VIEILLIR DANS LA SOLITUDE

Vieillir dans la solitude : une fatalité pour certaines personnalités manipulatrices

Vieillir dans la solitude peut sembler une fatalité pour certaines femmes, notamment celles au comportement manipulateur et anxiogène. Souvent dotées d’une grande intelligence et d’une culture étendue, ces personnes utilisent leurs compétences à des fins malveillantes, persuadées d’avoir raison sur tout. Elles se mêlent constamment des affaires des autres, cherchant à se valoriser et à obtenir un pouvoir absolu sur leur entourage. Avec le temps, celles qui les côtoient prennent conscience de la toxicité de cette influence, menant ces manipulatrices vers un isolement social progressif.

Nombreuses sont celles qui adoptent ce type de profil, souvent rencontrées dans des environnements sociaux variés, que ce soit au sein d’associations, de groupes amicaux, ou même sur les réseaux sociaux sous de faux profils. Leurs relations, initialement basées sur des échanges apparemment innocents, révèlent vite des intentions sous-jacentes de contrôle et de manipulation. Le cycle est souvent le même : un nouveau groupe est séduit, puis observé, avant de réaliser la véritable nature de ces femmes et de les rejeter. En réponse, ces personnes recherchent continuellement de nouvelles « victimes » pour nourrir leur besoin de domination, mais finissent inévitablement par être exclues à nouveau, répétant un schéma d’interactions éphémères et superficielles.

Ce phénomène soulève une question fondamentale sur la solitude et le comportement humain : la solitude de ces manipulatrices est-elle réellement une fatalité, ou le résultat de choix délibérés et de comportements toxiques ? Alors qu’elles s’entourent de nouveaux compagnons temporaires, souvent même d’animaux domestiques, elles perdent peu à peu toute connexion authentique avec les autres. Ce processus mène à une solitude profonde, amplifiée par un sentiment d’indifférence généralisée à leur égard. Finalement, ces femmes, condamnées par leurs propres actions, deviennent des figures de solitude que la société observe de loin, sans réelle compassion ni intérêt, comme une illustration des conséquences inévitables de leurs propres choix.

Finalement, ces grandes manipulatrices finissent souvent seules, entourées de leurs illusions de grandeur, persuadées que leur intelligence et leur culture auraient dû leur apporter une meilleure compagnie. Elles s’installent donc dans une solitude où leur unique auditoire est un chat, écoutant, impassible, leurs sarcasmes et critiques amères. Comme disait si bien Coluche : “La solitude ça n’existe pas… il y a toujours quelqu’un pour vous la gâcher.” Mais pour ces dames, la solitude semble bien être le seul partenaire fidèle, et cette fois, personne ne viendra la gâcher.

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Rédaction : Press’K - Tous droits réservés
Crédit photographique : Buzee Prod 2024
Ludovic BEUZERON, Journaliste indépendant pour C11. MEDIA
La Voix des Citoyens - Membre actif de la #fnjmi

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