants, couleurs éclatantes et saveurs locales, la manifestation s’impose comme un hymne à la nature, au vivant et aux savoir-faire enracinés dans les terres de l’Aude. Une respiration, mais aussi une conviction : celle qu’un autre rapport à la consommation, au temps et à l’environnement est possible. Organisée par Coursan Information Patrimoine en partenariat avec les Marchés des Producteurs de Pays, la chambre d’agriculture, la Ville de Coursan et le Grand Narbonne, cette journée festive réunira horticulteurs, pépiniéristes et artisans d’art autour d’un même mot d’ordre : qualité et proximité. Les exposants, engagés dans une charte rigoureuse, proposeront des produits locaux, de saison, en circuit court. Fruits, légumes, fleurs, confitures, fromages ou créations manuelles... Ici, tout est fait avec soin, patience et respect. C’est aussi ce qui confère à l’événement son authenticité, son enracinement dans un territoire riche de diversité. Mais Coursan Fleuri ne se limite pas à un marché. C’est une fête des sens et une école à ciel ouvert. Pour les enfants, la journée s’annonce inoubliable. La ferme pédagogique des ânes de Plagnoles proposera animations gratuites, spectacles et ateliers tout au long de la journée. Traite de la chèvre, biberon à l’agneau, brossage de poneys, quiz animaliers et ronde tendresse avec les poussins... L’apprentissage se fait par l’émotion, la curiosité et le contact direct avec le vivant. Un contrepoint précieux à une époque où le lien entre les générations et la nature se distend trop souvent. L’espace restauration, quant à lui, mettra à l’honneur les assiettes des producteurs, gages d’un terroir généreux et accessible. Au fond, Coursan Fleuri n’est pas seulement un rendez-vous bucolique : c’est un manifeste tranquille pour une société plus douce, plus locale, plus respectueuse du vivant. Un moment suspendu, à la croisée du patrimoine, de l’éducation et du plaisir. En célébrant la beauté simple des fleurs, le travail des mains et la complicité entre l’homme et l’animal, la commune de Coursan rappelle qu’il est encore possible de cultiver un avenir durable — à condition d’en semer dès maintenant les graines. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television UNE TEMPÊTE MUSICALE S’ABAT SUR LE BAL À AUDE : ROCK, FOLK ET ÉNERGIE PURE AU PROGRAMME Préparez-vous à faire trembler les murs. Ce samedi 12 avril, le Bal à Aude s’apprête à vibrer au rythme de guitares furieuses, de mélodies irlandaises déchaînées et d’un blues sauvage né dans les bois. La soirée "Rock the Wild", orchestrée par l’association Music’al sol, promet une immersion électrique dans un univers où le rock, le folk, le punk et les traditions celtiques fusionnent pour ne faire qu’un. Une date unique pour les amateurs de musique vivante, engagée, rugueuse… et festive. À 21 heures, le rideau s’ouvre sur Jacob Wild, véritable phénomène de scène. Seul sur les planches, l’homme-orchestre tout droit sorti d’une cabane perdue dans l’Hérault construit un mur de son à lui seul. Chanteur, guitariste, percussionniste et harmoniciste, il incarne ce "Wild blues" qui mêle l’énergie du rock garage à la rudesse du blues originel. Entre reggae, dub et hip-hop, il déchaîne une énergie brute et sincère, façonnée loin du tumulte, sur un terrain hors réseau, comme pour mieux en revenir armé d’une musique libre et indomptable. Un choc scénique, taillé pour faire lever les foules. Et ce n’est que le début. Car à 22 h 30, place aux Booze Brothers, légendes locales d’un genre à part : l’irish trad punk. Un mélange explosif où la fougue du punk-rock rencontre l’âme dansante de la musique celtique. Violon, flûtes, bodhràn et accordéon s’emballent au son des guitares électriques, pour un concert où l’on chante, on tape du pied, et surtout, on partage. Formé en 1999, le groupe incarne une énergie populaire, joyeuse, fédératrice. Une musique de fête, mais aussi de résistance, qui réunit les générations dans une même pulsation. Le Bal à Aude, pour l’occasion, se transformera en salle de concert à part entière, avec déco écoresponsable, espace chill, "carezone", bar bio et repas locaux. Un écrin engagé pour une soirée résolument libre. Dans un contexte où les lieux culturels indépendants luttent pour exister, cette soirée est bien plus qu’un enchaînement de concerts : elle interroge notre rapport à la fête, à la musique vivante, au collectif. Comment maintenir cette vitalité culturelle hors des grandes métropoles ? Comment soutenir ceux qui, comme Music’al sol, bâtissent du lien social par le son et l’accueil ? "Rock the Wild" n’est pas qu’un slogan : c’est une réponse. Musicale, solidaire et nécessaire. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television QUAND LE HBCC RÉINVENTE LE SPORT EN MISANT SUR LE LIEN INTERGÉNÉRATIONNEL Et si le salut du sport amateur passait par le jeu, le partage… et le lien entre les générations ? Ce vendredi 11 avril à 20h, le Handball Club Carcassonnais (HBCC) organise un grand loto au foyer de Montredon. Un rendez-vous festif, certes, mais surtout un acte de résistance joyeuse. Face à la fragilité croissante du tissu associatif local, le club choisit de se réinventer, en rassemblant petits et grands autour d’un événement où se croisent chance, rires, entraide… et transmission. Dans la salle, les numéros s’aligneront sur les cartons, mais ce sont surtout les visages qui se rencontreront. Enfants, parents, grands-parents, bénévoles et passionnés de handball partageront un même moment, où les générations ne sont plus cloisonnées mais réunies. Derrière les lots – volailles, jambons, appareils électroménagers – se joue une autre richesse : celle du vivre-ensemble. Car dans une société fragmentée, ces soirées ont le mérite de retisser du lien, de créer des passerelles là où les âges parfois s’ignorent. Le HBCC, comme tant d’autres clubs, ne peut plus compter uniquement sur les financements institutionnels. Il doit puiser dans l’imagination collective, faire appel aux ressources humaines, sociales, affectives. Le loto devient alors plus qu’un outil de financement : un levier d’avenir. Un modèle de résilience où le sport se mêle à la solidarité, où la convivialité devient stratégie. Ce vendredi soir, les chiffres tirés auront peut-être moins d’importance que les regards échangés entre générations. Et c’est peut-être là que réside, pour le handball carcassonnais, la plus belle des victoires. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television LE SPECTACLE DE LA DANSE ACROBATIQUE PREND SES QUARTIERS À CARCASSONNE Ce samedi 17 mai 2025, Carcassonne vibrera au rythme du rock acrobatique et du boogie-woogie. La Halle aux sports Nicole Abar, située dans le quartier des Capucins, accueillera dès 10h une grande compétition de danse organisée sous l’égide de la Fédération Française de Danse. Un rendez-vous haut en couleurs, mêlant performance sportive et expression artistique, qui promet d’embraser les planches de la cité audoise. Ouvert à tous les publics, cet événement mettra en lumière des duos et trios de danseurs venus démontrer leur maîtrise du rock artistique et acrobatique, ainsi que du boogie-woogie, une discipline au style swing endiablé. L’affiche annonce des figures spectaculaires, entre portés vertigineux, enchaînements millimétrés et énergie contagieuse. Pour les plus jeunes (moins de 12 ans), l’entrée est fixée à 4 € ; les licenciés de la FFD paieront également 6 €, tandis que les non-licenciés devront s’acquitter de 8 €. Une tarification accessible, pour un moment de spectacle vivant hors du commun. Soutenue par plusieurs partenaires dont la Ville de Carcassonne, le Département de l’Aude, la Région Occitanie, la commune de Cazilhac ou encore Decathlon, cette journée est aussi une vitrine du dynamisme associatif local. Organisé par l’association Danse and Music 11, l’événement reflète l’enthousiasme croissant pour les danses sportives, disciplines exigeantes mais fédératrices. Alors que les beaux jours reviennent, cette compétition invite à redécouvrir la danse comme un art de vivre, entre rigueur et plaisir, effort et légèreté. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television SA MAJESTÉ EST MORTE, VIVE LE CARNAVAL ! LE BÛCHER FINAL D’UNE ÉDITION 2025 INOUBLIABLE À LIMOUX Il a fallu le feu pour clore la fête. Ce dimanche, peu avant minuit, Sa Majesté Carnaval a été livrée aux flammes sous les acclamations – et parfois les larmes – de ceux qui, pendant dix semaines, ont fait battre le cœur de Limoux au rythme des masques, des fanfares et des confettis. Dans la tradition limouxine, la mise à mort du roi du carnaval n’a rien de sinistre. Elle consacre une fin, oui, mais surtout un accomplissement : celui d’une édition 2025 considérée par beaucoup comme l’une des plus vibrantes de ces dernières années. Entre ferveur populaire, créativité débordante et affluence record, cette Nuit de la Blanquette a été le point d’orgue d’un millésime que certains n’hésitent déjà plus à qualifier d’exceptionnel. La bande du Paradou, chargée de cette ultime journée, a su conjuguer allégresse et émotion. Jusqu’au bout, les fécos – ces figures emblématiques du carnaval de Limoux – ont animé les rues avec un sens de la fête et du spectacle salué par tous. Mais au-delà de la performance artistique, c’est le souffle collectif qui impressionne. L’engouement ne s’est jamais essoufflé durant ces dix week-ends. Dès les premières sorties, le public, local et touristique, a répondu présent. Les travestis colorés et les fanfares improvisées ont captivé petits et grands, renforçant ce lien unique entre le carnaval et son territoire. Fait marquant : la présence accrue de visiteurs venus d’ailleurs, séduits par cette tradition vivante, résolument ancrée mais ouverte sur le monde. Le carnaval de Limoux réussit ce que peu de fêtes populaires parviennent à maintenir : un équilibre entre mémoire et modernité. La transmission des gestes, des costumes, des chants – parfois en occitan – se fait sans rupture. Les jeunes y trouvent leur place autant que les anciens. La diversité des participants comme des spectateurs témoigne d’un événement profondément inclusif. Et alors que certains critiquent encore son exubérance ou sa durée, les chiffres et les ressentis tracent une autre réalité : celle d’un carnaval qui fédère, qui attire, qui fait du bien. La mise à mort symbolique de Sa Majesté ne clôt pas un cycle, elle en ouvre un autre. Dès demain, dans l’ombre des cafés et des caves à blanquette, les idées germeront déjà pour 2026. Car à Limoux, le carnaval n’est jamais tout à fait terminé. ______________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television À CARCASSONNE, L’HÔTEL MERCURE INVITE À L’ART ET À LA CONVIVIALITÉ Peut-on faire rimer hôtellerie de luxe, création artistique et lien social ? À Carcassonne, le pari est lancé. À travers son tout nouveau programme intitulé « Les rencontres bons et vivants », l’hôtel Mercure quatre étoiles entend bien élargir sa vocation, au-delà de l’accueil soigné des voyageurs. L’objectif assumé : transformer les lieux en espace de vie ouvert à la culture, aux échanges, et à la découverte des talents locaux. Une initiative singulière dans un territoire où l’offre artistique peine parfois à trouver des vitrines accessibles au grand public. Derrière cette ambition, une volonté forte portée par la directrice d’exploitation, Jessica Abdoune. Consciente de la richesse du tissu culturel local, elle souhaite donner une nouvelle respiration à l’établissement en mettant en valeur artistes et savoir-faire régionaux. Premier événement de ce programme pluriel : l’exposition picturale « Dualité contrastée » de Fanny Debez, visible du 9 avril au 20 juin. Originaire de Carcassonne, cette artiste née en 1981 présente trois collections singulières – « Crazy Pink », « Encre de Chine », et « Ombres fugitives » – à la croisée de l’abstraction et de l’intuition. Des œuvres hautes en couleur ou tout en nuances, toujours habitées d’une même sensibilité. À travers une gestuelle libre et une esthétique viscérale, Debez invite le regard à se perdre et à ressentir. Une démarche qui s’inscrit pleinement dans l’esprit des « Rencontres » : partager une émotion, provoquer une curiosité, ouvrir les portes. Au-delà de cette première exposition, l’hôtel entend proposer régulièrement des rendez-vous mêlant culture, gastronomie et art de vivre. Une manière de faire vivre autrement le patrimoine local, d’attirer une clientèle nouvelle, mais aussi d’ancrer durablement l’établissement dans le paysage Carcassonnais. L’enjeu est aussi économique : valoriser les talents locaux, donner à voir sans imposer, et faire d’un hôtel un véritable lieu de passage culturel. En filigrane, une question demeure : et si les hôtels devenaient les nouvelles galeries du quotidien, les relais de proximité d’une culture vivante et accessible ? Avec « Les rencontres bons et vivants », le Mercure de Carcassonne tente une réponse audacieuse. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television À LIMOUX, LE CARNAVAL REMONTE LE TEMPS AVEC CASIMIR, DOROTHÉE ET UNE BONNE DOSE DE DÉCALÉ Un salon d’épilation en pleine rue, Dorothée acclamée sur une estrade, Casimir qui surgit au coin d’une place, et des rappeurs qui sèment la zizanie... Ce samedi à Limoux, le carnaval a pris des airs de télévision des années 80, mêlant nostalgie populaire, satire sociale et quelques couacs imprévus. Une démonstration éclatante de l’identité carnavalesque limouxine, capable de faire rire, réfléchir et parfois même grincer des dents. Tout commence avec la bande des Jouves, descendue de la rue Jean-Jaurès pour ouvrir un salon éphémère, mi-cabine d’esthétique, mi-scène burlesque. À coups de cire, de mousse et de commentaires piquants, les carnavaliers s’en sont pris au poil sous toutes ses formes, transformant les passants en cobayes volontaires d’une joyeuse épilation publique. Un sketch maîtrisé, drôle, un brin corrosif, dans la pure tradition locale, où le ridicule devient un art de vivre. Loin d’être anodine, cette mise en scène moque les standards esthétiques et questionne, au fond, les diktats de l’apparence dans une société de plus en plus obsédée par le corps lisse. Mais c’est sur la grande estrade que le public s’est massé en nombre pour retrouver les figures mythiques de la jeunesse télévisée. Dorothée, entourée des personnages cultes du Club qui a bercé des millions d’enfants, a ravi les nostalgiques. Dans un décor volontairement kitsch, la chanteuse a enchaîné les tubes sous les applaudissements. L’ambiance bon enfant a toutefois été ternie par une intrusion aussi bruyante qu’imprévue : des jeunes artistes, grimés en rappeurs de cité, ont interrompu la performance, déclenchant un début d’altercation. Un incident isolé mais révélateur d’un choc de références, entre culture urbaine contemporaine et mémoire télé des Trente Glorieuses. Le retour à l’ordre fut assuré par l’apparition de Casimir et des Biomans, ovationnés comme de vraies rock stars. Si l’on peut regretter les débordements, ce moment de carnaval traduit à merveille l’essence même de la fête limouxine : irrévérencieuse, populaire, subtilement politique. Les fécos savent manier la mémoire collective comme un miroir tendu à notre époque. Car derrière les rires et les déguisements, le carnaval pose une vraie question : que reste-t-il de notre enfance partagée, dans une société toujours plus fragmentée ? En réactivant des icônes oubliées, Limoux rappelle que la culture commune, même surannée, reste un ciment puissant. Mais encore faut-il savoir en rire ensemble. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television TATOUAGES, PASSION ET CRÉATIVITÉ : NARBONNE FAIT LE PLEIN D’ENCRE POUR UN WEEK-END SOUS HAUTE INSPIRATION Et si l’encre sous la peau racontait bien plus qu’une histoire personnelle ? Ce week-end, le Parc des expositions de Narbonne se transforme en temple de l’art corporel à l’occasion de la 7ᵉ convention de tatouage, orchestrée par l’association Occitania Events. Près de 80 artistes venus de France et d’ailleurs y poseront leurs aiguilles, sous le thème évocateur « Entre tradition et innovation, le retour aux sources ». Un slogan qui n’a rien d’anodin : il illustre la volonté de réconcilier les racines millénaires du tatouage avec ses formes les plus contemporaines. Du polynésien ancestral au réalisme hypermoderne, du tatouage manuel à la machine dernier cri, la convention narbonnaise célèbre la diversité d’un art en constante évolution, mais toujours habité par la même quête : celle de l’expression individuelle. L’événement, qui draine chaque année près de 3 000 visiteurs, ne se contente pas d’enchaîner les flashs sur peau nue. Il propose une immersion totale dans une culture vivante, avec des concours de tatouages, des animations pour petits et grands, des concerts éclectiques et des stands de créateurs. Les amateurs d’objets alternatifs y croiseront designers, bijoutiers, illustrateurs et tatoueurs à la main, tandis que la scène vibrera aux sons d’Ayell ou du groupe rock Crazy Pug. Et pour prolonger la fête, un partenariat avec la discothèque L’Imprévu permettra aux noctambules de continuer la soirée dans une ambiance plus électrique encore. En toile de fond, un mot d’ordre : accessibilité. Tarifs réduits, entrée gratuite pour les mineurs et les personnes en situation de handicap, programmation familiale et absence assumée de contenus jugés vulgaires. Une manière pour les organisateurs de défendre une vision inclusive et respectueuse de la culture tatouage, loin des clichés sulfureux ou des excès esthétisants. Mais au-delà du spectacle, c’est bien la portée sociale et artistique de la convention qui interroge. Le tatouage, longtemps marginalisé, s’impose désormais comme un acte esthétique à part entière, voire comme une revendication identitaire. Il interpelle notre rapport au corps, à la mémoire, à la douleur parfois, mais aussi à la liberté. Dans un monde où l’image se consomme plus vite qu’elle ne s’imprime, le tatouage rappelle qu’un geste, une marque, peut encore dire quelque chose de durable. À Narbonne, cette rencontre entre artistes, curieux et passionnés prend des allures de manifeste joyeux. Une preuve que la culture, lorsqu’elle sait être à la fois enracinée et audacieuse, touche juste — et en profondeur. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television 137 PROJETS EN LICE : LE BUDGET CITOYEN DE L'AUDE ENTRE DANS SA PHASE DE VOTES C’est une étape décisive pour la démocratie locale. Depuis le 1er avril 2025, les Audois ont jusqu’au 30 avril pour faire leur choix parmi 137 projets portés par des associations de leur département. Cette troisième édition du budget citoyen, lancée ce lundi 31 mars par Hélène Sandragné, présidente du Département, et ses élus, marque un tournant. L’objectif est clair : favoriser l’implication des citoyens dans la gestion des finances publiques, tout en répondant aux besoins locaux dans divers domaines tels que la solidarité, l’environnement, la culture ou le sport. Le principe est simple : chaque Audois, dès l’âge de 11 ans, peut voter pour deux projets. L’un d’eux doit avoir un budget inférieur à 20 000 €, ce qui permet à une grande diversité de propositions de se retrouver sur la ligne de départ. L’an dernier, un record de participation avait été atteint avec 22 000 votants. Un chiffre ambitieux que les responsables espèrent dépasser cette année, malgré un contexte budgétaire tendu. « C’est un moment important », souligne Valérie Dumontet, vice-présidente du Département en charge de la démocratie et de la jeunesse. « Ce budget participatif est un véritable exercice de respiration démocratique, permettant de renforcer le lien entre les élus et les citoyens », ajoute-t-elle.
Cependant, si l’enthousiasme reste palpable, des voix s’élèvent face à la réduction des fonds alloués à cette initiative. En effet, le budget alloué à ces projets a été réduit de 1,5 million à 1 million d’euros cette année, en raison des restrictions budgétaires qui pèsent sur les finances départementales. Un choix qui, selon Hélène Sandragné, est justifié par l’importance de maintenir ce dispositif, malgré les difficultés économiques. « Cet engagement reste essentiel », insiste-t-elle, reconnaissant toutefois les interrogations qu’il suscite. Face à la diminution des ressources, cette réduction ne semble pas freiner la créativité des associations locales, qui ont présenté des projets variés, touchant à des enjeux aussi importants que la protection de l’environnement, l’accès à la culture ou le soutien aux jeunes. Si le nombre de projets en compétition est légèrement inférieur à celui des éditions précédentes, les initiatives restent nombreuses et ambitieuses. En effet, les associations se montrent de plus en plus structurées et organisées, et cela se reflète dans la qualité des propositions. Même si certains projets ne seront pas retenus, leur présentation constitue une véritable vitrine pour les initiatives locales, tout en permettant aux élus de recueillir des idées pour les politiques publiques futures. En ce sens, le budget participatif ne se résume pas à une simple allocation de fonds, mais devient un outil d’expression citoyenne et d’orientations pour le futur. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television C'EST CONFIRMÉ ! L'AÏD EL-FITR 2025 CÉLÉBRÉ CE DIMANCHE 30 MARS Après un mois de jeûne et de recueillement, les musulmans de France s’apprêtent à célébrer l’Aïd el-Fitr ce dimanche 30 mars 2025. La Grande mosquée de Paris a officiellement confirmé la date à l’issue de la Nuit du doute, ce samedi, suivant les prévisions du Conseil français du culte musulman (CFCM) et du Conseil théologique musulman de France (CTM). Ce jour marquera la fin du ramadan, l’un des cinq piliers de l’islam, et donnera lieu à des rassemblements familiaux, des prières et des festivités. La date de l’Aïd el-Fitr repose sur l’observation du croissant lunaire, qui marque l’entrée dans le mois de Chawwâl, dixième mois du calendrier musulman. Samedi soir, la commission religieuse de la Grande mosquée de Paris, réunie avec plusieurs fédérations musulmanes nationales, a constaté la visibilité de la nouvelle lune, validant ainsi la fin du mois sacré du ramadan. Si l’observation du croissant lunaire avait été impossible, la fête aurait été décalée à lundi. Ce dimanche, les fidèles se rendront à la mosquée pour une prière collective matinale, un moment de communion essentiel. L’Aïd el-Fitr est également une journée de partage : les familles se retrouvent pour des repas festifs et échangent des cadeaux. Avant cela, la tradition veut que chaque musulman verse la zakat al-Fitr, une aumône destinée aux plus démunis, afin que chacun puisse célébrer cette fête dignement. En France, où l’islam est la deuxième religion après le christianisme, cette célébration revêt une importance particulière. Avec une population musulmane estimée entre cinq et six millions de personnes, la France compte la plus grande communauté musulmane d’Europe. Chaque année, la fin du ramadan est ainsi un moment de spiritualité, de solidarité et d’unité pour des millions de citoyens. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television POUPINETOS ET ENCATADOS ENFLAMMENT LIMOUX MALGRÉ LE FROID Sous un ciel gris et un froid mordant, Limoux a démarré son carnaval avec éclat ce samedi matin. Les fécos des Poupinetos et des Encantados ont offert un spectacle haut en couleur sous les arcades du centre-ville, ravivant la tradition et envoûtant les spectateurs. Une parade rythmée par les rires et les applaudissements, où se mêlaient costumes flamboyants, musiques festives et démonstrations folkloriques. Une énergie communicative qui, malgré la fraîcheur ambiante, a su réchauffer les cœurs et les esprits. Les Poupinetos ont été les premiers à ouvrir le bal en proposant un hommage aux grands carnavals de France et d’Outre-mer. De Nice à Dunkerque, en passant par Menton et les Antilles, chaque groupe arborait des tenues représentatives des festivités locales. Une initiative largement saluée par le public, bien que certains aient déploré l’absence d’une formation emblématique du terroir limouxin. Mais ce retard n’était que stratégique : l’apparition magistrale des traditionnels fécos, armés de leurs carabènes et maîtres incontestés du folklore local, a suscité une ovation. Leurs gestes millimétrés et leur aisance ont confirmé leur statut d’ambassadeurs incontournables du carnaval de Limoux. Le spectacle a pris une tournure encore plus surprenante avec l’entrée en scène des Encantados. Rue de la Goutine, une Delorean – symbole intemporel du cinéma – a fait une entrée fracassante, précédant une parade de célébrités fictives et réelles. Ces étranges convives ont été conviés à un rite insolite : la fontaine des Encantados, transposée du sommet de Taïch au centre-ville, leur a offert une immersion revigorante sous les encouragements des spectateurs. Un bain symbolique qui, loin d’être anodin, marquait la volonté des carnavaliers de repousser les limites du spectaculaire et de redonner à Limoux un événement toujours plus grandiose. En dépit des frimas, le public était présent en nombre, emmitouflé mais déterminé à ne rien manquer des festivités. Les aficionados du carnaval, postés bien avant l’aube derrière les girondines, avaient pris place sur la place de la République, fidèles au rendez-vous. Au signal de la musique s’élevant de la rue Jean-Jaurès, la fête s’est pleinement déployée, confirmant une fois encore que, à Limoux, le carnaval est une affaire de passion et d’héritage. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television DANS L'AUDE, L'ULTIME CHASSE À COURRE RÉSISTE AUX SIÈCLES ET AUX CRITIQUES Au cœur des forêts profondes de la Montagne Noire, entre l'Aude et le Tarn, une tradition ancestrale perdure : la chasse à courre. Dernier bastion de la vénerie dans le département, le Rallye Gaillardet perpétue cet art cynégétique depuis 1946. Un monde régi par des rituels immuables, des cavaliers en tenue d'apparat et une passion intacte pour la nature et la faune sauvage. Dans un contexte où la chasse suscite des débats, cette pratique revendique son attachement aux principes de la sélection naturelle et du respect des équilibres écologiques. Pour Baptiste Gout, maître d'équipage et héritier d'une lignée de veneurs, la vénerie est bien plus qu'un loisir : "La chasse à courre est le mode de chasse le plus naturel. Ici, pas d'armes, pas de tirs. Nos chiens suivent une piste, traquent un seul animal et mettent à l'épreuve son endurance et son intelligence. Souvent, c'est lui qui l'emporte." Une philosophie qui tranche avec les préjugés et les controverses entourant cette pratique. Dans cette contrée montagneuse et sauvage, les conditions sont rudes. Relief accidenté, neige, ruisseaux imprévisibles : autant de défis qui distinguent la vénerie locale des territoires plus plats comme la Sologne. "Nous sommes les derniers à chasser ici, raconte Thibaut Gout, cousin de Baptiste et membre actif du Rallye Gaillardet. La vénerie, ce n'est pas seulement une question de chasse, c'est un mode de vie." Au sein de la communauté des veneurs, chaque détail compte. Les chiens, descendants des meutes royales de Louis XI, sont au centre de l'équipage. Leur dressage repose sur un savoir-faire transmis de génération en génération. La tenue, elle aussi, est codifiée : gilet vert, redingote grise et boutons frappés de l'emblème du Rallye. Un univers à part, à la fois fascinant et déroutant pour ceux qui le découvrent. Face aux critiques, le Rallye Gaillardet prône le dialogue. "Nous invitons les anti-chasse à venir voir, à comprendre ce que nous faisons, insiste Baptiste Gout. Nous respectons nos chiens, nos chevaux et surtout le gibier. Nous admirons le chevreuil, il nous offre des chasses magnifiques. Il arrive très souvent qu'il nous échappe. L'important, ce n'est pas la prise, c'est l'expérience." Ce samedi 22 mars, la dernière chasse de la saison s'est déroulée selon ce même credo. Après 43 km parcourus à cheval, la traque s'est achevée sans capture, le chevreuil ayant réussi à brouiller les pistes en se jetant dans un lac. Une stratégie qui force l'admiration des veneurs. La journée s'est conclue autour d'un repas chaleureux, ponctué de chants et de toasts aux cuvées du Minervois. Une manière de célébrer, une fois encore, la persistance d'une tradition que certains voudraient voir disparaître, mais que ses adeptes défendent avec ferveur. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television DU RÊVE À LA SCÈNE : PLONGÉE INÉDITE DANS LE PARCOURS D’UN HUMORISTE Peut-on vraiment percer dans l’humour sans brûler les étapes ? Max Evan’s, figure montante de la scène comique, entend prouver que la rigueur et l’audace sont les clés de la réussite. Avec son documentaire Du rêve à la scène, il lève le voile sur les coulisses impitoyables du stand-up, entre autodérision et quête d’originalité. Diffusé depuis le 21 mars sur YouTube et Amazon Prime, ce film est une immersion brute et sincère dans l’univers de ceux qui transforment le quotidien en éclats de rire. Créateur d’un comedy club à Carcassonne, Max Evan’s n’est pas un humoriste comme les autres. Son dernier défi en est la preuve : enfermé dans une boîte noire, il s’est imposé d’écrire un One-Man-Show en 24 heures, sous l’œil attentif d’un public virtuel. Un pari aussi risqué qu’inspirant, qui témoigne de la pression constante pesant sur les humoristes. Son documentaire de 50 minutes revient sur cette performance hors norme et dresse, en filigrane, le portrait d’un artiste en quête de dépassement. À travers des images captivantes et des témoignages poignants, il expose la réalité d’un milieu où le talent ne suffit pas toujours, où chaque punchline doit être une arme redoutable contre l’indifférence du public. Mais derrière l’exploit, une question demeure : jusqu’où faut-il aller pour se démarquer ? À l’heure où les réseaux sociaux redessinent les codes du succès, le documentaire de Max Evan’s interroge sur les sacrifices et l’engagement nécessaires pour s’imposer. En filigrane, c’est toute une profession qui se dessine, entre précarité et passion. En mettant en lumière les coulisses du rire, Du rêve à la scène éclaire surtout une vérité implacable : la comédie est un art sérieux qui exige plus qu’un simple talent pour faire sourire. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci LIMOUX : LES AÏSSABLES, CES CLOWNS QUI FONT VIVRE L'ÂME DU CARNAVAL À Limoux, le carnaval est une institution, un rituel profondément ancré dans la culture locale. Parmi les bandes emblématiques qui animent les festivités, les Aïssables se distinguent par une fidélité sans faille à l’univers des clowns. Depuis plus de quarante ans, ces "garnements turbulents" perpétuent une tradition unique, mêlant dérision, exubérance et facéties au cœur de la ville. Dernière bande intégrée au comité du carnaval dans les années 1980, les Aïssables ont toujours revendiqué une identité inspirée du cirque. Masques affublés d’un nez rouge, gestuelle burlesque, parodies et pantomimes : tout chez eux rappelle les Augustes et les clowns blancs des grandes scènes circassiennes. Leur terrain de jeu ? La place de la République, véritable chapiteau à ciel ouvert où ils improvisent des numéros loufoques sous les regards amusés des spectateurs. Cette fidélité à l’univers clownesque leur vaut une reconnaissance singulière et une popularité qui ne faiblit pas, y compris auprès des visiteurs venus découvrir cette tradition Limouxine. Mais au-delà de l’amusement, les Aïssables incarnent une véritable philosophie de vie. Refusant de se prendre au sérieux, ils cultivent l’autodérision et le plaisir du spectacle, à l’image des figures légendaires du cirque comme Zavatta ou les frères Bario. Leur créativité n’a d’ailleurs cessé de surprendre au fil des ans : qu’il s’agisse d’une sortie inspirée du cirque Barnum, d’une parade d’éléphants en pleine ville ou encore d’une mise en scène spectaculaire où des plongeurs émergeaient d’une fontaine recouverte de mousse, ils repoussent toujours plus loin les limites de l’imagination. Et cette année encore, la surprise sera au rendez-vous. Selon quelques indiscrétions, une cuisinière légendaire pourrait bien faire son retour, tout droit revenue de l’au-delà, pour distiller ses recettes avec humour et malice. Une mise en scène qui rappelle que le carnaval de Limoux n’est pas qu’une succession de déambulations festives, mais une véritable parenthèse enchantée où l’irréel devient, le temps d’un instant, une réalité. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et de partager… Merci MAGRIBOULÉGO : LA BELOTE, UN REMÈDE À L’ISOLEMENT RURAL Dans un monde où les interactions se digitalisent et où les villages peinent à maintenir leur dynamisme, Magrie, petite commune de 540 âmes, résiste à cette tendance. Ici, un simple jeu de cartes rassemble et crée du lien : la belote. Portée par l’association Magriboulégo, cette tradition hebdomadaire insuffle une énergie nouvelle à la vie locale. Chaque jeudi soir, dès 20h30, la salle communale s’anime. Des habitués de longue date côtoient de nouveaux venus, dans un mélange de générations et d’horizons variés. Entre éclats de rire et défis stratégiques, la compétition reste bon enfant. "Ce n’est pas tant la victoire qui compte, mais le plaisir d’être ensemble", résume Jean Jacques, l’un des fidèles participants. À Magrie, la belote n’est pas qu’un simple jeu : c’est un rituel, une parenthèse où les soucis du quotidien s’effacent le temps d’une soirée. Au-delà des cartes qui s’abattent sur les tables, c’est toute une philosophie du vivre-ensemble qui s’exprime. Dans une époque où les petits commerces ferment et où l’anonymat gagne du terrain, Magriboulégo incarne une autre vision de la ruralité : celle d’une communauté qui refuse de se laisser happer par l’individualisme. L’association va même plus loin en organisant des repas et des moments festifs, renforçant ainsi la cohésion villageoise. Cette initiative pose une question plus large : et si le renouveau des campagnes passait par la redécouverte de ces moments simples, authentiques et fédérateurs ? À Magrie, il semble qu’un jeu de cartes suffise à bâtir un véritable rempart contre l’isolement. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. 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Information, sport, musique, divertissement... Au delà de la fabrication et la diffusion de programmes originaux, notre mission est de former les publics à la maitrise de la communication (à partir de 11 ans) et de les faire participer aux pratiques de l'audiovisuel, en leur donnant la possibilité de s'exprimer via nos trois supports : presse, radio et télévision.
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L’idée du projet C11.MEDIA est de toucher un large éventail de publics en offrant une grande variété de contenus, tout en mettant à profit le meilleur de la technologie en matière de diffusion audiovisuelle.
Pour cela, notre mission consiste à la mise en place d'une offre média "digitale" multi-support intégrant des outils de communication de proximité (presse, radio et télévision) et un puissant réseau communautaire. Mais au delà de l'aspect technique, il s'agit aussi de favoriser l'éveil des citoyens du département (Aude) par la création, la production et la diffusion de programmes audiovisuels originaux ; Donner la parole à celles et ceux qui ne l'on pas, permettant à chacun de s'exprimer sur les sujets de la vie courante ; Offrir un espace de libre expression rendant possible la prise de parole, l'argumentation, l'échange, le passage et la confrontation d'idées au travers une offre de programmes audiovisuels interactifs et contradictoires
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Avril 2025
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