DÉCLARATION D’IMPÔTS 2025 : CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR POUR NE PAS FAIRE D’ERREUR Elle est devenue un rendez-vous quasi automatique. Et pourtant, chaque année, la déclaration d’impôts soulève les mêmes inquiétudes : ai-je bien tout rempli ? Ai-je oublié une case ? Suis-je dans les délais ? En 2025, même si le prélèvement à la source a simplifié le paiement, la déclaration reste obligatoire pour corriger, ajuster et signaler tout changement. Une formalité en apparence, mais qui peut vite virer au casse-tête si l’on n’y prend pas garde. Depuis le 11 avril 2025, le service en ligne est ouvert. Pour la majorité des contribuables, tout se passe désormais sur [impots.gouv.fr](https://www.impots.gouv.fr). L’administration fiscale préremplit les informations connues : salaires, pensions, aides perçues. À vous de les vérifier scrupuleusement. Toute erreur ou omission peut entraîner un redressement, voire des pénalités. Il faut donc signaler un déménagement, une naissance, un changement de situation familiale, ou l’ajout d’un crédit d’impôt (emploi à domicile, dons, travaux de rénovation énergétique...). Les dates limites varient selon les départements : du 23 mai au 6 juin selon votre numéro de département. Pour ceux qui choisissent encore le format papier, la date butoir est fixée au 21 mai. Mais attention : la déclaration papier est réservée uniquement à ceux qui ne disposent pas d’accès Internet ou ne sont pas en capacité de l’utiliser. Des nouveautés sont à noter cette année. D’abord, un renforcement des contrôles automatisés sur les locations meublées de courte durée. Ensuite, une nouvelle case pour les jeunes de moins de 25 ans percevant la prime d’activité, qui doivent désormais déclarer ce revenu spécifique. Enfin, un simulateur actualisé est disponible pour estimer son impôt, une manière de prévenir les mauvaises surprises. À ce jour, près de 11 millions de foyers fiscaux ne paient pas d’impôt sur le revenu, mais cela ne dispense pas de déclarer. L’administration veut une fiscalité plus transparente et mieux comprise. Mais encore faut-il que les outils soient accessibles à tous. Les zones rurales, les personnes âgées, les foyers modestes restent parfois désarmés face au numérique. Des permanences fiscales existent, des points d’accueil en mairie ou dans les centres des finances publiques peuvent accompagner les contribuables. Ce service de proximité est plus que jamais essentiel pour éviter la fracture administrative. Car déclarer, ce n’est pas seulement un acte fiscal : c’est un acte citoyen, un devoir de transparence, mais aussi un droit à être correctement prélevé, voire remboursé. __________________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11 .MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 📱Téléchargez notre application C11 .MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude : « C’est le media qui vous donne la parole » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #information #citoyen #aude ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker et partager… Merci APRÈS DOUZE ANS DE COMBATS, LE PRÉSIDENT DES VIGNERONS TIRE SA RÉVÉRENCE, UNE FIN DE RÈGNE SYMBOLIQUE POUR LA VITICULTURE DE L’AUDE Douze années au service d’une profession fière, combative et souvent malmenée. Douze années à porter la voix de milliers de vignerons. Le 6 mai prochain, Frédéric Rouanet tournera une page de sa vie, et de celle du Syndicat des vignerons de l’Aude. Dans un communiqué chargé d’émotion, il a annoncé son départ à l’occasion de l’assemblée générale qui se tiendra à Carcassonne. Une décision personnelle, assumée, mais qui marque un tournant pour la première organisation viticole de France. Derrière cette annonce, une question : que devient un syndicat quand son porte-voix le plus emblématique décide de se taire ? La déclaration de Frédéric Rouanet n’est pas un simple adieu, c’est une prise de position. "Ce n’est ni un renoncement, ni une lassitude", écrit-il. Il s’agit d’un choix de vie, d’un recentrage sur l’essentiel : la famille. Mais aussi d’un geste politique. En affirmant que "nul responsable ne doit se croire indispensable", il ouvre la voie à un renouveau. Sous sa présidence, le syndicat a mené des luttes acharnées, de la défense des prix à la mobilisation contre les importations massives, en passant par la dénonciation des taxes injustes. Rouanet fut de tous les combats, et souvent en première ligne. En 2023, il avait su mobiliser plus de 6 000 personnes dans les rues, symbole d’un leadership fort, respecté et écouté. En douze ans, il a su transformer un syndicat rural en acteur politique régional. Une force de frappe, une voix qui pesait. Il quitte ses fonctions à un moment charnière, alors que la filière viticole affronte les défis du changement climatique, de la baisse de consommation et de la mondialisation des marchés. Son départ interroge. Qui pour lui succéder ? Quel profil incarnera cette nouvelle génération à la tête du syndicat ? Le 6 mai, au lycée Charlemagne de Carcassonne, les regards seront tournés vers celui – ou celle – qui reprendra le flambeau. Rouanet, lui, quitte la scène sans amertume, conscient d’avoir mené une mission exigeante. Son geste est un message : l’engagement syndical ne doit pas devenir un mandat à vie. Il faut savoir transmettre. La force d’un syndicat se mesure aussi à sa capacité à se renouveler. L’héritage qu’il laisse est lourd, mais structurant : un collectif uni, une parole libre, et une ambition intacte pour défendre un métier en mutation. À l’heure où la viticulture audoise cherche un second souffle, son départ pourrait bien ouvrir une nouvelle dynamique. _______________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television À CARCASSONNE, LES CHOCOLATIERS FONT DE LA RÉSISTANCE FACE À L’INFLATION Alors que l’inflation continue de rogner le pouvoir d’achat des Français, un petit miracle sucré s’est produit à Carcassonne. En ce week-end de Pâques, les chocolatiers locaux n’ont pas seulement rempli leurs vitrines de lapins et de cloches : ils ont attiré les foules. Dans une période d’incertitude économique, comment expliquer un tel engouement pour le chocolat ? Par un savant mélange de créativité, de tradition bien ancrée et de proximité avec les clients. Pâques, deuxième temps fort de l’année après Noël pour les artisans, demeure un moment-clé, où plaisir et réconfort priment sur les restrictions. Depuis début mars, les fourneaux tournent à plein régime. Mélanie Fernandez, à la tête de la boutique Jeff de Bruges depuis octobre, vit son premier Pâques avec un enthousiasme communicatif. Elle mise sur la décoration, l’ambiance et surtout la personnalisation des produits : des œufs prénommés, des animaux fourrés, un rapport qualité-prix étudié grâce à des plantations de cacao en propre. Même logique chez Nougalet, où Eric Monterrat souligne la minutie du travail artisanal et l’effort fait sur les prix. "Malgré la hausse des matières premières, on voit que les clients tiennent à se faire plaisir", assure-t-il. Ce goût pour la tradition est renforcé cette année par un calendrier favorable : des vacances scolaires en pleine période pascale, synonymes d’affluence dans les boutiques. Mais tout n’est pas aussi sucré qu’il n’y paraît. Certains commerçants, comme Pascal Courgey à Palaja, dénoncent un désintérêt médiatique pour la fête de Pâques et un glissement des préférences vers des produits venus d’ailleurs. "Nous avons vendu plus de chocolats de Dubaï que d’œufs traditionnels", déplore-t-il, en constatant que la modernité l’emporte parfois sur la mémoire collective. Pourtant, des initiatives comme celles de Leonidas – avec 22 petits œufs aux goûts originaux – ou le concours géant de l’atelier Nougalet redonnent à la fête une place de choix dans le quotidien carcassonnais. Loin de céder face à l’uniformisation ou à la crise, les artisans de Carcassonne prouvent que le goût du travail bien fait, l’inventivité et la transmission culturelle ont encore de beaux jours devant eux. ________________ Jean Michel Jumeau, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television L’ARGENT LIQUIDE VIT SES DERNIERS INSTANTS : UNE NOUVELLE ÈRE MONÉTAIRE DÉMARRE EN OCTOBRE 2025 La révolution monétaire en marche, mais les craintes sur la confidentialité et la fiabilité restent vives. Le compte à rebours est lancé pour l'euro numérique. Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne (BCE), a réaffirmé son objectif lors d'une conférence de presse le 6 mars 2025 Vous l’avez compris, ’annonce est officielle et marque un tournant décisif dans l’histoire de la monnaie européenne : à partir d’octobre 2025, l’euro numérique entamera sa phase de déploiement. Derrière cette échéance technique se dessine un bouleversement silencieux, mais profond, de nos usages quotidiens. En toile de fond, une question dérange : vivons-nous les derniers jours de l’argent liquide ? Car si la disparition du cash n’est pas annoncée formellement, tout indique qu’il est en passe d’être relégué au rang de relique. Une évolution technologique, certes. Mais aussi une rupture culturelle, sociale et politique. Le projet de l’euro numérique, porté par la Banque centrale européenne, repose sur une ambition claire : adapter la monnaie à l’ère numérique. Dans un monde où les paiements par carte ou via smartphone dominent, le billet de banque apparaît de plus en plus marginal. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : dans certains pays nordiques, plus de 90 % des transactions se font déjà sans espèces. En France, la tendance s’accélère. L’objectif n’est pourtant pas d’imposer un modèle unique, mais d’assurer la coexistence entre deux formes de monnaie, physique et digitale, le temps d’une transition maîtrisée. Officiellement, les espèces resteront garanties par la loi. Mais pour combien de temps encore ? Et surtout, à quelles conditions ? Car derrière l’euro numérique se cache une logique de rationalisation économique. La gestion du cash coûte cher : impression, transport sécurisé, distribution... autant de postes budgétaires que la monnaie digitale pourrait alléger. L’euro numérique promet également une efficacité accrue : transferts instantanés, paiement sans contact universel, intégration renforcée des économies européennes. Autant d’arguments en faveur d’un système plus fluide. Mais cette vision technocratique rencontre des résistances. Des voix s’élèvent déjà pour dénoncer une possible atteinte à la vie privée, la fin de l’anonymat financier, et une surveillance des citoyens sous couvert de lutte contre la fraude. Le tout dans un contexte de méfiance grandissante à l’égard des institutions financières et technologiques. Ce changement de paradigme soulève aussi de redoutables défis sociaux. Une société sans cash pourrait marginaliser les plus fragiles : personnes âgées peu familières du numérique, populations précaires sans accès bancaire, ruraux isolés. L’inclusion financière devient un enjeu central, au même titre que la cybersécurité. Car si tout devient numérique, que se passe-t-il en cas de panne, de bug, de piratage ? Le cash, malgré ses limites, offre une forme de résilience. Un secours en cas de crise. Un pouvoir de contrôle laissé entre les mains du citoyen. La transition devra donc être accompagnée, expliquée, encadrée. Et elle ne réussira que si elle repose sur la confiance. Ce n’est pas seulement une évolution technique que prépare l’Union européenne, mais une redéfinition du contrat social autour de la monnaie. L’euro numérique n’est ni bon ni mauvais en soi. Il est le reflet d’un monde en mutation, où la vitesse, la transparence et l’interconnexion dominent. Il est aussi un révélateur des fractures qui traversent nos sociétés. En 2025, nous n’assisterons pas à la fin du cash. Mais à son effacement progressif. Ce mouvement est enclenché, irréversible. Il appartient désormais aux citoyens, aux élus, aux experts de veiller à ce qu’il ne laisse personne sur le bord du chemin. ________________ Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11.MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2025 Dans l’Aude : « C’est le média qui vous donne la parole » 📱Téléchargez notre application musicale sur « radio.c11.media » 📺 Regardez nos programmes TV 7/24 sur « tv.c11.media » 📌 Suivrez-nous gratuitement 24/7 sur www.lefilactu.fr ⚠️ Pour nous soutenir, n’oubliez pas de liker notre page et de partager ce contenu… Merci. #c11media #journaliste #information #citoyen #aude #presse #radio #television |
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Mais au delà de l'aspect technique, il s'agit aussi de favoriser l'éveil des citoyens du département (Aude) par la création, la production et la diffusion de programmes audiovisuels originaux ; Donner la parole à celles et ceux qui ne l'on pas, permettant à chacun de s'exprimer sur les sujets de la vie courante ; Archives
Mai 2025
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