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De nombreux citoyens se questionnent aujourd’hui sur l’utilisation de l’argent public par certains élus. Un phénomène semble en effet se répéter : la distribution de subventions à des associations culturelles ou locales en échange d’un soutien politique. Cette pratique, bien que légale, interroge sur la frontière entre intérêt général et clientélisme. Est-il acceptable qu’un élu utilise les fonds publics pour renforcer son assise électorale ? Les subventions versées aux associations culturelles, sportives ou sociales jouent un rôle clé dans la vie des communes et des territoires. Ces aides permettent à des structures locales de mener des projets qui profitent à la collectivité : ateliers, expositions, événements publics… Cependant, certains citoyens dénoncent le fait que des élus choisissent de privilégier des associations proches de leur sphère politique. Ces subventions, bien qu’officiellement attribuées pour des projets d’intérêt général, sont parfois perçues comme des outils pour fidéliser une base électorale. Si la loi encadre l’attribution des fonds publics, elle laisse également une grande part de liberté aux élus locaux quant aux choix des associations financées. Cette souplesse permet une gestion adaptée aux spécificités de chaque territoire, mais elle ouvre aussi la porte à des dérives. Le manque de transparence dans l’attribution des fonds entretient une défiance parmi les citoyens, qui voient dans ces aides une forme de favoritisme, surtout lorsque certaines associations bénéficient de subventions récurrentes tandis que d’autres en sont systématiquement écartées. Cela contribue à alimenter le sentiment d’injustice et à fragiliser la confiance envers les élus. Dans un contexte où l’intégrité des responsables politiques est de plus en plus scrutée, le besoin de transparence est primordial. De nombreux citoyens estiment qu’il serait normal de renforcer les contrôles pour garantir que l’attribution des fonds publics repose sur des critères objectifs, en toute impartialité. Car, à leurs yeux, l’argent public ne devrait en aucun cas devenir un outil de stratégie électorale, mais bien rester au service de tous. ————-- Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11. MEDIA et La Voix des Citoyens Membre actif de la #fnjmi 🇫🇷 Rédaction : Press’K - Tous droits réservés Crédit photographique : DR, Buzee Prod 2024 📱Téléchargez notre application C 11 . MEDIA depuis votre navigateur. Dans l’Aude, c’est le média qui vous donne la parole 📌 Découvrez notre filactu 24/7 sur www.lefilactu.fr #c11media #journaliste #aude #citoyen |
Information, sport, musique, divertissement... Au delà de la fabrication et la diffusion de programmes originaux, notre mission est de former les publics à la maitrise de la communication (à partir de 11 ans) et de les faire participer aux pratiques de l'audiovisuel, en leur donnant la possibilité de s'exprimer via nos trois supports : presse, radio et télévision.
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L’idée du projet C11.MEDIA est de toucher un large éventail de publics en offrant une grande variété de contenus, tout en mettant à profit le meilleur de la technologie en matière de diffusion audiovisuelle.
Pour cela, notre mission consiste à la mise en place d'une offre média "digitale" multi-support intégrant des outils de communication de proximité (presse, radio et télévision) et un puissant réseau communautaire. Mais au delà de l'aspect technique, il s'agit aussi de favoriser l'éveil des citoyens du département (Aude) par la création, la production et la diffusion de programmes audiovisuels originaux ; Donner la parole à celles et ceux qui ne l'on pas, permettant à chacun de s'exprimer sur les sujets de la vie courante ; Offrir un espace de libre expression rendant possible la prise de parole, l'argumentation, l'échange, le passage et la confrontation d'idées au travers une offre de programmes audiovisuels interactifs et contradictoires
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Février 2025
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